• Couverture scannée

    Marie-F à CoursacElle s'était fait connaître voici quelques mois avec l'Absence... C'était en juillet 2010 ! Depuis, Marie-Françoise MESPOULEDE (ci-contre) a élargi son audience. D'abord en Périgord, la terre d'élection de son compagnon disparu Claude SARLAT (reproduit ci-dessous) puis en l'élargissant quelque peu puisque deux collaborations se sont dernièrement associées à son nouveau projet EVANESCENCES ! C'est en effet une passionnée de photo : Béatrice DURGET qui lui a apporté sa nouvelle couverture et une jeune décoratrice de Toulouse récemment installée : la bordelaise Carolyne MUSSARD son talent de dessinatrice. Avec sa nièce Céline et l'ami de toujours Jean-Michel BOURGUIGNON, le fils de Guy, l'ancien COMPAGNON DE LA CHANSON, l'ensemble aura contribué à une production qui valorise d'autant les poésies de marie-françoise

    Claude (avant-propos)Ce travail d'un peu plus de cent pages abondamment illustré devrait pouvoir être confié dans les prochains jours à PRESENCE GRAPHIQUE en vue de son impression mais, afin de remercier son public et ses supporters, Marie-Françoise en présentera une version couleur quelques jours avant la Saint Valentin, dès le 11.02. Selon toute vraisemblance à Périgueux chez le Bijoutier-Joaillier DEBORD rue Chancelier de l'Hopital qui lui avait déjà permis lors de la Saint Valentin 2011 d'y proposer l'Absence. Pour l'occasion, et comme on peut le voir ci-dessous, l'ancienne scripte de l'équipe de Claude SARLAT n'aura pas hésité à mettre la main à la pâte en élaborant elle-même certaines des illustrations proposées. Claude, le créateur dans l'âme (croqué en quelques coups de crayon ci-contre)auquel le journaliste et écrivain Alain BERNARD rend hommage dans le recueil, aurait sans aucun doute apprécié cet esprit d'équipe et la passion avec laquelle cette production aura été réalisée !

    EVANESCENCES dont la souscription vient d'être prolongée (voir espace à droite de la page d'accueil de notre site) sera proposé à 17,80 €

    Dessin Venise MFM  

      

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  • Couvert Négations A3

    Alors que sort le premier polar de Louis PETRIAC produit par DECAL'AGE PRODUCTIONS : Négations, il nous semblait utile d'évoquer l'ouvrage et de donner la parole à l'auteur. Au terme de quelques questions posées, le but était aussi d'en dire un peu plus sur ce polar et sur l'action décrite.

    INTERVIEW :    

    D.P : Négations... Un titre court qui interpelle, c’était voulu ? Et qu’avez-vous voulu symboliser en choisissant un tel terme ?

    L. Pétriac : C’est vrai que l’on a souvent tendance à aller vers des titres longs et, parfois même, en y ajoutant un sous-titre ! Je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure solution d’interpeller un lecteur potentiel et j’avoue quant à moi préférer pour un ouvrage un titre plus ramassé plutôt qu’une trop longue déclinaison ! 

    D.P : Seulement avec Négations, ne risquez-vous pas d’écarter beaucoup de ceux qui ne comprendront pas forcément le véritable sens de ce terme ? Ou qui croiront le connaître ?

    L. Pétriac : C’était un risque à prendre et je l’ai pris. Encore que Négations, c’est aussi une déclinaison de négatif et être négatif, tout le monde sait ce que cela recoupe ! Certes, et j'en ai longtemps été le premier témoin lorsque j'exerçai des fonctions d'écrivain public, à une époque où l'on privilégie le "en fait, voilà" beaucoup rechignent à avoir recours à un dictionnaire ! Ce que je regrette personnellement car nous avons une si belle langue !

    D.P : Mais, qu'avez-vous voulu faire passer comme message à travers cet ouvrage ?  

    L. Petriac : Tout simplement m'attarder et surtout disséquer le comportement de personnages qui sont, pour certains, à deux doigts de ressembler à des gens que nous connaissons tous pour en croiser un grand nombre autour de nous. Des comportements qui ne grandissent pas l'espèce humaine ! Des flics qui emploient des méthodes un peu limites pour débusquer les responsabilités des malfrats contre lesquels ils ont à lutter. Des magistrats tout aussi surprenants qui, tout en jouant les redresseurs de tort comme à Outreau, ne sont finalement que des êtres éprouvant eux aussi des envies et des pulsions. Je passerai sur les politiques et les décideurs, prêts à embrasser des responsabilités et dont on se demande s'ils sont plus soucieux de leur propre confort que de celui des gens qu'ils ont prétendu servir une fois élus. Avec, pour corser le tout, le cadre d'une enquête complexe puisqu'il s'agit de débusquer un serial killer. Vous me direz, c'est une sauce à la mode par les temps qui courent ! En situant l'action dans une petite ville de province où jusqu'alors on vivait tranquille et loin de tout, j'ai donc voulu donner la primeur à un scénario susceptible d'émerger par son côté original. Tout en étant d'une crédibilité certaine ! Vous reconnaîtrez qu'aujourd'hui, dès lors qu'on imagine un dérèglement, on se plaît volontiers à le situer dans une grande métropole plutôt que dans un endroit situé loin de toute grande concentration urbaine. Comme si hors de ces grandes métropoles, on était davantage bienveillant et au-dessus de tout soupçon !

    D.P : C'est donc en province que se situent les faits que vous décrivez dans votre polar ?

    L. Petriac : Oui, mais dans un endroit que je me suis plu à imaginer, seulement le temps d'un roman. Un endroit qui est à la fois semblable à ces coins tranquilles du terroir où il n'arrive jamais rien, sans qu'il puisse être vraiment proche de ce qu'on connaît dans certaines provinces ! J'avais envie de laisser à mes lecteurs le soin d'imaginer quel pourrait être cet endroit ? Du moins, si...

    D.P : Est-ce que vous n'avez pas pris un risque en empruntant le nom de Bressoire ? Ce nom-là pourrait très bien être celui d'une localité existante...

    L. Petriac : Vous savez, dès lors qu'on fait appel à un nom de localité imaginaire, on risque toujours d'utiliser le nom d'un endroit peu connu qui existe réellement. Voici quelques années, les concepteurs d'une série TV avaient situé leur action dans un endroit qu'ils avaient baptisé du nom de Chateauvallon. Et je ne suis pas sûr qu'il n'existait pas au moment de cette diffusion TV de localité qui s'appelait Chateauvallon ! Alors, pour Bressoire. Si je connais personnellement un Bressuire situé dans les Deux-Sèvres, en revanche je n'ai pas trouvé dans mon dictionnaire de Bressoire. Mais il en existe peut-être un ! Auquel cas, nous tomberions forcément dans le cadre de la déclinaison : "Toute concordance des faits avec... serait complètement fortuite..."

    D.P : Il faut reconnaître que vous faites assez fort avec votre quatrième de couverture ! Je vous cite : " une très belle femme qu'il était difficile pour un homme d'ignorer. Tout en la saluant, le magistrat sentit sa gorge se nouer, espérant secrètement que son interlocutrice n'ait rien perçu de son trouble ". Cette femme fatale que vous évoquez là face à un magistrat, est-elle censée symboliser le comportement d'un personnage décidé à jouer de son charme pour faire craquer un représentant de la loi ?

    L. Petriac : Tout à fait. On est là aux portes d'une manipulation savamment orchestrée. Et je puis vous dire que des personnages comme cette femme, il en existe quelques-uns aussi en province, hommes comme femmes ! Et pas seulement dans les grandes concentrations urbaines que nous connaissons !

    D.P : Finalement, nous vivons tous dans des endroits comme Bressoire ?

    L. Petriac : Assurément. Et les provinciaux sont tout aussi créatifs que le sont les Parisiens, les Lyonnais ou d'autres ! En matière de vacherie comme de beaucoup d'autres choses ! D'ailleurs, au plan de la créativité, le théâtre de la nouvelle télé-réalité dont il est question dans l'ouvrage met en scène des jeunes pousses entrepreneuriales innovantes. Comme quoi, en Province aussi, on sait créer ! Je voulais défendre l'identité provinciale. j'ai donc voulu par l'action aborder des thèmes très actuels en y mêlant justement les affairistes et en prenant un malin plaisir à aborder leurs travers. Obsession, appropriation et détournement de créativité, meurtres... Si vous êtes amateur d'action, en lisant Négations, vous ne serez pas déçu !

    D.P : L'écriture d'un polar, c'est nouveau pour vous ?

    L. Petriac : J'ai voulu effectivement m'amuser un peu après avoir conçu un ouvrage biographique traitant de l'une des grandes réussites de la Chanson Française. Et Négations était pour l'essentiel déjà écrit depuis quelque temps déjà. Mais, un tel travail, ça ne se conçoit pas en quelques jours ! 

    D.P : En cette période, juste un mot pour indiquer comment on peut se procurer ces Négations. Du moins en dehors de cet espace d'édition et de communication.

    L. Petriac : En attendant une diffusion un peu plus large, on le trouve chez les libraires de la Chaîne DECITRE, CULTURA.COM et beaucoup d'autres hypers. Mais n'importe quel libraire peut le commander. Sans oublier le site que nous animons !

     

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  • J-Cl Faure blog bisDans le journal de la mi-journée de 13 heures sur TF1, le 9 décembre prochain, on évoquera sans doute (sous réserve) l'un de ses spectacles en Lorraine. "La Nativité", dont une première représentation avait eu lieu en 1999, continue son bonhomme de chemin, et la presse s'y intéresse toujours. Cette année, c'est au tour de TF1. En 2006, la même chaîne avait déjà réalisé un reportage sur un autre de ses spectacles "Souviens-toi" à l'occasion du 90ème anniversaire de la bataille de Verdun. Mais,  demain 7 décembre, Jean-Claude FAURE sera l'invité de la bibliothèque de Montpon-Ménestérol où, en compagnie d'Alain BOUGOUIN et de son épouse Christine, ils accueilleront tous les trois le public le temps d'une dédicace du dernier recueil de nouvelles des deux artistes : Des gens bien de chez nous. Dès 9 heures du matin.

    Christine BOUGOUIN a prévu pour l'occasion de présenter en fin d'après-midi chacune des nouvelles et de lire quelques extraits de l'ouvrage en présentant certains des personnages dont il est question dans le recueil. Gageons que ce sera un moment appréciable et fort apprécié de ceux qui viendront à la rencontre des deux artistes qui avaient déjà participé, ensemble, au Salon du Livre de Coulaures en octobre dernier.

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