•  Jean Rodon... son témoignage sur le Paris antisémite de 1942...

    Quand Jean Rodon comprit quel sort était réservé aux Juifs...Ce n'est seulement que lorsqu'il pu quitter les ateliers d'A.E.G où il avait été contraint, forcé, de travailler à Hennigsdorf, près de Berlin, pour la machine de guerre nazie dans le cadre du sinistre S.T.O que Jean RODON comprit l'étendue du désastre humain dont on parlait certes, mais sans jamais en avoir une idée précise. Même s'il lui était arrivé dans le quartier où il travaillait de croiser des gens porteurs d'étoile jaune !

    Dans des notes ayant servi à l'élaboration de son ouvrage, Jean RODON se souvient de cette journée. Nous ne fûmes pas totalement étonnés en apprenant l'existence très proche de camps de concentration et d'extermination, mais cela nous émut beaucoup. Bien que coupés de tout, certains bruits circulaient déjà mais nous n'avions pas de certitudes sur ce grave problème ni surtout sur leur proximité. Quelques jours après notre libération, nous commençâmes à assister au passage sur la route devant notre camp, de colonnes de déportés libérés. Tous étaient habillés d'un pantalon et d'une veste à larges rayures de couleurs différentes, suivant leurs origines et leur classification. Hommes ou femmes tenaient debout ou marchaient grâce à l'aide de leurs camarades. Leur crâne rasé, le visage creusé par leurs yeux et leur bouche ne permettaient pas toujours de les différencier...

    Le pire, comme il l'écrit dans cet ouvrage qu'il vient de publier, c'est que ces images apocalyptiques sont réapparues dernièrement sous une toute autre apparence au cours de l'une de ses longues hospitalisations subies en Périgord où il s'est retiré pour sa retraite. Des tissus avaient été imprimés avec des motifs analogues, dit-il encore, sur des sacs destinés à la récupération de linge sale ou de déchets résultant de soins avec les mêmes rayures et mêmes couleurs, et plus il les avait regardés, plus il les avait imaginés ce jour-là se transformer en longues files de déportés. Au point qu'il s'était demandé pourquoi les services de l'Assistance Publique avaient pu faire un tel choix avec de pareils motifs ? Même une soixantaine d'années plus tard !

    Cet ouvrage est désormais accessible et vous pouvez vous le procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    JOURNAL D'UN ADOLESCENT FACE A LA GUERRE, Jean RODON, 978-2-918296-46-1

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  • Un ouvrage que nous avons apprécié

    Un ouvrage que nous avons appréciéAu-delà d'un débat autour de la disparition du leader sioniste ARLOSOROFF sur une plage à Tel-Aviv, c'est dans cet ouvrage de l'auteur russe Léonid GUIRCHOVITCH (ci-contre) publié chez VERDIER en 2015 que nous avons découvert des pistes qui mériteraient indéniablement d'être explorées quant aux origines de Magda GOEBBELS. Il en est ici question avec une phrase qui a retenu toute notre attention au moment de la publication du portrait de l'égérie nazie : "la fille qu'une jolie femme de chambre conçut avec un client de l'hôtel où elle travaillait"...  La jolie femme de chambre, on la devine sous les traits de cette mère, menteuse pathologique, qu'était Auguste BEHREND et le client de l'hôtel tenu par la famille RITSCHEL à Berlin, sous les traits d'un certain Richard FRIEDLANDER, jeune négociant dans le domaine du cuir qui, au cours d'une froide nuit de l'hiver 1901 avait mis Auguste enceinte. Probablement sans le savoir et qu'elle le lui dise. Une grossesse que cette "Dame aux camélias" aura du mal à assumer en tentant même d'apitoyer un cocu qui était fou amoureux de la petite bonne et ses parents qui lui avaient offert un emploi dans leur hôtel. Un cocu qui finira par l'épouser sans curieusement reconnaître l'enfant, ce qui n'alertera cependant pas les nombreux historiens en charge du dossier.

    L'ouvrage est désormais en vente sur notre boutique en ligne et donc plus rapidement mis à votre disposition.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0  

     

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  • A propos du pamphlet que Decal'Age Productions éditions va publier...Quand l'auteur se demandait comment il avait pu traverser en 1991, une première année d’émigré au pays du confit d’oie sans y laisser sa peau et sans finir dans une basse-cour, comme d’autres gallinacés en tout genre, avant d’être, comme eux, complètement plumé et rôti. Et qu’entre dinde, oie ou pigeon, tout n’était finalement qu’une histoire de plumage, il est sûr que l'ambiance de l'ouvrage avait dû en surprendre quelques-uns lors de sa sortie fin 2016.

    Mais ce qui apparaît à la lecture des premières lignes de ce pamphlet que nous allons rééditer, c'est la volonté de Louis PETRIAC de se moquer des situations qui lui ont valu d'être confronté à l'affairisme et à la bêtise. Un brin provocateur, utilisant même certains des qualificatifs du célèbre Jean de La Fontaine (1) pour se moquer de ceux qui l'ont roulé dans la farine à maintes et maintes reprises, il n'hésite pas dans ce pamphlet à s'identifier à un pigeon afin de parvenir à tout dédramatiser ! Malgré une quatrième de couverture regrettant que son aventure en Périgord se soit soldée par autant de mésaventures, ce qui ressort de cet ouvrage c'est l'offensive que l'auteur a choisi de mener contre la CIPAV, une caisse de retraite qui ne lui aura laissé aucune chance de parvenir à lancer un projet qui n'attendait pourtant que lui. Surtout après avoir été l'invité d'un Ca se discute chez Jean-Luc DELARUE en décembre 1997. Car tout de même, pour qu'une prétendue Caisse de retraite mette sans attendre à la charge d'un créateur passablement démuni, encore SDF quelques semaines plus tôt, près de 500 euros de cotisations dès le tout premier mois d'activité, sans lui laisser le temps de lancer son concept ni d'acheter ses premiers matériels voire de louer un local, c'est qu'il y avait là l'exercice d'une désinvolture pour le moins navrante. Une désinvolture qu'il combattra 28 ans durant parfois jusqu'à l'extrême limite de ses forces, retrouvant un peu d'énergie dernièrement à l'annonce d'une CIPAV déboutée en première instance qui a finalement choisi de ne pas insister alors qu'elle avait pourtant interjeté appel fin 2017. L'aide du cabinet d'avocats parisiens PINCENT aura été déterminante. Reste maintenant à notre auteur à obtenir sa retraite et la validation de tous ses trimestres d'activité. Un nouveau combat qu'il entend bien financer avec ce pamphlet si du moins vous l'y aidez ! Avant, qui sait, de reprendre un peu de service mais certainement plus en libéral !

    (1) Raminagrobis, le dévot chat faisant la chattemite dans Le chat, la belette et le petit lapin, retrouvera dans ce pamphlet une certaine vigueur sous les traits de l'un de ceux auxquels l'auteur doit bien des soucis.

    Un Ca se discute mémorable sur France 2...   

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  • C'est en 2014 que notre auteur et le créateur de notre label, Louis PETRIAC, a appris que la CIPAV, sa caisse de retraite depuis 1991, venait d'être épinglée par la Cour des Comptes et que des centaines de cotisants avaient été et continuaient à être confrontés à de véritables arnaques (extrait vidéo ci-dessous). Dans un ouvrage publié en 2016SUS aux volatiles, la chasse aux pigeons est ouverte, il était revenu sur ses déboires face à cette CIPAV qui avait scandaleusement bénéficié de protections diverses. Déboires qui le contraindront fin 2015 à cesser d'exploiter son atelier d'écrivain public périgourdin, faute de parvenir à être entendu. Même par celle qu'il a qualifié de Désespérante Wife, l'ancienne ministre Marisol TOURAINE qui n'avait même pas pris la peine de répondre concrètement à un courrier que lui avait adressé le député Joël GIRAUD contacté par notre auteur alors même qu'elle avait été interpellée à l'Assemblée Nationale pour plusieurs autres cas.

    La CIPAV abandonne ses poursuites contre l'un de nos auteurs

    En février 1991 (photo de gauche), alors qu'il sortait d'une passe extrêmement délicate à 40 ans, sans logis un mois auparavant, Louis PETRIAC avait lancé un projet d'écrivain public à Périgueux et il avait, aussitôt, été contraint par cette CIPAV de régler sans le moindre délai pour 500 € de cotisations. C'est l'impossibilité de développer son concept au cours de ses premières années d'activité et de résister ensuite à un véritable harcèlement qui l'ont empêché en janvier 2016 de bénéficier d'une prestation de retraite, la CIPAV ayant refusé de valider la plupart de ses trimestres d'activité et de prendre en considération sa demande de pension. Poursuivi dès l'été 2015 par le nouveau directeur de la CIPAV, Olivier SELMATI et son adjoint François CLOUET qui avaient cru devoir en rajouter une couche, il avait fait appel aux tribunaux en Juillet 2016 pour stopper l'hémorragie. Déboutée de ses prétentions portant sur le règlement de prétendus arriérés, la CIPAV avait cru devoir interjeter appel fin 2017 avant, semble-t-il, de se raviser puisqu'elle vient de choisir le 13 février dernier de ne pas insister. C'est une très grande victoire pour lui comme pour le label qu'il avait créé en 2006 !

    Louis PETRIAC souhaite rendre hommage au cabinet d'avocats parisiens Dimitri PINCENT et associés (1) de lui avoir permis de mieux contenir les derniers assauts de cette scandaleuse caisse de retraite qui aura torpillé son projet de créateur. Alors qu'en novembre 1997, il avait été l'invité de Jean-Luc DELARUE pour un Ca se discute diffusé sur France-Télévision qui promettait et qui aurait pu laisser augurer tout à fait autre chose.

    (1) 56, rue de Londres à 75008 PARIS - www.pincent-avocats.com  

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  • Rochus Misch, le témoin de l'assassinat du bunker évoque mai 1945

    Ancien garde du corps d'Adolf HITLER, Rochus MISCH (ci-dessus) était l'un des téléphonistes employés dans le bunker de Berlin et il a assisté à la mise à mort des enfants GOEBBELS le 1er mai 1945. Dans un entretien qu'il avait accordé au journaliste Bernard VOLKER en 2005, juste avant de décéder, il racontait ce qu'il avait vu au cours des dernières journées ayant précédé la chute du Reich. Qui, également, était encore aux côtés du dictateur nazi et quelle était l'atmosphère dans cet espace étroit conçu sur deux étages et enfoui sous la Chancellerie et une chappe de béton. 

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...Pour Rochus MISCH, le meurtre des six bambins avait eu lieu tout en bas du bunker et non dans les pièces du haut. Comme si Magda GOEBBELS n'avait pas voulu être dérangée dans sa funeste entreprise et éviter que l'on intervienne et qu'on l'empêche de commettre cet assassinat. Ce qui montre bien quel état d'esprit animait cette femme délirante après le suicide d'Adolf HITLER dont on fera même une bouddhiste pour la postérité !  Elle était d'un calme, reconnaîtra Rochus MISCH, sereine même et pas énervée du tout, alors qu'elle s'apprêtait à commettre une horrible tuerie et à sacrifier ses six enfants. MISCH se souvenait encore les avoir croisés habillés tout en blanc, ce qui l'avait surpris, et aussi le fait que leur mère avait refusé de les confier à l'aviatrice Hanna REITSCH pour qu'elle les emmène avec elle en quittant le bunker et qu'elle leur évite ainsi la mort. Des propos sur lesquels s'est appuyé Louis PETRIAC quand il a eu à travailler à un portrait que nous avions publié fin 2017 et qui évoquait surtout le profil psychologique de la Frau Doktor Reichsminister GOEBBELS, un être pervers d'une froideur monstrueuse.

    L'ouvrage de Louis PETRIAC est désormais accessible et vous pouvez vous le procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, L. PETRIAC  ISBN 978-2-918296-43-0

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  •      Fred à l'école d'Annonay

      Fred (fléché) à l'école d'Annonay en Ardèche dans les années trente !  

     Ceux qui ont aimé la belle Chanson Française gravitant autour d'Edith PIAF, de Charles TRENET, de Charles AZNAVOUR, Gilbert BECAUD, Jean FERRAT, Francis LEMARQUE, Serge REGGIANI et de quelques autres n'ont pas oublié l'ancien soliste des COMPAGNONS DE LA CHANSON, Fred MELLA qui chantait encore en 2012 et qui fêtera dans quelques jours, le 10 mars très exactement, ses... 95 ans ! On le revoir sur l'extrait vidéo ci-dessus lors d'un passage dans l'émission Vivement Dimanche de son ami DRUCKER en février 2007.

    Notre premier label avait du reste consacré quelques pages à son parcours dans la biographie de 360 pages abondamment illustrée qui avait été publiée en mai 2011 : Entre mythe et évidences. Comme l'écrivent les auteurs dans leur ouvrage, qui aurait cru en septembre 1943 qu'en remplaçant à son arrivée à Lyon le soliste en titre des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE, un dénommé Jean VERLINE, Fred MELLA, en qualité de pierre angulaire d'une structure mise en place à Lyon par Louis LIEBARD, deviendrait le soliste d'un ensemble appelé à connaître rapidement une consécration internationale. Avec, songez, une carrière de quasiment soixante-dix années de chanson au sein, d'abord, des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE, puis ensuite, entre 1946 et 1985, au sein des COMPAGNONS DE LA CHANSON avant de finir en solo à partir de 1986 ! Pour ce "chansonnivore" un nom que lui avait donné son ami Charles AZNAVOUR disparu en octobre dernier, il aura fallu quelques pépins de santé pour que ce passionné de chanson mette un terme à ce que l'on pourrait dans son cas considérer comme un sacerdoce. Car, cela ne fait aucun doute, Fred MELLA est entré en chanson comme on entre en religion. "Je me demande, a-t-il dit un jour à Michel DRUCKER, comment j'ai fait pour chanter, chaque soir, onze mois par an depuis 1943, sans compter les répétitions et sans avoir de problème de voix, en dehors d'un enrouement lors d'une représentation en Allemagne".

    Pour témoigner de cet intérêt resté fort, Fred avait d'ailleurs accepté en mars 2016 de préfacer l'ouvrage consacré à deux de ses partenaires et amis au sein des COMPAGNONS, Jean BROUSSOLLE et Jean-Pierre CALVET.  

    Une très belle leçon de longévité que la plupart des Compagnons auront éprouvé puisque les trois derniers à disparaître : Gérard SABBAT et Jean-Louis JAUBERT, décédés en 2013, et Paul BUISSONNEAU étaient respectivement âgés de 87, 92 ans et 89 ans. Avec son frère cadet René, l'ancien directeur musical des Compagnons Marc HERRAND et le benjamin GASTON, ils ne sont désormais plus que quatre à rester les témoins d'une réussite qui passe encore pour avoir été exceptionnelle et aussi l'assurance que la passion conserve !

    Les amateurs et tous ceux qui apprécient l'homme pourront retrouver un article complet sur Fred MELLA en s'aidant du lien suivant :  Portrait Fred Mella qui avait été mis en ligne voici déjà une bonne dizaine d'années. Ceux d'entre vous qui sont désireux de se procurer notre biographie pourront aller dans notre boutique.

    Entre mythe et évidences, C. FOUINAT et L. PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-02-7   

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  •  Magda Goebbels ou les hésitations d'une perverse...

    Parce que tout n'est que jeu de miroirs et qu'il puisse arriver que l'image réfléchie par le ou la partenaire ne soit plus conforme à l'image attendue, privé(e) de points de repère depuis son enfance, un(e) pervers(e) narcissique peut éprouver le besoin, un temps, de changer d'amoureux voire de collaborateur de travail. Et le cas de l'égérie nazie Magda GOEBBELS n'échappe pas à la règle. C'est aussi ce qui nous a permis de comprendre très vite quelle était la réelle personnalité de celle qui n'aspirait qu'aux plus hautes marches du pouvoir en se rendant indispensable auprès d'Adolf HITLER. Et en commettant parfois l'erreur de critiquer les autres groupies du Berghof de Berchtesgaden, ce qui lui vaudra même d'être écartée de la cour nazie quelques mois !

    Magda Goebbels ou les hésitations d'une perverse...

    La biographie d'Anja KLABUNDE, la première à avoir été aboutie, comparativement à celle livrée par le fils du nazi MEISSNER, Hans-Otto, évoque d'ailleurs ces coups de coeur successifs et ces atermoiements. Parlant de ce fameux Ernst, l'étudiant fils à papa, puis de Victor Chaïm ARLOSOROFF, le leader sioniste et de Joseph GOEBBELS, elle en fait état, mais sans les qualifier. Disputes, réconciliations souvent torrides, d'autres partenaires d'occasion viendront agrémenter l'ordinaire de cette malade dont la pause devant le miroir que constituait sa reproduction picturale trahissait le narcissisme sans hélas que cette peinture puisse la satisfaire en totalité. On peut dire pour compléter le tableau que la propagande nazie l'avait habillée pour l'hiver : Un père juif FRIEDLANDER dont elle ne voulait plus entendre parler et que le couple GOEBBELS laissera déporter à Buchenwald sans lever le petit doigt, des actes antisémites justifiés par la raison d'état et une Frau Doktor Reichsminister clamant au premier chroniqueur venu qu'il lui était personnellement désagréable et insupportable qu'on la soupçonne d'avoir été élevée par un juif. Sans oublier le profil erroné de "mère idéale" (extrait vidéo ci-dessous) qui, au premier caprice, menaçait de sacrifier ses enfants à son égocentrisme... Tout démontre s'il en était besoin que l'épouse mystique du Führer avait un grain quelque part que personne n'a su ou voulu voir, même longtemps après les faits et force témoignages !

    L'ouvrage de Louis PETRIAC est désormais accessible et vous pouvez vous le procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

       

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