• A propos du pamphlet que Decal'Age Productions éditions va rééditer...

    A propos du pamphlet que Decal'Age Productions éditions va publier...Quand l'auteur se demandait comment il avait pu traverser en 1991, une première année d’émigré au pays du confit d’oie sans y laisser sa peau et sans finir dans une basse-cour, comme d’autres gallinacés en tout genre, avant d’être, comme eux, complètement plumé et rôti. Et qu’entre dinde, oie ou pigeon, tout n’était finalement qu’une histoire de plumage, il est sûr que l'ambiance de l'ouvrage avait dû en surprendre quelques-uns lors de sa sortie fin 2016.

    Mais ce qui apparaît à la lecture des premières lignes de ce pamphlet que nous allons rééditer, c'est la volonté de Louis PETRIAC de se moquer des situations qui lui ont valu d'être confronté à l'affairisme et à la bêtise. Un brin provocateur, utilisant même certains des qualificatifs du célèbre Jean de La Fontaine (1) pour se moquer de ceux qui l'ont roulé dans la farine à maintes et maintes reprises, il n'hésite pas dans ce pamphlet à s'identifier à un pigeon afin de parvenir à tout dédramatiser ! Malgré une quatrième de couverture regrettant que son aventure en Périgord se soit soldée par autant de mésaventures, ce qui ressort de cet ouvrage c'est l'offensive que l'auteur a choisi de mener contre la CIPAV, une caisse de retraite qui ne lui aura laissé aucune chance de parvenir à lancer un projet qui n'attendait pourtant que lui. Surtout après avoir été l'invité d'un Ca se discute chez Jean-Luc DELARUE en décembre 1997. Car tout de même, pour qu'une prétendue Caisse de retraite mette sans attendre à la charge d'un créateur passablement démuni, encore SDF quelques semaines plus tôt, près de 500 euros de cotisations dès le tout premier mois d'activité, sans lui laisser le temps de lancer son concept ni d'acheter ses premiers matériels voire de louer un local, c'est qu'il y avait là l'exercice d'une désinvolture pour le moins navrante. Une désinvolture qu'il combattra 28 ans durant parfois jusqu'à l'extrême limite de ses forces, retrouvant un peu d'énergie dernièrement à l'annonce d'une CIPAV déboutée en première instance qui a finalement choisi de ne pas insister alors qu'elle avait pourtant interjeté appel fin 2017. L'aide du cabinet d'avocats parisiens PINCENT aura été déterminante. Reste maintenant à notre auteur à obtenir sa retraite et la validation de tous ses trimestres d'activité. Un nouveau combat qu'il entend bien financer avec ce pamphlet si du moins vous l'y aidez ! Avant, qui sait, de reprendre un peu de service mais certainement plus en libéral !

    (1) Raminagrobis, le dévot chat faisant la chattemite dans Le chat, la belette et le petit lapin, retrouvera dans ce pamphlet une certaine vigueur sous les traits de l'un de ceux auxquels l'auteur doit bien des soucis.

    Un Ca se discute mémorable sur France 2...   

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