• Claude Sarlat, un magicien épris de son Périgord...Une nuit épaisse, un fiacre qui passe... Tout était réuni pour que, dès le départ, la fiction tournée soit angoissante. Et aussi pour qu'elle retienne l'attention des spectateurs et cela dès les premières minutes du film. Un peu plus même encore après l'abandon d'un nouveau-né devant un couvent ! La porte des malvenus reste à cet égard un film mémorable qui montre quel était le quotidien des Périgourdins au début du siècle dernier, à une époque où l'abandon d'un enfant mal venu devant un couvent marquait celui-ci pour la vie entière.

    Il suffisait de voir Claude SARLAT tourner pour s'en convaincre, l'homme aimait évoquer sa région en ayant parfois recours à des personnages hors du commun auxquels il confiait des rôles faits pour eux. Comme, par exemple, cet abbé FRANCOIS, curé à Sorges, appelé à jouer son propre rôle dans une production ou comme cette figure locale qu'était Jeannot GEORGES surnommé "Le Raimu du Périgord" auquel le cinéaste se plaisait à faire tenir des propos illustrant parfaitement ce qu'était jadis la paysannerie et ses croyances, ses états d'âme aussi. « Tu sais mère, la misère n'est pas à vendre car personne n'en veut. C'est pourquoi il y a tant de malheureux comme nous ! lui fera-t-il dire à un moment donné avant que suive au moment de la disparition de l'une des héroïnes de la fiction un : Henriette, fais vite d'aller préparer la morte avant qu'elle soit froide ».

     

    Et pourtant le Périgord de Claude SARLAT, son Périgord, l'a indiscutablement oublié une dizaine d'années après sa disparition ! Alors qu'il avait achevé quelque temps plus tôt cette nouvelle fresque locale qu'est restée Les gens de Rochebrune. En publiant cet envers du décor et un travail de celle qui avait longtemps partagé la vie du cinéaste, et qui était la scripte des Films Claude Sarlat, il nous avait semblé utile, voici déjà six ans, de reparler de cet ancien cameraman de France 3 et de tous ceux qui avaient eu la joie de tourner pour lui. Autour d'un pot du souvenir immortalisé par une photo (voir ci-dessous)

    L'ENVERS DU DECOR DE CLAUDE SARLAT, Marie-F. MESPOULEDE, ISBN n° 978-2-918296-13-3

    Claude Sarlat, un magicien épris de son Périgord...

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  • Notre catalogue ! Un grand choix !Ceux qui avaient déjà commandé un ouvrage à notre ancien label créé par Louis PETRIAC le savent, après avoir timidement démarré en 2006, DECAL'AGE PRODUCTIONS EDITIONS s'est efforcé d'étoffer sensiblement sa production au cours des dernières années et désormais sous la forme d'une société d'édition après avoir racheté le catalogue de son créateur, et surtout pour être en mesure de mieux diffuser quand toutefois c'était possible. Les deux extraits que nous vous invitons à découvrir : début et fin du catalogue le montrent : aux côtés de portraits consacrés à des créateurs de concepts ou à des figures inoubliables, figurent aussi des ouvrages traitant de thèmes qui, aujourd'hui, font réfléchir, comme ceux de l'autisme ou de la perversion narcissique, voire du nazisme.

    Vous y trouverez également des ouvrages poétiques, bien que nous ayons renoncé désormais du moins depuis notre reprise de 2017 à produire de telles conceptions. Du moins à compte d'éditeur parce que le domaine s'écoule difficilement. Sachez qu'un accent particulier devrait être mis prochainement sur le roman. N'hésitez donc pas à nous approcher si vous avez conçu quelque chose que vous souhaiteriez voir publié dans ce domaine ! Nous pensons notamment aux polars ! Sachez aussi que nous sommes particulièrement accessibles en centre ville... Et que, si cela vous dit, vous pouvez nous y retrouver en prenant toutefois un rendez-vous. A bientôt peut-être...

    http://decalage-prod-editions.eklablog.com

     

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  • Pour moi, la vie va commencer s'était-il dit ! Comme Johnny !Dans son ouvrage : Max... une fantastique odyssée, Max MARCHAPS revient sur ses débuts à la tête de la SELP qu'il avait créée en 1962 à Mareuil-sur-Belle. « Pendant trois ans, écrit-il, choisissant de ne pas me payer, je me nourrissais uniquement de sandwiches en privilégiant les investissements machines et le paiement des salaires de mes employés. C'était comme à la guerre, il fallait foncer et ne pas compter. Ni son temps, ni ses efforts. Je crois que j'aurais pu travailler jusqu'à en mourir, prêt à me battre jusqu'à mon dernier souffle et si les affaires avaient mal tourné, j'y restais resté. Il n'y avait pas de demi-mesure possible. Certains, dans ces cas-là, auraient attenté à leurs jours et se seraient tués d'un coup de fusil. On l'a déjà vu. J'avais cependant une sorte de force en moi et une bonne étoile devait veiller sur moi ; je n'avais peur de rien. Pour preuve, je rappellerai cet événement, qui se déroula un an avant celui que je viens d'évoquer, au tout début de la SELP, en 1963. Je n'avais plus du tout d'argent, mon entreprise était au plus mal, tout autant que mon moral. Je revenais de Paris en 404 par la départementale 675 par une nuit claire et étoilée. Je n'avais pas pris de vrai repas depuis plusieurs jours et à Orléans, dans un grand hôtel restaurant routier "Les Loges", je bus un coup de rouge et mangeai un sandwich. Machinalement, en relavant la tête, j'aperçus Johnny Hallyday à la télévision. Il chantait l'une de ses dernières et plus célèbres chansons : "Pour moi la vie va commencer !" Sans savoir pourquoi, ce refrain me toucha. D'Orléans à Mareuil, dans ma voiture, je me mis à chanter à tue-tête Pour moi la vie va commencer ! Cela me regonfla le moral et je me sentis aussitôt mieux. La vie est souvent faite de désagréments. S'en inquiéter et abdiquer n'est pas une solution. Il faut aussi parfois trouver la force d'en rire pour repartir avec une force nouvelle. »

    Un très belle leçon d'espoir que cette parenthèse sur le regretté Johnny HALLYDAY !

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  • Claude (avant-propos)

    La Douze, 27 mai : Pénétrons dans l'envers du décor de Claude SarlatLe 27 mai prochain durant le Salon du Livre de La Douze, il est tout à fait possible que les plus âgés des Périgourdins présents retrouvent à notre stand un ouvrage surprenant, celui que l'ancienne compagne de Claude SARLAT, Marie-Françoise MESPOULEDE lui avait consacré à l'été 2012 ! Surprenant, cet ouvrage l'est en effet, car on y retrouve une grande quantité de documents liés aux deux dernières réalisations de l'ancien cinéaste !

    Tout en s'aidant des quelques souvenirs de nombreux témoins, l'auteure qui avait été scripte au sein des Films Claude SARLAT, avait émis l'idée d'un ouvrage hommage, sachant que le cinéaste avait lui-même longtemps caressé l'espoir de concevoir ses mémoires de passionné du septième art. Il lui tenait à coeur d'évoquer ce qui symbolisait son compagnon et la magie d'un homme considéré à juste titre comme l'un des derniers défenseurs de la mémoire locale, quelqu'un aussi qui était très attaché à son Périgord natal et à la vallée de la Dronne. Outre les témoignages de certains des acteurs que SARLAT avait approchés, on y retrouve quantité de photographies des prises de vue opérées durant le tournage de réalisations comme : La symphonie d'automne, La porte des malvenus et Les gens de Rochebrune. Les gens de Rochebrune dont il reste aujourd'hui un extrait vidéo. Cet envers du décor montre aussi avec quelle passion l'ancien cameraman de FR3 Limoges, qui eut même l'occasion de participer à l'émission de Vincent PERROT 30° à l'ombre, réussissait avec des moyens comptés à mettre en scène des acteurs souvent débutants que l'on a ensuite retrouvés dans d'autres réalisations. Avec Claude SARLAT disparu en 2007, c'est un fervent partisan de la mémoire locale que le Périgord a perdu en juillet 2007 !

    La Douze, 27 mai : Pénétrons dans l'envers du décor de Claude Sarlat

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  • Si vous venez nous rendre visite à la Salle des Fêtes de La Douze le 27 mai prochain, vous aurez bien entendu la possibilité de découvrir nos dernières publications dont Magda, la chienne du Troisième Reich et Parfum de diable de Edouard DUF, et quelques autres ouvrages mais aussi trois d'entre eux dont il nous arrive assez souvent de parler ici. Parce qu'ils évoquent un Périgord et une région où il est pourtant extrêmement difficile de s'imposer. Trois célébrités locales ci-dessous.

    Claude Sarlat   A propos du salon de La Douze...A propos du salon de La Douze...

    Max MARCHAPS, pourtant fils de l'ancien maire de Mareuil-sur-Belle André MARCHAPS, avait pensé lancer son projet de création de société dans les laminés plastiques, la SELP, dans de bien meilleures conditions que celles dont il a finalement bénéficié en 1962. Privé du soutien de sa propre municipalité de Mareuil, il n'aura d'autre solution que celle de procéder lui-même à certains travaux après une recherche de terrain qui lui avait déjà posé beaucoup de problèmes. Au point qu'il avait même envisagé bâtir son usine sur un terrain éloigné. C'est dire !

    MAX... UNE ODYSSEE FANTASTIQUE... Max MARCHAPS, ISBN n° 978-2-952411-79-0

    Ainsi en est-il également de l'ancien cinéaste Claude SARLAT disparu en 2007 et que le Périgord a complètement oublié. Pourtant que de films et que d'évocations régionales à mettre au crédit de cet homme qui avait su, après une carrière de caméraman au sein de l'ORTF et de FR 3, se tourner vers une réalisation cinématographique locale en s'impliquant dans le tournage de films comme La porte des mal venus ou Les gens de Rochebrune ! Ne disait-on pas de lui qu'il était la lampe qui faisait reculer l'ombre et jaillir la lumière ? La lumière, il la fera jaillir au cours de réalisations qui auraient pu séduire la télévision comme ses toutes premières prises de A chacun son linceul, une évocation du Périgord de 1914 au moment de l'entrée en guerre de notre pays.

    L'ENVERS DU DECOR DE CLAUDE SARLAT, M-F. MESPOULEDE, ISBN n° 978-2-918296-13-3

    Des trois, c'est encore Robert SUDEY qui aura le plus bénéficié d'appuis locaux. Dans son ouvrage d'ancien maquisard dans un maquis près de Sorges, il raconte comment, issu du monde rural, il avait pu tirer parti de ses origines paysannes parce qu'il communiquait assez facilement en patois et qu'il connaissait parfaitement les travaux de la ferme. Sans doute aussi les temps étaient-ils différents, MARCHAPS et SARLAT n'ayant pas eu pour leurs activités à s'opposer aux nazis et à l'armée allemande.

    MA GUERRE A MOI... , Robert SUDEY, ISBN n° 978-2-918296-23-2

     

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  • Cétait le seizième homme du quinze de France !

    Cétait le seizième homme du quinze de France !Passionné d'ovalie, le "Allez les petits" du seizième homme du Quinze de France est resté dans toutes les mémoires, au point de servir incontestablement le sport qu'il adulait. Il faut dire que le Gersois Roger COUDERC, commentateur et, parfois, gentiment chauvin, que sa fille trouvait plein de vie et d'envies, appartient comme quelques autres à une race de seigneurs qui savaient tout faire. Avec sa voix rocailleuse et chaleureuse du Sud-Ouest, qu'il s'agisse de rugby et de catch, qu'il ait été animateur ou créateur de concepts comme STADE 2 qu'il créera pour FRANCE 2 avec son ami Robert CHAPATTE, il a indiscutablement laissé une trace en disparaissant. Un homme auquel il n'était pas inutile de rendre hommage et qui nous aura quittés trop vite en 1984 alors qu'il n'avait que 66 ans et qu'il avait encore tant de choses à faire ! Il repose à Mauvezin dans le Gers, sur la route d’Auch, dans son Sud-Ouest

    Ce portrait hommage que nous avions mis en ligne fin 2009 sur Google en concevant un "Knol" se devait de trouver tout à fait naturellement sa place au sein de notre galerie des aînés émérites créée lors de la conception de notre nouveau site chez Eklablog.

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  • 1ere Couv Guy Bourguignon 

    Guy B au maquillage

    Yves JOLY, François AUGIERAS, Georges CROSES, Pierre PARSUS, Guy BOURGUIGNON... Ils sont quelques jeunes gens qui ont entrepris de mettre leurs connaissances en commun et de proposer en Périgord des spectacles de marionnettes en s'inspirant de la comedia dell'arte et des Comédiens routiers de CHANCEREL. Il faut avouer qu'en ce début d'automne 1941, alors que nous sommes en plein conflit, les préoccupations ne manquent pas ! " A la bibliothèque de Périgueux, écrira Serge SANCHEZ dans un ouvrage consacré à François AUGIERAS publié en 2006 chez Grasset, beaucoup de réfugiés de toutes origines, Juifs des Carpates et Juifs allemands, Croates ou Baltes venaient, non pour emprunter un livre, mais pour se réchauffer auprès du poêle à charbon ". C'est dans ce contexte relationnel du Périgord de la guerre que vont se nouer des amitiés et des complicités et que des compétences vont émerger, voire s'affiner. Le Périgourdin Guy BOURGUIGNON dont le père Serge est directeur de l'agence du Crédit Lyonnais de Périgueux vient d'épouser Simone MOULINIER. Il ne sait pas encore qu'il a puisé au contact d'Yves JOLY et de tous les autres une force dont il se servira ensuite dans la région lyonnaise en devenant... Régisseur de scène. Nous sommes encore loin d'imaginer quelle va être la destinée de cet homme épris de cinéma et de prises de vues dont la grande PIAF enviait la culture et qui sera, en février 1946, l'un des créateurs des COMPAGNONS DE LA CHANSON.

    Après avoir publié une biographie consacrée aux COMPAGNONS DE LA CHANSON, Louis PETRIAC évoque dans ce nouvel ouvrage la personnalité du Compagnon Guy BOURGUIGNON décédé en décembre 1969 dont on a peu parlé. Abondamment illustré, cet ouvrage préfacé par le comédien Roland GIRAUD et à tirage limité (couverture en tête d'article), proposé à 19 € s'écoule toujours.

    Guy Bourguignon, le Compagnon de la Chanson périgourdin, ISBN n° 978-2-918296-24-9  

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  • Salon du Livre de La Douze

    Nous avions consacré un premier article à cette prochaine manifestation qui n'attend que quelques précisions des organisateurs quant au détail des participants. Sans que nous ayons pu encore nous procurer la liste complète des quarante auteurs et des éditeurs qui seront présents, il apparaît qu'en dehors de nos deux représentants de trois ou quatre éditeurs et de l'invité d'honneur Michel NEGRIER, les amateurs pourront compter sur la présence de : Jean-Jacques GILLOT, de la Société Historique et Archéologique du Périgord, auteur de plusieurs ouvrages dont Chroniques de guerre en Périgord publié aux éditions de BOREE, Jean-Claude ALLARD, auteur d'un dernier ouvrage : Conversations avec le chat publié chez ARKA, Michel LABUSSIERE, auteur de Mai 68 en Périgord, que reste-t-il de nos amours publié aux éditions PERCE-OREILLE, Anne GIVAUDAN, auteure de Voyager entre les mondes publié chez S.O.I.S, Annick TOMLISON, auteure de livres pour enfants, de Georges LABROUSSE, auteur notamment de Justin Descombes paysan du Périgord publié chez PILOTE 24.

    Une première manifestation qui, nous l'espérons, sera accueillie avec intérêt !  

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  • C'est un périple au Brésil bien agité qui attend Bernard, l'ancien troisième ligne bayonnais ! Devenu commercial, il y était allé pour négocier des espaces publicitaires. Une longue liste de quiproquos et des policiers peu disposés à entendre ses observations lui vaudront d'être enfermé avec des malfrats et de devoir suivre ces derniers dans une véritable évasion de guérilléros. Parce qu'on l'avait surpris nu, après une soirée bien arrosée, à avoir voulu s'approprier des sous-vêtements qui séchaient sur un fil à linge. En plein coeur d'une forêt vierge où conscients d'être à l'abri, ces malfrats lui proposeront un nouveau statut d'homme en cavale avec un certain nombre de réjouissances qui ne retiendront pas son attention. En dehors de la très belle Julia. Un polar qui se lit facilement.

    EXTRAITS : Je rêvais de ce contact avec son corps ferme depuis si longtemps que je sentis ma glotte remonter au fond de la gorge, sans pour autant croire qu'elle était là, tout près de moi et enfin à moi, à moi seul ! Sans risquer le regard soupçonneux de cet hidalgo à la manque qu'elle avait enfin eu le courage de laisser derrière elle ! Au comble du désir qui était le mien, l'entourant soudain de mes bras, avant même d'avoir pu réaliser ce qui nous arrivait et sans qu'elle se raidisse, nous échangeâmes enlacés un très long baiser, révélateur de ce qu'était notre passion et en même temps ce qu'était notre soulagement d'avoir enfin pu échapper à nos geôliers et à une pression qui avait été insoutenable tous ces derniers jours. Au point, qu'emportés par la passion, nous eûmes même du mal à reprendre nos esprits.

    Un autoédité que nous avons la possibilité de vous adresser si vous nous en faites la demande ! Nous en avons encore quelques-uns en stock !

    NEIGE EN AMAZONIE, Frédéric RUHER, ISBN n° 978-2-918296-27-0

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  • La Douze, 27 mai... Claude Fischer présentera ses deux ouvrages

    La Douze, 27 mai... Claude Fischer présentera ses deux ouvragesAuteur de deux ouvrages, le dernier ayant été publié après avoir été autoédité et servi à une rencontre avec un homme très discret, Claude FISCHER a été invité à participer le 27 mai prochain au Salon du Livre de La Douze.

    Installé à Eygurande-Gardedeuil près de Montpon-Ménestérol, FISCHER est l'un des rares magnétiseurs à exercer en Périgord et à défendre des convictions profondément ancrées en lui. Celles, notamment, évoquant cette énergie qui se manifeste de différentes façons ! Aussi bien sous la forme d'ondes perturbantes rendant certains lieux de vie inhabitables que sous la forme de ce que nous devons apprendre davantage à domestiquer pour en tirer un bienfait. C'est évident, tout cela reste trop souvent du domaine de l'ésotérisme alors que nos aînés s'en servaient davantage dans des temps reculés (Antiquité, Moyen-Age...), ce qui est, vous en conviendrez, navrant. Dans Fabuleuse énergie, publié fin 2014, Claude FISCHER parle de l'incidence de ces ondes nocives qui ont, aujourd'hui, été récupérées par quantité de concepts. En revanche, avec Messages bouleversants d'une destinée... ce sont plutôt les motivations qui sont mises en avant. Celles qui auront incité cet ancien éleveur et maraîcher à respecter la nature et ce qui a été offert à l'homme pour s'autogérer !

    Claude FISCHER présentera ses deux ouvrages aux côtés de Louis PETRIAC, auteur dans un domaine différent d'un portrait sur Magda GOEBBELS, l'égérie nazie.

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  • Nous serons au Salon du Livre de La Douze en Périgord

    Nouvelle initiative à mettre au crédit de l'Association ART SOUL (artsoul@orange.fr) animée par Agathe BONNET, un salon du livre qui sera organisé le 27 mai prochain à La Douze sur la D. 710 à quelques kilomètres de Périgueux (photo ci-dessus). En juillet 2015, on y avait accueilli La Félibrée.

    A un moment où jamais autant le livre ne s'est aussi mal porté en lien avec une croissance ininterrompue d'illettrés ou de fâchés avec le texte, cette initiative est à saluer. Il faut dire que depuis la disparition du Salon d'Antonne-et-Trigonant de James CABIROL et de quelques autres, le département ne comptait plus guère de salons dans le genre ! En dehors bien entendu de quelques vides-grenier et de la manifestation de Champcevinel où il faut montrer patte blanche et un certain statut social pour pouvoir exposer. Nous ne pouvions donc décliner l'invitation qui nous a été faite par l'organisatrice et DECAL'AGE PRODUCTIONS EDITIONS y présentera, avec ses auteurs Claude FISCHER, magnétiseur à Eygurande-Gardedeuil près de Montpon et Louis PETRIAC, biographe. Claude FISCHER est l'auteur de deux ouvrages dont Messages bouleversants et Louis PETRIAC, de plusieurs réalisations dont, bien entendu : Magda, la chienne du Troisième Reich. Certaines autres réalisations seront exposées comme l'ouvrage hommage à Claude Sarlat le réalisateur de films locaux que le Périgord semble avoir oublié, Max Marchaps le créateur de la SELP à Mareuil-sur-Belle et Robert Sudey, le maquisard trélissacois auteur de : Ma guerre à moi... Maquisard et résistant en Dordogne.

    Plusieurs autres plumes y dédicaceront leurs ouvrages dont Michel LABUSSIERE, l'ancien journaliste de la DL, Jean-Claude ALLARD qui préside aux destinées des Beaux-Arts de Périgueux et Michel NEGRIER. Vous noterez que Michel LABUSSIERE est l'auteur de Mai 68 en Périgord. Que reste-t-il de nos amours, publié aux Editions du Perce-Oreille. Un demi-siècle après, que reste-t-il de ce qui s'est passé en Dordogne, sur le terrain et dans les têtes ? En allant chercher dans les archives locales, nationales et dans la mémoire des acteurs et témoins de cette époque, ce livre est un... pavé de formidables évocations. Des luttes et des thèmes qui ont secoué et parfois inquiété le Périgord et une plongée dans ce que la Dordogne a vécu de rêves parfois brisés mais d'utopies jamais éteintes. 

    Jean-Claude ALLARD est l'auteur d'un dernier ouvrage publié chez ARKA, Conversations avec le chat.

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  • Les Marchaps à Mareuil (24)... Entre père et fils, ça collait !

    Les Marchaps à Mareuil (24)... Entre père et fils, ça collait !

    Max MARCHAPS raconte dans son ouvrage consacré à la création de la SELP, de quelle façon il s'y était pris pour convaincre son père, maire de leur commune de Mareuil-sur-Belle, de ses projets de création. Les deux hommes avaient longtemps travaillé de concert en unissant leurs efforts et Max (ci-dessus devant leur camionnette de négociants ruraux) craignait que son départ ne soit pas bien perçu. D'autant qu'il allait avoir besoin de puiser dans leurs économies pour lancer son projet.

    EXTRAITS : « J'avais prévu d'investir ces fonds dans l'activité de plastification. C'est du moins ainsi que j'avais planifié les choses. En théorie, c'était on ne peut plus simple. Si j'étais bien résolu à me lancer, il me restait à faire accepter le projet à mon père qui, à l'époque, était aussi le maire de Mareuil. Ce n'est pas que j'avais absolument besoin de lui, mais les rapports que nous avions l'un et l'autre étaient axés sur une confiance mutuelle que je me devais de respecter. D'autant qu'avec mon père ces rapports étaient très agréables, basés sur une sorte de camaraderie qui se rencontre assez peu entre père et fils. Nous parlions entre hommes, sans avoir recours aux chichis habituellement utilisés et liés à l'autorité... Nous en discutâmes longuement et j'eus au bout du compte le sentiment d'avoir été persuasif. l'argument de la désertification des campagnes fut évidemment évoqué ainsi que la nécessité de s'adapter aux récentes mutations sociales et économiques... L'affaire que je lui proposais le dépassait même un peu. Entre un commerce de tissus et l'industrialisation à grande échelle des laminés plastiques, cela faisait tout de même une sacrée différence ! Il y avait cependant une autre raison, que je me dois de rapporter ici. Il avait pour sa part déjà essayé de monter une affaire dans le domaine des transports, quelques années auparavant, et elle n'avait pas abouti. Alors, comme on dit, chat échaudé craint l'eau froide. C'est pourquoi il redoutait de se lancer désormais à nouveau dans la création d'une nouvelle entreprise. Enfin, et ce n'était pas rien, il avait l'obligation, en s'engageant, d'hypothéquer la propriété de mon grand-père. Une chose à laquelle il ne pouvait absolument pas se résoudre. C'est ce qui le poussa à renoncer définitivement à s'engager sur ce projet... Il finit donc par me conseiller d'agir en fonction de mon intuition. c'était la réponse que j'attendais pour foncer »...

    MAX... UNE FANTASTIQUE ODYSSEE, Max MARCHAPS, ISBN n° 978-2-952411-79-0

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  • Sortie de Magda, la chienne... L'article de la Dordogne Libre

     

    19 déc.1931... Le mariage de Magda Goebbels, une messe noire ?Avec quelques autres articles publiés depuis sa sortie, l'une de nos dernières publications : Magda, la chienne du Troisième Reich de Louis PETRIAC, malgré un titre "pas très comme il faut", n'a pas laissé indifférent. Le long échange proposé par PAROLES D'ACTU de Nicolas ROCHE en est l'illustration, qui montre bien quel aura été l'intérêt des plus jeunes âgés d'une trentaine d'années pour cette "Première Dame du Troisième Reich" qui se voyait arriver au sommet de la pyramide à l'âge de 19 ans et cela dès ses premières fréquentations avec le magnat de l'industrie Gunther QUANDT, coursant ensuite, après leur rencontre de 1931 au Kaiserhof de Berlin, Adolf HITLER alors que le "Fiancé de l'Allemagne" était pourtant très occupé avec sa nièce Geli RAUBAL qu'il tenait sous "haute protection" et qui venait de se suicider !

    L'ouvrage est désormais proposé dans notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

     

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