• Joyeux Noël à tous !

    Oui, ne perdons pas nos bonnes vieilles habitudes malgré less menaces qui pèsent sur notre civilisation !  Car c'est Noël et, en lien avec cette journée de trêve, nous vous proposons cet Ave Maria interprété ici par Fred MELLA (photo ci-dessus), l'ancien soliste des COMPAGNONS DE LA CHANSON que les plus jeunes n'auront pas connu et avec lesquels l'aventure de notre précédent label avait débuté en 2007, alors qu'il venait d'être créé par Louis PETRIAC, voici déjà quasiment dix-sept ans ! Que le temps passe ! Nous aurons en ces temps de trêve souhaitée après une nouvelle année bien éprouvante pour beaucoup d'entre vous qui restent dans leur nostalgie solitaire à se souvenir des heureux moments de jadis !

    Joyeux Noël à toutes et tous ! Et bonnes fêtes de fin d'année malgré ce que nous avons à endurer actuellement et ce que nous redoutons en ces temps d'invasion meurtrière !

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  • Une fin à la hauteur des exactions de cette chienne de Magda...

    Il était le diable... et le petit ange de Magda, la chienne

    Des extraits d’un journal intime qu'on a pris grand soin de souvent taire, sont saisissants. Celui-ci parle comme l’a dit Léonid GUIRCHOVITCH, un chercheur et écrivain russe (1), empruntant d’abord la voix d’une gamine, puis celle d’une femme qui n’est plus de ce monde et dont la fin a été si terrifiante qu’aucune femme n’en a probablement connu de pire.

    Mais fallait-il en tuant ces six enfants vouloir se soustraire à la justice des hommes et surtout à l'opprobre qu'ils n'auraient pas manqué de lui manifester en découvrant qui étaient leurs véritables mère et père et ce qu'était réellement ce National-Socialisme dont on leur rebattait les oreilles depuis leur plus tendre enfance. Et, comble d'un machiavélisme outrancier, fallait-il vouloir organiser autour de ce suicide collectif une disparition longtemps pensée qui exonérerait partiellement cette "mère idéale" des crimes qu'elle avait commis au nom de ce soi-disant national-socialisme ? Pourtant, tout cela a bien été réel et la très grande majorité des écrits produits sur ce monstre qu'était Magda GOEBBELS continuent à ne pas relater la plupart des faits qui se sont déroulés dans ce bunker de la mort les 30 avril et 1er mai 1945 ! On apprendra qu'elle avait déjà en projet de tuer ses gosses depuis quelque temps déjà !

    Non mes petits, votre maman n'était pas et n'a jamais été, sauf pour la propagande nationale-socialiste, une mère idéale ! C'était un être abject qui ne pensait qu'à elle en méprisant au besoin même ceux avec lesquels elle avait entretenu des liens ! C'était aussi comme le dira le biographe Tobby THACKER un être froid et répugnant !

    L'ouvra est disponible dans notre boutique en ligne.

    (1) Léonid GUIRCHOVITCH "Meurtre sur la plage" éditions Verdier, 2014.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, 978-2-918296-43-0

     

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  • Une vie déjà bouleversée par un départ au STO à vingt ans !Dans les années trente, avant la guerre et ses débuts dans la vie active, Jean RODON (ci-contre) demeurait encore rue du Beau Site chez ses parents, au Blanc-Mesnil, une agglomération en plein bouleversement démographique où ils avaient acquis un modeste lopin de terre pour y bâtir leur propre maison. Il y a tout connu, l'ambiance d'un Front Populaire porteur d'espérance chez les moins nantis, ses premiers émois d'adolescent amoureux et une existence enthousiasmante aux côtés de parents qui lui avaient appris à repousser les limites de l'inacceptable. Ils lui apprendront aussi à ne jamais renoncer, encore moins en 1943, lorsque requis par le Gouvernement de collaboration du vieux Maréchal PETAIN et de l'affairiste politique Pierre LAVAL, il devra répondre à l'obligation de rejoindre l'un des ateliers nazis de l'entreprise A.E.G d'Hennigsdorf dans le cadre du S.T.O. Alors que né après décembre 1922, il n'aurait pas dû partir dès Février 1943 mais bien plus tard. Il n'aurait de ce fait pas subi plus de deux années de galère !

    Jean Rodon, son ouvrage sur l'occupation nazie et le STO...

    D'une existence qui l'avait contraint à laisser derrière lui Sophie, la petite ouvrière dont il s'était épris, il n'aura gardé de cette expérience traumatisante que les bons côtés, ceux d'une résistance qu'il était par exemple capable d'opposer aux épreuves pour survivre, malgré des conditions de vie que les nazis se plaisaient à durcir pour éprouver un peu plus cette main d'oeuvre bon marché qu'ils s'étaient procurée. Pour le jeune Jean, encore adolescent, fils d'élus communistes et neveu d'un député arrêté dès la signature du pacte germano-soviétique, il n'était pas question de dire autour de lui qui étaient les siens. Encore moins dans le petit atelier parisien de mécanique générale où un collabo l'avait recruté en qualité d'apprenti.

    Extraites de mémoires destinées aux siens (enfants et petits-enfants), ce sont ces heures évoquant son départ pour l'Allemagne nazie et un Paris occupé depuis juin 1940 que nous avons souhaité publier. Un document fort !

    Vous trouverez cet ouvrage dans notre boutique en ligne.

    JOURNAL D'UN ADOLESCENT FACE A LA G..., Jean RODON, ISBN 978-2-918296-46-1 

     

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  • 1930... Le dilemme de la future Magda Goebbels !

    Après sa sortie, Nicolas ROCHE pour PAROLES D'ACTU nous avait consacré une longue tribune évoquant notre publication : Magda, la chienne du Troisième Reich, un ouvrage publié quelques semaines auparavant. De son échange avec Louis PETRIAC, cette question qui suit traite, en partie, de la personnalité de cette "Première Dame du Reich" auteure d'un fait qui restera dans toutes les annales : celui de l'assassinat de six de ses sept enfants le 1er mai 1945 dans un bunker pris d'assaut par l'Armée rouge ! Avec, bien entendu, la réponse de l'auteur de l'ouvrage qui aura fouillé bien des archives et lu plus de vingt publications et biographies pour avoir le sentiment, progressivement, que la propagande nazie avait fabriqué une "Dame du Troisième Reich" sur mesure et que l'on avait voulu cacher beaucoup de choses !

    1930... Le dilemme de la future Magda Goebbels !

    Q : À 18 ans, Magda rencontre Günther Quandt, un industriel veuf de vingt ans son aîné (photo en tête d'article) ; protestante, elle se convertira au catholicisme, la religion de son futur époux (le mariage a lieu en 1921). Un fils, Harald, naîtra de cette union peu après le mariage. L’union dure à peu près dix ans, émaillée de drames familiaux qui vont peser sur le couple, et aussi de révélations sur des "coups de canif" portés par l’une (qui reverra Arlosoroff) et par l’autre. Magda, qui ne s’est jamais sentie vraiment à son aise dans un cadre familial qui ne l’a pas vraiment acceptée, fait chanter son époux, étant entrée en possession de documents scandaleux et compromettants. Elle obtient un appartement luxueux au cœur de Berlin, une pension confortable, et la garde d’Harald. Elle a 30 ans. Elle est riche, et elle est libre. Est-elle heureuse ?

    R : Comment aurait-elle pu être heureuse puisqu’elle commençait à éprouver des difficultés à ressentir quoi que ce soit ! Heureuse, malheureuse… les clichés alternent, beaucoup d’amants de passage et l’impossibilité de se fixer. Comme elle n’éprouve rien de précis, elle reste dans une sorte de magma, attendant qu’une occasion se présente qui lui permettrait d’accéder à cette puissance qu’elle convoite depuis son adolescence. « Magda était à mes yeux devenue une narcissique qui avais besoin d’être rassurée par une sorte de miroir capable de donner une image réhabilitante d’elle-même...» (un cliché de la propagande nazie de l'époque, ci-dessous, le démontre).  L’infidélité d’Arlosoroff avant celle de Joseph Goebbels venait de précipiter la chose et la perversion narcissique s’était installée en elle, qui ne la quittera plus. On ne naît pas pervers narcissique, on le devient. À cause des castrations opérées dans l’enfance, les repères d’un enfant disparaissent, il n’a plus la sensation d’exister en tant que tel sinon par l’image que les autres diffusent de lui. Magda était devenue une narcissique qui avait besoin d’être rassurée par une sorte de miroir capable de lui donner une image réhabilitante d’elle-même. Pour avoir le sentiment d’exister, elle vivra à travers les autres, s’écartant d’eux dès qu’ils commettaient le moindre écart. Ce sera le cas avec ce jeune étudiant Ernst qui l’amènera à demander le divorce à Quandt. Une fois qu’il l’aura menacée avec une arme, elle le « répudiera » ! Et ce sera le cas de combien d’autres ! Son père, juif en plus, Richard fera partie du lot pour avoir été dans l’incapacité de tenir un certain rang social après avoir tout perdu en Belgique en 1914.

    Un ouvrage à découvrir dans notre boutique en ligne.

    1930... Le dilemme de la future Magda Goebbels ! 

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

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    Hitler, ou comment devient-on un pervers narcissique ?

    On savait depuis quelque temps déjà qu'Adolf HITLER était un monstre, mais ce qui pourrait aider à mieux comprendre encore ce qu'il campait, c'est ce que certains spécialistes de la question viennent d'établir à propos de son profil.  En effet, il est démontré aujourd'hui que l'ancien "guide" de l'Allemagne était un PERVERS NARCISSIQUE. Un homme dont le chef d'état-major de l'ancien Kaiser Guillaume II disait de lui, qu'il n'avait aucune conscience de ce qu’étaient le bien et le mal ? Ce profil justifie aussi le lien qu'il avait noué avec l'autre perverse de la bande qu'était Magda GOEBBELS.

    L'extrait vidéo ci-dessus repasse en détail ce qu'aura été l'enfance de ce personnage énigmatique et de quelle façon ses parents, et surtout son père le douanier Aloïs HITLER, ont contribué à faire de l'ancien chancelier du "grand Reich allemand" ce qu'il est ensuite devenu, une fois majeur, privé de la possibilité d'exercer ce qu'il croyait être sa destinée en étant devenu artiste, entre humiliations répétées et brutalités dispensées par un père souvent épris de boisson. Un interview extrêmement intéressant de François CHABAUD, docteur en études psychanalytiques. 

    Le portrait sur Magda Goebbels est proposé dans notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43  

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  • La Porte d'Aubervilliers (18è) avant le grand chambardement des années 2010 !

    La Porte d'Aubervilliers (18è) avant le grand chambardement des années 2010 !Beaucoup de Parisiens du 18ème arrondissement qui demeuraient encore à la limite d'Aubervilliers et de Paris à la fin du siècle dernier reconnaîtront l'endroit où avait été prise la photo ci-dessus. A droite, venant de la Porte de la Villette, après avoir longé boulevard Macdonald les vieux murs de l'Hôpital Claude Bernard, on débouchait devant un carrefour qui, aujourd'hui, ne conserve plus rien du passé ! Seul commerce du temps d'avant, le débit de tabac à l'angle du boulevard Ney qui mène toujours Porte de la Chapelle. Une Porte de la Chapelle dont on parle beaucoup en ce moment depuis qu'y a été implanté un camp de migrants que l'on essaie de déloger.

    Dans un ouvrage abondamment illustré que Louis PETRIAC a publié en 2012 et que l'on peut toujours se procurer, désormais dans notre boutique en ligne : Histoires d'Avant, l'auteur avait souhaité rendre hommage au quartier de son enfance à un moment où s'implantait au même endroit l'espace marchand du Millénaire qui avait tout gommé autour de lui. Un quartier où, jusqu'en 1990 on avait longtemps vécu d'un charbon venu du Nord qui était débarqué par des péniches rue de la Gare et que l'on retraitait avant qu'il soit livré par camions par les bougnats de La Charbonnière.

    La Porte d'Aubervilliers (18è) avant le grand chambardement des années 2010 !

    HISTOIRES D'AVANT, Louis PETRIAC, 978-2-918296-11-9 

     

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  • De Yvonne de Gaulle à Jean-Michel Trogneux

    De Yvonne de Gaulle à #JeanMichelTrogneux...

    1958... Engoncée depuis déjà quatre ans dans une guerre qui aura beaucoup tué, rappelez-vous de cette Algérie meurtrière qui s'était révoltée à La Toussaint 1954... On en oubliait tous les à-côtés d'une Présidence parfois menée tambour battant et notamment le comportement de ceux qui fréquentaient alors l'Elysée, parmi lesquels se trouvait celle que l'on appelait alors tante Yvonne (photo ci-dessus) ! Une femme très discrète qui s'était mariée à un homme qui avait le sens du devoir et qui, lui, aimait la France à défaut de ceux qui lui ont succédé comme le locataire actuel. Il faut bien reconnaître qu'en ces années des Trente Glorieuses, que beaucoup regrettent, il n'était pas question que l'Elysée se signale par des frasques comparables à celles que l'on déplore aujourd'hui, surtout depuis que le "mari" de notre président s'y est installé. Quelqu'un qui aura trompé pas mal de monde jusqu'à ce qu'à la mi-décembre 2021, des enquêteurs que l'on moque injustement lèvent le voile sur ce qui commençait à gêner aux entournures et qu'on s'efforce de démentir en supprimant aujourd'hui toutes les traces iconographiques suspectes d'en dire de trop sur ce qui se passe sous les ors de la République ! Et pour cause puisqu'il était établi que nous étions gouvernés par deux manipulateurs et pire encore qu'on avait créé autour des personnages une histoire à dormir debout à l'aide de plusieurs biographies de complaisance ! 

    En 1920, pour revenir à elle, on n'avait pas besoin de trafiquer le moindre document ni d'enrichir un CV. Yvonne VENDROUX, notre future "Tante Yvonne" avait 20 ans et celui qui lui plaisait, Charles de GAULLE en avait 30. Si leur rencontre avait été certes arrangée en secret par la famille de la première, Yvonne avait, très vite, annoncé la couleur à ses parents : "Ce sera lui, ou personne." leur avait-elle dit (Charles De Gaulle, archives et histoire, de Isabelle CHAVE et Nicole EVEN). Ils se marieront le 7 avril 1921 et auront trois enfants, un garçon et deux filles. Son influence à elle Yvonne sur son président de mari s'est surtout exercée sur le fait que catholique pratiquante, elle avait fait appel au conservatisme de son mari. Notamment en tenant à l'écart du gouvernement les personnes divorcées ou coupables d'adultère. Ce qui pourrait prêter aujourd'hui à sourire quand on voit ce qui se passe à l'Elysée et au sein des LaREM où on hésite même plus comme Benjamin GRIVAUX, à faire de la réclame pour son pénis !

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  • Savoir faire parler son animal domestique après l'avoir observé...

    Savoir faire parler son animal domestique...

    Faire "parler" les animaux revient à les comprendre, et à être dans un cœur à cœur permanent avec eux, ce que l’auteur Jean-Loup d'HONDT, le Petit Frère de la Minette semble avoir réussi. Telle est du moins l'opinion d'une lectrice à laquelle nous avons proposé de découvrir celle qui fut longtemps sa complice et de nous donner son sentiment au terme de sa lecture.

    Les chats, dit-elle, sont des farceurs et une simple boulette de papier suffit à leur bonheur. Ils sont également méditatifs et contemplatifs, sachant être aussi silencieux que vifs. Bien que souvent indépendants, ils ont néanmoins autant besoin d’amour que n’importe quel autre animal.

    La Minette semblait s’ennuyer à Paris, ce qui peut expliquer qu’elle se soit parfois rendue un peu insupportable, une façon bien à elle de dire qu'à Paris, elle n’était pas trop heureuse. Au fil de sa découverte, il n’est pas bien difficile de comprendre qu’elle se plaisait mieux en Dordogne qu’à Paris. C’était une petite coquine qui avait très bien compris à quel point elle était aimée et qui, avec raison, en profitait. Elle avait même un peu tendance à commander ses maîtres et surtout son Petit Frère ! D’ailleurs ne dit-on pas que nos animaux de compagnie nous choisissent, et non l’inverse, les chats allant à l’instinct vers ceux qui les aiment. Au contact des humains, les animaux de compagnie inventent leurs propres codes, leurs propres habitudes. Ils les font cohabiter avec les nôtres, mais en "aménageant" leurs propres moments. Parlant des animaux domestiques, cette chatte en vient à un moment à se demander si ce ne sont pas nous, les humains, qui sommes les domestiques de nos animaux de compagnie. Une question pertinente à laquelle ceux qui aiment les bêtes répondront que c'est un bonheur de faire plaisir à ces petits complices de l’existence.

    Vous le verrez, La Minette, une adorable boule de poils, se rapprochait de sa maîtresse quand elle se sentait en danger. Ce qui démontre que les animaux ont eux aussi besoin d’être rassurés quand ils ont peur, apaisés quand ils sont angoissés et soutenus quand ils sont malades. Un câlin, une caresse, un mot doux leur redonnent espoir et les apaisent. Cette chatte a eu une vie heureuse et choyée, ce que bon nombre de ses congénères n’auront jamais, malheureusement... A l’heure où l’on parle du bien être animal, il est primordial de dire et de répéter qu’un animal n’est pas un jouet, qu’il faut en prendre soin et s’en occuper, l’aimer et le choyer tout en lui laissant une liberté de vivre. C’est amusant de se rendre compte que les animaux savent où ils sont et qu’ils reconnaissent les lieux assez longtemps à l’avance. Les animaux qui sont aimés et qui aiment en retour sont les princes des maisons et des endroits où ils vivent. Mais un félin, quel qu’il soit, reste un animal sauvage même avec ceux qu'il aimera, ce qui se vérifie et qui n’est pas suffisamment pris en compte. En observant nos animaux, on se rend compte qu’ils comprennent et savent beaucoup de choses, appréciant de nous entendre leur dire qu’on les aime, ce qu’ils comprennent très bien.

    En lisant cet hommage, on découvrira peut-être qu’au plan gaspillage alimentaire, ce sont les "humains" qui en sont les champions. C’est un très beau livre, prenant, qu’on ne peut pas lâcher et qui nous apporte beaucoup. Un document nécessaire à faire lire d’urgence à tous ceux qui se fichent pas mal des animaux, qui ne les respectent pas... à tous ceux qui pensent que les animaux n'ont pas de cœur ni d'âme, alors qu'ils en ont toujours beaucoup plus que ceux qui leur font du mal. Il serait souhaitable qu’il puisse bousculer les préjugés de certains bien-pensants, en leur apprenant combien ces amours de petits animaux familiers peuvent nous aider, nous comprendre, nous soutenir et parfois même nous sauver. Au point que quand ils nous quittent, disparaissant de nos existences, c’est une véritable catastrophe !

    Vous pouvez toujours vous procurer cet ouvrage et même maintenant sur notre boutique en ligne ! 

    LA MINETTE, le chaton abandonné de Savignac, Jean-L. d'HONDT, 978-2-918296-49-2

     

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  • 74 ans Louis Petriac ! Que le temps passe !

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  • Christian Ranucci... son comportement jouera contre lui !

    Mars 1976, Christian Ranucci, le Patrick Henry de remplacement...

    L'écrivain Gilles PERRAULT s'est éteint voici quelques semaines, mais son ouvrage : Le Pull over rouge revenant sur l'Affaire RANUCCI aura provoqué, qu'on le veuille ou non, un sacré tollé au moment de sa sortie. Car, à l'époque, deux ans avant que soit publié l'ouvrage de cet écrivain, la culpabilité du jeune Niçois (ci-contre) avait été retenue, et cela malgré plusieurs points qui auraient dû lui valoir d'éviter la mise à mort qui l'attendait si du moins son comportement devant les Assises d'Aix-en-Provence l'avait permis. Ce qui n'a pas été le cas, son arrogance et sa tenue ayant retenu l'attention des présents lors du procès. Pour Gilles PERRAULT, en plus de cette tenue de l'accusé, c'est vraisemblablement le meurtre commis par un certain Patrick HENRY sur un autre gamin quelques jours auparavant, qui a pu également jouer sur cet impitoyable verdict rendu par la Cour d'Assises d'Aix-en-Provence. 

    Voici quelques années déjà, Secrets d'actualité avait consacré l'une de ses émissions à cette affaire qui aura passionné la France entière et Louis PETRIAC un nouvel ouvrage qui lui avait valu de s'interroger sur un dossier loin de faire l'unanimité, mais sans qu'il parvienne non plus à vraiment définir qui avait tué la petite Marie-Dolorès RAMBLA. Même si l'enlèvement de la fillette par le jeune condamné semblait être avéré.

    Vous pourrez vous procurer l'ouvrage de Louis PETRIAC en vous rendant dans notre boutique en ligne.

    CHRISTIAN RANUCCI, CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU BIEN COUPABLE ?  Louis PETRIAC, 978-2-918296-59-1

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  • Disposer de votre propre ouvrage...Editeur de proximité, notre métier premier chez DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions a toujours été de concevoir des ouvrages, et pas seulement de publier ceux qui nous étaient proposés. D'ailleurs, avant de publier la quarantaine de ceux qui figurent sur notre catalogue premier et la douzaine de ceux publiés à compte d'auteur, et alors que notre label était encore dirigé sous une forme libérale par son créateur Louis PETRIAC, tout avait débuté en créant et en valorisant tout ce qui nous avait été soumis. Une tâche que nous avons d'ailleurs poursuivie lorsque nous avons repris la diffusion de ce catalogue en 2017 et créé notre société d'édition sous la forme d'une SASU.

    Le document réalisé en format PDF dont vous pourrez prendre connaissance vous donnera une idée des formules que nous proposons à ceux qui ont prévu de réaliser eux aussi leur propre livre ! Et après tout, pourquoi ne vous lanceriez-vous pas vous aussi car après ce que nous venons de vivre et tous les interdits que nous avons à affronter, l'écriture peut être un moyen de reprendre pied !

    Si le cœur vous en dit, contactez-nous sans attendre ! Avec un simple mail que vous nous adresserez sur : decal-age.productions@laposte.net ou un appel téléphonique. Pour que nous vous éclairions davantage, où que vous vous trouviez en France, voire à l'étranger !

    A bientôt peut-être !   

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  • Réimpression

    Réimpression du Duo magique

    Malgré les vicissitudes traversées depuis 2020 et le début d'un génocide vaccinal qui aura causé la mort de beaucoup de ceux que nous aimions, nous venons de prendre la décision de réimprimer le dernier des ouvrages Chanson française dont nous avions repris la diffusion lors de la création de notre société en 2017. Il aurait par ailleurs été dommage que cet ouvrage rendant hommage aux deux musiciens hors pair qu'étaient Jean BROUSSOLLE et Jean-Pierre CALVET ne le soit pas et qu'il reste le seul ouvrage Chanson française à ne pas avoir été réimprimé alors que nous avons créé l'an passé une boutique en ligne nous permettant un meilleur écoulement de l'ensemble de nos ouvrages !

    Licencié-es-lettres et auteur avec ce Compagnon en tournée vu par lui-même d’un pamphlet détonant, excellent musicien capable de jouer de plusieurs instruments, Jean BROUSSOLLE, que le célèbre entraîneur de football des années soixante Albert BATTEUX avait comparé à un joueur apte, aussi bien à défendre qu’à attaquer, intercepter ou marquer des buts, restera celui qui, avec Jean-Pierre CALVET, aura donné un nouvel élan aux Compagnons de la Chanson. Dès l’arrivée de ce dernier en 1956, au sortir d’une période a capella surtout marquée par les premiers arrangements prodigieux de Marc HERRAND. Jean-Pierre CALVET, qui restera pour beaucoup d’admirateurs des Compagnons “le petit Marchand de bonheur” après avoir écrit une mélodie dont chacun se souvient encore, est né musicien. Celui dont on disait souvent qu’il était un garçon adorable, et qui trouvait, l’air espiègle, que la plus belle invention de l’homme, était… la femme, aurait pu, lui aussi, entreprendre une carrière de chanteur. Si du moins il n’avait pas été pressenti à l’automne 1956 pour remplacer Le P’tit rouquin Jean ALBERT. Avec, il faut le souligner ici, la bénédiction d’Edith PIAF qui le trouvait parfaitement dans la note.

    Si vous ne vous étiez pas encore procuré cet ouvrage et que vous ne souhaitez pas passer par votre libraire habituel, vous allez donc pouvoir le trouver dès à présent et l'acheter en ligne avec votre carte Visa en vous rendant sur notre boutique en ligne !

    J-P CALVET et, J. BROUSSOLLE, LE DUO MAGIQUE des COMPAGNONS DE LA CHANSON,  C. FOUINAT et L. PETRIAC, 978-2-918296-40-9

     

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    Facebook ne veut plus de nos articles

    Vous l'avez constaté si vous suivez nos articles, tant sur la page animée par Louis PETRIAC que sur la page de notre société d'édition DECALAGE PRODUCTIONS EDITIONS, nos articles sont systématiquement ou effacés ou interdits de diffusion, de même que tous les contacts que nous pourrions avoir avec ceux qui nous suivent ! Depuis le mois de mai dernier, nous sommes confrontés face à Facebook à des mesures discriminatoires qui nous empêchent de pouvoir assurer la promotion des ouvrages que nous avons publiés et d'articles en lien avec ceux-ci. Comme, par exemple, cet article sur Geli RAUBAL, la nièce d'Adolf HITLER ! Vous noterez au passage que paradoxalement, les éditions PERRIN qui abordent les mêmes thèmes d'actualité ayant trait au nazisme ou à la Seconde Guerre mondiale ne sont, elles, pas du tout soumises aux mêmes interdits soi-disant choquants. Nous avons également bénéficié d'un redressement fiscal très contestable, les cotisations foncières mises à notre charge ayant été curieusement sous-évaluées. Subitement. Mais quand on sait quelle est notre opposition à la Macronie, rien n'est véritablement surprenant.

    C'est la raison pour laquelle nous avons pris la décision d'approcher le cabinet d'un avocat pour savoir s'il y aurait un moyen de faire cesser ces discriminations mais nous ne sommes pas sûrs d'aboutir car nos moyens trop modestes risquent de jouer contre nous.

    Alors un conseil, si vous ne souhaitez pas vous abonner à notre newsletter et  continuer à suivre nos articles, vous devrez vous rendre sur cette page de notre site Internet : http://decalage-prod-editions.eklablog.com ou sur notre page X (ex Twitter) : @decalaprod en vous astreignant à recopier le lien ici inopérant.

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