• violences domestiques...

    Autres moeurs, autre époque, autre environnement... on dirait que le profil des mères indignes qui brutalisent leurs enfants est toujours le même.

    Celle dont JACOTTE garde le souvenir n'échappe pas à la règle. « Je suis aujourd'hui convaincue, écrit-elle dans son ouvrage publié voici déjà quelques années, que ma mère n'aurait jamais dû avoir d'enfants ni, encore moins, élever ceux des autres car elle les détestait de trop. Elle faisait partie des choeurs d'Edith PIAF avant la guerre et avait choisi de vivre dans le monde du show-business où la "pute de luxe" qu'elle donnait l'impression d'être pouvait se permettre de mener la belle vie et de changer d'homme chaque jour, en se donnant au plus offrant ». Elle se mettra même, pendant la guerre, à fréquenter les Allemands, ce qui lui vaudra d'être tondue comme quelques autres à la fin du conflit. Devenue gouvernante d'un homme fortuné, elle sera très vite enceinte de lui et accouchera d'une fillette à laquelle elle fera subir un véritable calvaire. Dans un environnement où seul Mickaël, le fils du possédant, parvenait à obtenir de l'ancienne collabo et mère indigne une faveur, l'auteure connaîtra une dégringolade qui la verra très vite atterrir dans les bras d'un autre tortionnaire, un homme tout d'abord ravi que l'on s'occupe de lui. Avant qu'un jour la donne ne change subitement. Elle le relate dans son ouvrage : « Ce n'est qu'une semaine après notre mariage que je pris les premiers coups, confessera-t-elle. Alors que j'étais en train de repasser dans la salle de bains et sans que je sache quelle faute j'avais bien pu commettre. Surprise par un beau revers de main en travers de la figure ».

    D'un tortionnaire à un autre, lassée de son union et de brutalités injustifiées, l'auteure finira par suivre un entrepreneur plus âgé qu'elle où, là encore, se poursuivront les mauvais traitements auxquels elle ne trouvait plus la force de s'opposer. Un être excessivement jaloux à la libido envahissante qui lui reprochait régulièrement de le tromper et qui, sur la fin, vivait même à ses crochets. Il lui faudra cependant attendre d'être plus âgée et d'avoir élevé ses deux filles qui avaient fini par se rapprocher de leur père pour qu'elle trouve enfin la force de fuir et de s'extirper d'une situation qu'elle ne supportait plus ! Au risque de se brouiller définitivement avec ces dernières en écrivant son ouvrage libérateur, admettant qu'il lui était arrivée de tromper ce tortionnaire !

    L'ouvrage est toujours disponible et il est proposé à 17 € !

    COMME UN LAPIN PRIS DANS UN PHARE... JACOTTE, ISBN n° 978-2-952411-75-1 

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  • SUS AUX VOLATILES !... LA CHASSE AUX PIGEONS EST OUVERTE, ISBN n° 978-2-918296-41-6

    Dans un pamphlet assez violent consacré à ce qu'il m'a fallu endurer avant de pouvoir arriver à animer durablement un atelier d'éditeur en Périgord, c'est surtout des exactions d'une caisse de retraite dont je parle, sans la ménager. Parce qu'on ne ménage pas une structure assassine ni une caisse qui avait fait de moi sur la fin de mon activité d'Ecrivain Public un... Conseil en relations publiques pour sans doute encore mieux me ponctionner ! Ce que le volatile que j'étais devenu ne pouvait accepter, même si j'ai fini par admettre que le fait d'être devenu un pigeon, ait pu me transformer en un volatile de la pire espèce que l'on cherche trop souvent à plumer et que l'on trouve aussi très... emmerdant ! Mais, découvrez une partie de ces confessions au terme de ces quelques extraits qui suivent !

    La CIPAV, une machine à broyer les initiatives ? par Louis PetriacEXTRAITS : Je sais aujourd’hui, vingt-cinq ans plus tard, que le bon sens et la CIPAV ne sont jamais parvenus à faire un mariage de raison ! Et que nous irons forcément un jour à un règlement de comptes qui laissera sur le carreau plusieurs cotisants ! Cela a déjà bien failli être le cas au printemps 2015 avec un dénommé Ludovic, cet agent de sécurité qui avait tenté de mettre fin à ses jours après avoir été harcelé par ladite caisse et vu ses ressources saisies  ! Car il s’avère hélas que cette CIPAV en a spolié quelques autres durant trente ans et que, si la Cour des Comptes l’a épinglée voici deux ans pour acte de mauvaise gestion, c’est bien parce qu’elle s’est rendue compte de quelques indélicatesses et maladresses ! Malgré ce qu’en pense le Défenseur des droits qui ne prend hélas pas en compte les doléances des pigeons de mon espèce ! Et le pire de l’histoire c’est que les faits sont désormais prescrits, comme l’étaient lors de son arrestation, certes toutes proportions gardées, les meurtres commis dans l’Yonne par Tonton Emile (1) le chauffeur de car !

    Une lettre adressé à un ministre, celui des Affaires sociales, portera ses fruits à l'hiver 1992, puisque je réussirai à être davantage entendu par la caisse d’assurance-maladie. A défaut de l’être, hélas, par la CIPAV. La CIPAV où l’un de ces fonctionnaires zélés, bouché à l’émeri comme il en existe quelques-uns dans notre beau pays au sein des plus beaux fleurons d’une administration que l’on nous envie, en avait remis une couche, me proposant avant l’été de la deuxième année, de lui adresser sept versements mensuels consécutifs de… 95 € !... Cet olibrius, prétextant que la caisse qu’il représentait m’avait accordé les réductions maximales possibles, n’en démordait pas ! Alors que je venais tout juste d’encaisser pour… 1.050 € d’honoraires au terme des quatre premiers mois d’activité !... Le bon volatile que j’étais devait quand même être un peu masochiste, puisque j’avais proposé à ce tracassier, de prendre en charge les pénalités occasionnées par mes retards durant l’été de la deuxième année ! Et il me faudra attendre vingt années de plus avant d’apprendre qu’il existait au niveau de cette caisse de merde, un fonds social. Comme il en existe du reste dans certaines autres structures sociales qui sont en mesure de prendre en charge une grosse partie des cotisations appelées, parfois sous forme de prêt. Si cela avait été, cette solution aurait permis à mon exploitation de trouver les financements nécessaires et surtout d’éviter de faire appel à un endettement trop souvent préjudiciable...


    (1) Savoir Emile Louis, auquel on prête plusieurs assassinats de handicapées disparues dans l’Yonne et toujours non élucidés dans leur intégralité. 

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  • Simone Veil, la détermination faite femme !

    Il est des êtres capables de se dépasser éternellement et Simone VEIL a fait partie de ceux-là. Au-delà des épreuves subies et des oppositions, elle symbolise après sa disparition cette femme au caractère bien trempé à laquelle on doit ce texte sur l'avortement adopté à un moment où même ceux avec lesquels elle travaillait au quotidien la boudaient. Et puis, après avoir longtemps attendu de pouvoir le faire, elle a, un jour, accepté de témoigner de ce qu'elle avait vécu à Auschwitz-Birkenau puis Bergen-Belsen. C'est ce témoignage que nous vous proposons de visionner ci-dessous.

    Alors que ses cendres et celles de son époux Antoine ont été transférés au Panthéon ce dimanche 1er Juillet s'imposait ce portrait qui rejoint notre galerie des aînés émérites et auquel vous pourrez avoir accès en cliquant sur le lien. Un être qui était loin d'être aussi vénal que l'est son ancienne belle-fille Agnès BUZYN !

     

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  • Ce qu'il est advenu du Berghof d'Hitler et de ses sbires

    25 avril 1945... Un bombardement britannique entreprend de réduire à néant ce qui est encore considéré aujourd'hui comme l'endroit (ci-dessus) où Adolf HITLER a conçu ses plans d'envahissement et de destruction ayant donné lieu au plus effroyable des conflits et à la mort de plus de soixante millions d'individus. La résidence de travail où l'un des hommes les plus détestés de l'Histoire aimait à recevoir dignitaires et favorites en titre.

    Cet artiste raté et sans talent, venu de nulle part, longtemps considéré comme une sorte de nouveau Messie, n'aura donc pas l'occasion de s'abriter dans son Berghof au moment de la débâcle nazie de février 1945 et la dernière offensive menée par l'Armée rouge et les troupes alliées du général Eisenhower. Pourtant, tout avait été prévu pour que ce soit le cas au terme des travaux pharaoniques qui y avaient été entrepris. Il préfèrera se murer dans son bunker de Berlin où il se suicidera le 30 avril après avoir épousé sa maîtresse Eva BRAUN. Il est indéniable que les récentes investigations opérées par les historiens permettent aujourd'hui d'en savoir davantage sur les us et coutumes de cet homme aux agissements monstrueux, prédicateur d'une idéologie meurtrière. L'extrait vidéo ci-dessous revient sur ce Berghof que le dictateur sanguinaire avait fait concevoir dès son arrivée au pouvoir en 1933 en faisant exproprier au besoin tous les riverains. Une très belle enquête.

     

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  • Dans un ouvrage publié en juin 2014, l'ancien Compagnon Marc Herrand parle

              Aux côtés de Marc, on reconnaît facilement sur cette photo du réveillon 1950 Gérard Sabbat et les Lancelot

     

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    Comme le soulignait déjà Marc HERRAND dans son autobiographie*, une "décade prodigieuse" arrivait à son terme à la fin de l’année 1950. Dix années fantastiques qui avaient métamorphosé en jeune adulte un adolescent de 16 ans que le destin s’était plu à jeter désarmé sur les routes. Surtout pour fuir les nazis et cette Alsace occupée dans laquelle il n'avait plus envie de vivre. S’il se sentait bien, et probablement mieux qu’il n’avait jamais été, depuis cette révolte du printemps 1941, il avait parfois le sentiment de faire du sur place et d’être en attente d’autre chose ! Au moment de fêter cette Saint Sylvestre 1950 avec les LANCELOT et certains de ses amis COMPAGNONS DE LA CHANSON (photo ci-dessus) pensait-il que tout était encore améliorable ? Sans doute. Et cela alors qu’il venait de réaliser un nouvel arrangement miracle avec Le galérien, transformant cette fois-ci les voix de ses partenaires en balalaïkas. Une deuxième réussite chorale d'importance derrière Les trois cloches. Sans se satisfaire complètement de cette situation et de l’avancée réalisée, il était heureux de son sort tout en étant également impatient. "Nous voulions conquérir le monde" admet-il dans ses réflexions personnelles. C’est peut-être pourquoi il appelait de ses vœux une confirmation, redoutant que la formation qu’il avait grandement contribué à créer en février 1946, cède devant un manque de rigueur manifeste. Comme si ses partenaires et amis avaient du mal à s’organiser et qu'ils se plaisaient à repousser tous les changements salutaires qui s’imposaient ?

    De son côté Yvette GIRAUD qu'il venait de rencontrer nourrissait les mêmes attentes que celles de l’homme qu’elle avait découvert à Beyrouth durant l’été 1949 alors qu’elle participait à une tournée des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Sauf que ses attentes à elle n’étaient pas dues à un défaut d’organisation voire à un manque de rigueur. Après avoir enfin rencontré le succès et vécu cinq années pleines, ivre d’une liberté nouvelle, il ne lui manquait finalement à cette ancienne secrétaire qu’une sorte de plénitude. Quelque chose qui lui permettrait d’aborder, peut-être avec encore un peu plus de force, la période euphorique qui s’était ouverte à elle en 1946 et qui lui promettait d’atteindre de nouveaux caps, voire de conquérir de nouveaux horizons. Et puis, ne lui avait-on pas déjà prédit à deux reprises, et dès son plus jeune âge, qu’elle aurait une vie fabuleuse et qu’elle serait reçue par les plus grands ? Ce sera le cas au Japon.

    Dans un ouvrage publié en juin 2014, l'ancien Compagnon Marc Herrand parle

    De sa rencontre avec Yvette GIRAUD et de sa décision de quitter les COMPAGNONS DE LA CHANSON en mars 1952, il restait beaucoup de choses à dire et de nombreux points sur lesquels il fallait revenir. Notamment sur son enfance (avec son frère Alex ciècontre). Parce qu'on ne savait pas tout à ce propos. Dans ce nouveau portrait consacré à Marc HERRAND qu'il avait une première fois rencontré en 2007 et qui a été publié il y a déjà quatre ans, Louis PETRIAC voulait que l'on comprenne mieux ce qui avait présidé dans la décision de Marc de quitter le groupe qu'il avait créé en février 1946 avec Jean-Louis JAUBERT et Guy BOURGUIGNON. Et puis, de nombreux autres points méritaient d'être creusés, comme la carrière de ce musicien extraordinaire aux côtés des plus grands : le compositeur Henri CONTET, le fantaisiste Henri SALVADOR, Edith PIAF bien sûr.

     Vous pouvez vous procurer cet ouvrage sur notre boutique en ligne.

    * La route enchantée, Editions du Signe Strasbourg

    MARC HERRAND, UN INOUBLIABLE GRAND MONSIEUR DE LA CHANSON... Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-29-4

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  • Un Ca se discute mémorable sur France 2...

    Le 17 décembre 1997 était diffusé sur France 2 à 22 heures 35 un Ca se discute animé par Jean-Luc DELARUE et consacré à l'illettrisme, avec un thème très bien choisi : "Apprendre à lire et à écrire à tout âge" auquel participait l'écrivain et académicien, le regretté Jean d'ORMESSON. Une émission qui reste un grand moment pour nous à un moment où, avec quelques-uns de nos auteurs autoédités de l'époque, nous n'avions pas encore pris la décision de publier et de devenir éditeur. C'est pourtant lors de la sortie de cette émission qu'est né le premier concept libéral DECAL'AGE PRODUCTIONS créé définitivement en 2006 et que je me suis interrogé sur l'opportunité de donner, ou pas, une suite à un projet d'écrivain public menacé dès le départ par une caisse de retraite, la CIPAV ! Avant que je cesse mes fonctions et que ledit label soit cédé l'an passé à une société du même nom et immatriculée au registre du Commerce !

    Une période sur laquelle je reviens dans un pamphlet SUS AUX VOLATILES, LA CHASSE AUX PIGEONS EST OUVERTE surtout axé sur ce conflit qui m'a opposé et m'oppose encore à la CIPAV, une caisse de retraite à l'origine de quelques drames chez les libéraux et les auto-entrepreneurs, et que la Cour des Comptes a déjà épinglé à deux reprises. Cette même CIPAV qui vient de perdre un procès vital pour elle, celui qui l'opposait à l'un de ses cotisants auto-entrepreneurs. Pour quelle raison, les pouvoirs publics ont-ils attendu aussi longtemps pour intervenir et faire cesser des abus et des comportements de fonctionnaires zélés qui devraient avoir honte de ce qu'ils sont parvenus à imposer ? On pourrait se le demander. A plus forte raison au sein d'un pays où, malgré la présence de plus de quatre millions de demandeurs d'emploi, on s'obstine à démolir les créateurs qui n'appartiennent pas aux élites. Plus grave encore, François CLOUET, directeur adjoint de la CIPAV depuis 2015, vient de recevoir une promotion et d'être missionné pour travailler à la direction de la Sécurité Sociale afin de mettre en place le nouveau système d'information du régime général, suite à la disparition du RSI. Voulez-vous que je vous dise : les futurs cotisants de ce système vont avoir du souci à se faire !

    Vous pouvez acquérir cet ouvrage sur les pigeons en cliquant sur ce lien !

    Louis PETRIAC

    Un Ca se discute mémorable sur France 2...

      

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  • Selon un ouvrage consacré à la Compagnie des Entrepôts et Magasins Généraux de Paris par une historienne, Elisabeth PHILIPP, ce que l'on sait aujourd'hui, c'est qu'il y a bien eu le 19 août 1944 lors de la libération de Paris, juste avant l'arrivée de la 2è DB du Général LECLERC et des Américains, une véritable bataille rangée entre les FFI et les Allemands. A la limite du XVIIIè arrondissement parisien et d'Aubervilliers, au bord du canal, à l'emplacement même de ce qui est devenu un complexe marchand, celui du Millénaire, érigé en 2008 et inauguré en 2011.

    « Alors que le départ de l'occupant devait intervenir dès le 17 août 1944, écrit Louis PETRIAC dans un hommage à ce quartier aujourd'hui disparu, beaucoup se battront encore le 19, bien que la mairie d'Aubervilliers ait été enlevée par la Résistance et certains responsables de La Charbonnière. Il est facile d'imaginer l'attente de gens manquant de tout et de la possibilité qui leur était soudain donnée d'avoir accès à des stocks de grain ou de denrées comme le sucre. Beaucoup de ceux-ci n'avaient pas subi de très fortes variations. Une tentation qui ne saurait cependant justifier les nombreux pillages commis ! Parfois même par des libérateurs eux-mêmes comme en témoignera un ancien des Magasins Généraux, un certain A. TOUVET ». Paris ne brûlera pas, les différents entrepôts des Magasins Généraux remplis de victuailles non plus, alors qu'il en avait longtemps été question ! On y avait même entreposé dès la rafle du Vel d'Hiv une partie des biens confisqués chez les Juifs arrêtés qui avaient été emprisonnés à Drancy. Certains de ceux qui résidaient dans le secteur et qui avaient été emprisonnés en Allemagne durant cinq ans à partir du printemps 1940, dont Jean, le père de Louis PETRIAC, reviendront dix mois plus tard, faisant preuve d'un courage inouï puisqu'ils se remettront aussitôt au travail sans prendre le temps de digérer leurs émotions. Découvrant en mai 1945 un endroit dévasté qu'il avait à reconquérir, il y retrouvera seulement sa chienne (ci-dessous) qui, le reconnaissant, lui fera une fête propre à lui faire oublier celle qui ne n'avait pas attendu son retour ni son infortune !

    Auteur d'Histoires d'Avant (ci-dessus) Louis PETRIAC a pu recueillir une multitude d'informations en vue de la publication en 2012 d'un ouvrage hommage à tout ce quartier disparu depuis le début des années deux mille où il avait grandi et qu'il avait quitté en 1971. Comment on y avait vécu au cours des siècles précédents et quel était le profil de ceux qu'il y côtoyait. Son père avait tenté d'y installer en 1933, avec sa première épouse, un commerce de restauration attiré par un challenge prometteur et par une offre des Magasins Généraux et Entrepôts de Paris soucieux de faire de ce périmètre ce qui allait devenir pendant soixante ans un lieu d'échanges industriels autour d'un pôle charbonnier. Souvent au mépris de conditions de travail décentes et de ce que l'être humain a physiquement la possibilité d'endurer !

    HISTOIRES D'AVANT, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-11-9

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  • Les monstres sacrés e la collaboration avec les nazis

    Certaines de ces célébrités ont été victimes de la Propagande nazie, d'autres comme Coco CHANEL (en tête d'article) ou comme ARLETTY, de leurs pulsions sexuelles... Ci-dessous une enquête réalisée autour de cette collaboration qui aura miné l"univers artistique et compromis bien des célébrités de la fin des années trente, revient sur la destinée de ces têtes d'affiche. Une enquête très intéressante !

     

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  • Max Marchaps, l'homme qui aimait les femmes

    Max Marchaps, l'homme qui aimait les femmes

    Dragueur, il l'était encore à 84 ans lorsqu'il était venu aux premières Journées Portes Ouvertes organisées par notre auteur Louis PETRIAC en juillet 2010 pour parler de son initiative et les quelques pages qu'il avait consacrées dans son ouvrage à la SELP, l'attestent. Notamment quand il évoque ses rencontres avec des femmes qui auront compté dans sa vie de rabatteur d'affaires. Sans jamais, pourtant, qu'il reconnaisse avoir capitulé devant autant de charme. Ce qui est difficilement admissible quand on connaît l'homme, ses clins d'oeil malicieux et la façon que l'entrepreneur affichait, prétendant tourner autour sans marcher dedans !

    « Je n'ai jamais couru après les femmes, confesse-t-il même dans cet ouvrage, considérant que de telles pratiques sont incompatibles avec les contraintes professionnelles. Pourtant, ce ne fut pas faute d'avoir eu des occasions. Car, comme chacun le sait, ce sont les affaires de fesses qui dirigent le monde... ou qui le font courir à sa perte ! Et il m'a quelquefois fallu lutter contre la tentation ». Le fils de l'ancien maire de Mareuil-sur-Belle ferait-il partie de ceux qui n'ont jamais profité de leur statut pour joindre l'utile à l'agréable ? C'est difficile à croire à la lecture de ses aventures de don Juan dont les réactions étaient parfois amusantes. Comme lorsqu'il déclarera à un responsable de l'UNESCO qui avait à coeur de lui présenter d'affriolantes secrétaires qu'il n'était pas venu le voir pour faire l'amour, mais pour passer des commandes !

    Entre mauvaises blagues de potache et malice, un ouvrage rempli d'humour qui nous aura valu quelques frayeurs au départ parce que l'intéressé était pressé de le voir sortir et que nous venons de le réimprimer.

    Vous pouvez désormais vous procurer cet ouvrage en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    MAX... UNE FANTASTIQUE ODYSSEE... Max MARCHAPS, ISBN n° 978-2-952411-79-0

     

     

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  • 18 juin 1940... comment naissent les convictions d'un adolescent de seize ans !

    En juin 1940, alors que les bannières nazies flottaient déjà sur Paris, Robert SUDEY encore bien jeune, se souvient comment sont nées ses résolutions et celles qui l'ont poussé à vouloir s'engager du Périgord où il se trouvait sans qu'à ce moment-là il se doute qu'il allait bientôt opérer dans le domaine des explosifs. Il en témoigne dans l'ouvrage que nous avons choisi de rééditer à l'été 2013 pour le diffuser plus largement, en l'enrichissant de quelques points supplémentaires comme l'affaire du Train de Neuvic. Il les détaille.

    18 juin 1940... naissance de convictionsEXTRAITS..."C’est incontestablement en entendant l’appel historique du général de Gaulle le 18 juin 1940 que mes convictions d’adolescent ont commencé à se forger. J’avais alors une quinzaine d’années et j’avais jusqu’alors grandi sans cependant être vraiment à la charge de quelqu’un, grappillant ça et là les quelques rudiments de savoir utiles. Tant en Périgord qu’ailleurs, découvrant au passage maintes et maintes régions... Beaucoup de Français ignoraient, à ce moment-là, qui était de Gaulle, colonel de l’Armée Française. Nommé sous-secrétaire d’Etat à la Défense Nationale et à la Guerre début juin 1940, ce qu’on savait, c’est que l’homme avait de la suite dans les idées. Partisan d’une stratégie nouvelle de guerre de mouvement, il s’était évadé à cinq reprises durant la grande guerre de 1914-18. Agé de quasiment cinquante ans, on le disait en outre spécialiste de tout ce qui touchait au domaine des chars d’assaut. Au moment du conflit, il devait même être promu général de brigade à titre temporaire. Dès l’armistice, désavouant le gouvernement du maréchal Pétain auquel il reprochait d’avoir abdiqué sans se battre, les choses avaient été claires pour de Gaulle. Sans la moindre hésitation, il s’était prononcé en faveur d’une poursuite de la lutte armée contre l’envahisseur. C’est dans ces conditions qu’il ralliera l’Angleterre d’où il lancera son appel du 18 juin au peuple de France. Sans être ouvertement devenu gaulliste à quasiment seize ans, parce qu’il n’avait pas voulu reconnaître notre mouvement de résistants lors de sa mise en place, il m’était impossible de m’engager à ce moment-là. J’étais bien trop jeune pour pouvoir l’espérer, et même en demandant une dispense, il m’était interdit de pouvoir envisager donner une suite à mes rêves les plus fous. Je dus donc attendre d’avoir 17 ans et demi pour m’engager, d’autant plus motivé à lutter contre l’idéologie fasciste que nous venions de perdre mon frère qui avait été tué en 1939. Si j’évoque cette idéologie, c’est tout simplement parce que, comme beaucoup de combattants autour de moi, nous n’étions pas anti-Allemand mais seulement désireux de nous opposer à ce fascisme qu’Hitler personnifiait."

    Un lundi de l'année 2016 en fin d'après-midi à Antonne en Périgord, soixante-douze ans après, l'ancien maquisard de Trélissac Robert SUDEY a été fait Chevalier de la Légion d'Honneur par le général Hugues MAGNY. En reconnaissance de ses états de service d'ancien combattant et résistant. Nous y étions et sept ans après avoir mis en chantier cet ouvrage qu'est devenu : Ma guerre à moi... résistant et maquisard en Dordogne, nous étions heureux cet après-midi là de voir que l'on rendait enfin hommage à la bravoure d'un homme de... 92 ans !

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  • Shunet et ce qu'elle a conservé d'un véritable cauchemar...EXTRAITS : « C’est bon maintenant, pousse ! » insista-t-elle. Et mon bébé sortit sans un pleur, sans un cri, qu’elle prit avec elle, l’emmenant sans autre explication, sans aucun ménagement, comme si j’avais été quelqu’un qui ne compte pas. J’eus seulement droit à un « voilà, c’est fini, on va pouvoir te remonter ! » Je n’obtins aucune réponse à mes questions et ne sus jamais à quoi ressemblait ce bébé que l’on m’avait arraché du ventre sans autre explication. Alors que je voulais le voir, que je voulais savoir ! Bande de salauds qui mériteriez, encore vingt-deux ans plus tard, que je dénonce un pareil traitement, que je vous dénonce, car endurer de tels comportements de la part de soignants, c’est inhumain ? Ce 22 juillet reste, aujourd’hui encore, le jour où mon cœur s’est brisé. Et je n’avais que seize ans !

    Vingt-deux ans plus tard, SHUNET n'a rien oublié de l'attitude de ce monstre sans âme qu'était la sage-femme qui avait prise en charge une toute jeune femme, encore une enfant qui venait de subir des violences de la part de celui qui avait jeté le grappin sur elle. Elle se devait de rappeler ce que cette dernière lui avait fait subir alors qu'elle vivait déjà une terrible épreuve aux côtés d'un véritable monstre... Un passage fort de ce témoignage qui fait parfois "froid dans le dos" et qui interpelle quant à l'humanité de certains intervenants dans les hôpitaux.

    ET POURTANT... JE SUIS TOUJOURS LA, SHUNET, ISBN n° 978-2-918296-44-7

     

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  • Magda Goebbels... Une enfance entre amour et haine.   Magda Goebbels... Une enfance entre amour et haine.

    Qu'est-ce qui peut conduire un enfant aux extrêmes et en faire un manipulateur coupable des pires excès ? Nous l'évoquions dans un précédent article en parlant des risques liés à une éducation faite de propos désobligeants et de malveillance et en évoquant l'enfance d'Adolf HITLER. Mais ce n'est pas le seul cas d'enfants maltraités qui sont ensuite devenus des êtres méprisables.

    A dimanche à La Douze, si vous le voulez bien !

    A cinq ou six ans, la future Magda GOEBBELS montrait déjà, en effet, un certain nombre de talents de manipulatrice, héritage d'une éducation reçue de sa mère Auguste reconnue être une menteuse pathologique qui avait accouché d'une fille qu'elle ne désirait pas. Au couvent des Ursulines  en Belgique, et cela n'a pas échappé au fils de l'ancien ministre nazi, le biographe Hans-Otto MEISSNER, la fillette flattait déjà les goûts de ses professeurs au terme d'un fayotage très bien organisé. Celui-ci, lui permettait-il d'être mieux considérée qu'elle ne l'aurait été ? Assurément. Privée d'amour et d'une éducation faite de tendresse, abandonnée par sa propre mère, la gamine s'est donc fabriquée des soutiens et des repères seule, trouvant dans la découverte de son corps les compensations affectives dont elle avait besoin. Et sans doute aussi des armes de séduction, se rendant compte que ce corps, son corps, n'était pas insensible au plaisir. Qu'elle se soit lancée très tôt dès l'âge de quinze ans dans des entreprises amoureuses en répondant à une drague du futur leader sioniste Victor ARLOSOROFF permet de mieux comprendre son cheminement d'adolescente. Recherchait-elle un objet d'amour susceptible au départ de contrebalancer l'objet de haine que symbolisait sa mère Auguste ? On peut le croire. Les infidélités de Victor et la sensation d'abandon ressentie à partir de 1920 sont donc, vraisemblablement, à l'origine de l'antisémitisme croissant noté ensuite chez la future égérie nazie. Restait dès lors, pour elle, à pénétrer d'autres objets d'amour susceptibles de remplacer Victor, objets d'amour qu'elle identifiera au pouvoir nazi et à ce que représentera dès 1931 pour elle... Adolf HITLER. Avec, forcément la découverte de tout ce qu'il fallait abattre pour conquérir ce pouvoir qu'elle lorgnait. D'où son opposition progressive aux Juifs qui lui vaudra de laisser déporter à Buchenwald son propre père Richard FRIEDLANDER ! Parce que, transfert oblige, il était devenu un mauvais père et un objet de haine ! Il est probable, même si nous n'en sommes pas convaincus, que sa possible implication dans le meurtre de ce même Victor sur une plage à Tel-Aviv en juin 1933 soit liée à cet antisémitisme croissant remarqué par certains observateurs.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

     

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  • Votre propre récit de vie ? Et pourquoi pas ?...

    Ceux d'entre vous qui nous font l'amitié de consulter assez régulièrement nos articles et propositions se sont certainement demandés si nous intervenions dans les conceptions de récits de vie et de réussites quelconques dont vous auriez envie de parler ?  Effectivement, cela nous arrive et même assez fréquemment. Ce qui nous permet de proposer aujourd'hui une assez large gamme de modèles de récits parmi lesquels il serait surprenant que vous ne trouviez pas celui qui correspond le mieux à votre profil. Qu'il soit abondamment illustré ou pas. Aux côtés des ouvrages publiés sous notre label et proposés sur le marché, nous avons en effet, ces dernières années, participé à l'élaboration d'un peu plus d'une trentaine de récits de vie et de récits de création d'entreprises. Quelles que soient ces dernières. Ce qui nous a permis de conduire des projets parfois assez différents les uns des autres, allant de la seule biographie au témoignage d'humeur. D'une histoire tout à fait personnelle à celle relatant une réussite professionnelle, voire d'un traumatisme dont on souhaite se libérer.       

    Il se peut tout à fait que vous ayez envie de laisser une trace aux vôtres de ce qu'a été votre propre cheminement. Peut-être avez-vous, vous même, créé votre entreprise ou vécu une expérience qui vous aura permis de révéler un savoir-faire ? Il se peut aussi que vous brûliez de témoigner d'un passage difficile de votre existence, d'une épreuve dont vous êtes sorti grandi voire transformé ? De produire un récit de vie similaire à celui figurant en tête d'article ? Sans doute en racontant ce qui vous est arrivé, et en vous libérant arriveriez-vous mieux à dépasser ce que vous ressentez ? S'agissant des traumas, l'écriture thérapie existe aussi et nous l'avons souvent proposé dans le cadre d'entretiens. Et dites-vous bien que ce n'est pas parce que vous avez peur de ne pas bien savoir relater par écrit ce que vous avez vécu, qu'il faudrait vous priver d'en faire un livre. Ne serait-ce que pour laisser une trace derrière vous. D'autant que nous pouvons concevoir, pour vous, votre propre ouvrage si vous éprouvez quelques difficultés à le rédiger ou à parler de ce qui vous a laissé un souvenir poignant... Au terme de quelques entretiens. Peut-être aussi parce que nous aurons plus de facilité à évoquer, avec un recul que vous n'avez momentanément plus, ce que vous avez traversé !...  Enfin, et si vous avez déjà préparé un texte, nous pouvons tout aussi bien limiter notre intervention à une simple correction de celui-ci avant de le mettre en page.  

    Quels que soient vos projets et où que vous vous trouviez, et pour vous permettre d'en savoir un peu plus, rencontrons-nous ou téléphonez-nous ! Si du moins vous ne demeurez pas à proximité de notre atelier de conception. Nous pourrons alors vous éclairer et vous proposer un devis...

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