• Cette CIPAV qui assassine ses cotisants... par Louis Petriac

    SUS AUX VOLATILES !... LA CHASSE AUX PIGEONS EST OUVERTE, ISBN n° 978-2-918296-41-6

    Dans un pamphlet assez violent consacré à ce qu'il m'a fallu endurer avant de pouvoir arriver à animer durablement un atelier d'éditeur en Périgord, c'est surtout des exactions d'une caisse de retraite dont je parle, sans la ménager. Parce qu'on ne ménage pas une structure assassine ni une caisse qui avait fait de moi sur la fin de mon activité d'Ecrivain Public un... Conseil en relations publiques pour sans doute encore mieux me ponctionner ! Ce que le volatile que j'étais devenu ne pouvait accepter, même si j'ai fini par admettre que le fait d'être devenu un pigeon, ait pu me transformer en un volatile de la pire espèce que l'on cherche trop souvent à plumer et que l'on trouve aussi très... emmerdant ! Mais, découvrez une partie de ces confessions au terme de ces quelques extraits qui suivent !

    La CIPAV, une machine à broyer les initiatives ? par Louis PetriacEXTRAITS : Je sais aujourd’hui, vingt-cinq ans plus tard, que le bon sens et la CIPAV ne sont jamais parvenus à faire un mariage de raison ! Et que nous irons forcément un jour à un règlement de comptes qui laissera sur le carreau plusieurs cotisants ! Cela a déjà bien failli être le cas au printemps 2015 avec un dénommé Ludovic, cet agent de sécurité qui avait tenté de mettre fin à ses jours après avoir été harcelé par ladite caisse et vu ses ressources saisies  ! Car il s’avère hélas que cette CIPAV en a spolié quelques autres durant trente ans et que, si la Cour des Comptes l’a épinglée voici deux ans pour acte de mauvaise gestion, c’est bien parce qu’elle s’est rendue compte de quelques indélicatesses et maladresses ! Malgré ce qu’en pense le Défenseur des droits qui ne prend hélas pas en compte les doléances des pigeons de mon espèce ! Et le pire de l’histoire c’est que les faits sont désormais prescrits, comme l’étaient lors de son arrestation, certes toutes proportions gardées, les meurtres commis dans l’Yonne par Tonton Emile (1) le chauffeur de car !

    Une lettre adressé à un ministre, celui des Affaires sociales, portera ses fruits à l'hiver 1992, puisque je réussirai à être davantage entendu par la caisse d’assurance-maladie. A défaut de l’être, hélas, par la CIPAV. La CIPAV où l’un de ces fonctionnaires zélés, bouché à l’émeri comme il en existe quelques-uns dans notre beau pays au sein des plus beaux fleurons d’une administration que l’on nous envie, en avait remis une couche, me proposant avant l’été de la deuxième année, de lui adresser sept versements mensuels consécutifs de… 95 € !... Cet olibrius, prétextant que la caisse qu’il représentait m’avait accordé les réductions maximales possibles, n’en démordait pas ! Alors que je venais tout juste d’encaisser pour… 1.050 € d’honoraires au terme des quatre premiers mois d’activité !... Le bon volatile que j’étais devait quand même être un peu masochiste, puisque j’avais proposé à ce tracassier, de prendre en charge les pénalités occasionnées par mes retards durant l’été de la deuxième année ! Et il me faudra attendre vingt années de plus avant d’apprendre qu’il existait au niveau de cette caisse de merde, un fonds social. Comme il en existe du reste dans certaines autres structures sociales qui sont en mesure de prendre en charge une grosse partie des cotisations appelées, parfois sous forme de prêt. Si cela avait été, cette solution aurait permis à mon exploitation de trouver les financements nécessaires et surtout d’éviter de faire appel à un endettement trop souvent préjudiciable...


    (1) Savoir Emile Louis, auquel on prête plusieurs assassinats de handicapées disparues dans l’Yonne et toujours non élucidés dans leur intégralité. 

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