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La mère de Magda Goebbels était une menteuse pathologique !...
C'est bien connu, les chiens ne font pas des chats et la mère de Magda GOEBBELS, Auguste BEHREND (ci-contre), n'échappe pas à la règle ! C'est sans doute ce qui peut expliquer qu'elle ait voulu en 1952, au terme d'une existence pour le moins ratée ponctuée de plusieurs tentatives de suicide à la fin de la guerre, faire en sorte de donner à l'âge de 73 ans, une autre image de cette fille qu'elle n'avait pourtant jamais su aimer. Une fille qui, sept ans plus tôt dans un bunker assiégé par l'Armée rouge, avait sacrifié six de ses sept enfants en leur donnant la mort à l'aide de capsules de cyanure après avoir tenté de les endormir. Car Helga, l'aînée des six enfants de la meurtrière, sera empoisonnée éveillée et après s'être débattue d'où la présence de traces relevées sur son corps. Au terme de recherches entreprises ces dernières années, on sait que le véritable père de sa fille Magda était ce garçon encore si jeune au cours de la fin d'hiver 1901 avec lequel Auguste avait eu un peu plus qu'un flirt ! Un Richard FRIEDLANDER encore loin d'être parvenu à se faire une situation enviable. Il n'était donc pas envisageable que la demoiselle BEHREND se sépare de son autre amoureux, un certain Oskar RITSCHEL qui avait pour lui d'être le fils de ses employeurs et qui avait surtout pour lui d'avoir des sous !
L'histoire, prélude à une gigantesque tromperie qui se sera enrichie d'éléments mensongers rapportés à un média en 1952, le Schwäbische Illustrierte, et pris en compte lors de la publication d'une première biographie de la Frau Doktor Reichsminister GOEBBELS par le fils d'un nazi valait bien d'être relatée dans un ouvrage. Parce qu'il était important que l'on travaille, non seulement sur des allégations, mais aussi sur un personnage qui se sera construit aux côtés d'une mère reconnue être une menteuse pathologique. Au risque de faire de sa fille le monstre qu'elle est devenue au fil des années, un être avide de pouvoir, perverse narcissique, n'éprouvant aucune empathie pour son entourage. Malgré l'image de "mère idéale" qu'elle s'était bâtie avec le concours d'un époux passé maître dans l'art de tromper les masses qui l'avait encouragée, lui aussi, à tromper les autres !
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MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0
« Christian Ranucci... ce sale gosse était-il innocent ou coupable ?Jean-Loup d'Hondt et ses premières années de chercheur... »
Tags : mere, fille, magda, goebbels, tromper
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