• Ello Quandt, l'amie fidéle de Magda, la chienne du Troisième Reich...

    Ello Quandt, l'amie fidéle de la chienne...   Ello Quandt, l'amie fidéle de la chienne...

    Ello Quandt, l'amie fidéle de la chienne...

    Lorsqu'on enquête sur Magda GOEBBELS, il est un point sur lequel peu d'observateurs sont revenus, celui qui concerne Ello QUANDT, la très bonne amie de la chienne du Troisième Reich. Un personnage qui nous donne le sentiment de n'avoir été utilisée régulièrement qu'à des fins de manipulation par l'égérie nazie et qui s'était en quelques années très vite laissée aller à un peu trop d'embonpoint (photos en tête d'article).

    Les différents témoignages livrés par Hans-Otto MEISSNER, le fils du ministre nazi Otto MEISSNER, par Anja KLABUNDE et quelques autres narrateurs font souvent état entre les époux GOEBBELS d'un climat de guerre larvée entre réconciliations torrides. Une guerre souvent utilisée par une épouse cocufiée pour retourner les faits en sa faveur en oubliant ses propres travers ! C'est encore plus vrai quand on prend connaissance des faits qui se sont déroulés durant l'été et l'automne 1938, à un moment où le ménage GOEBBELS a failli imploser, tant l'affaire BAAROVA et la liaison du propagandiste avec la sensuelle Tchécoslovaque avait fait couler d'encre au pays nazi ! Alors qu'Adolf HITLER se préparait à envahir le pays de la splendide actrice (photo ci-dessous) ! Si la biographe Anja KLABUNDE n'évoque que très peu cet été 1938 et la tentative de suicide du libertin nazi soudain confondu, alors que lors d'une sortie en canot à moteur sur le lac Bogensee il avait offert à la belle un bijou contesté par son épouse légitime... force est de reconnaître qu'il se passait beaucoup de choses chez les GOEBBELS ! Il est difficile de s'en faire une idée exacte, en dehors cependant du fait que la Frau Doktor Reichsminister n'était pour rien au monde "une potiche". Ce que confirment de nombreux témoins comme la chroniqueuse Bella FROMM ou même les proches d'Eva BRAUN ! Même si, sur la fin, elle était bien plus considérée comme une mère que comme une femme, ce qui justifie qu'elle se soit assez rapidement boudinée, malgré l'existence autour d'elle de certains gigolos capables de redonner quelques ardeurs à une femme qui nourrissait un certain goût pour tous les plaisirs d'alcôve !

    Ello Quandt, l'amie fidéle de la chienne...Mais c'est de l'agenda de Joseph GOEBBELS et des extraits de celui-ci publiés par THULE ITALIA, que des précisions importantes sont apportées à l'affaire BAAROVA durant l'été 1938. Par rapport à d'autres extraits du célèbre journal, ces précisions n'ont fait l'objet d'aucune modification après coup. Pour l'éditeur transalpin, Magda y serait apparue en juillet 1938 comme « dure et presque sadique », c'est dire, et Ello QUANDT comme une femme jalouse qui brûlait de semer la discorde entre cette amie si proche qu'était Magda et elle, qui avait épousé l'un des frères de Günther QUANDT avant d'en divorcer. Il ne fait aucun doute pour nous qu'Ello nourrissait des sentiments contradictoires à l'égard de la perverse Magda GOEBBELS. Au point même d'avoir incité la bonne amie à apporter après la disparition de celle-ci dans le bunker des éléments à décharge à une femme coupable d'avoir assassiné ses six enfants. Lesquels ? Les différents témoignages évoquant la chute du Troisième Reich et ce lâche assassinat sembleraient s'être contentés d'une seule version s'appuyant effectivement sur les révélations de la bonne amie et d'un : « ...Voyez-vous, Ello, il serait tout à fait impossible pour moi de continuer à vivre. Nous prendrons les enfants avec nous ; ils sont trop bons, trop aimables pour le monde qui nous attend. Dans les jours à venir Joseph sera considéré comme l’un des plus grands criminels allemands. Si ses enfants entendaient dire cela tous les jours, si on les tourmentait, en les méprisant et en les humiliant, ils devraient supporter le fardeau de ses péchés et une vengeance leur serait infligée... Tout cela est déjà arrivé. Vous vous souvenez de ce que je vous avais dit à un moment donné, franchement, à propos de ce que le Führer avait dit au Café Anast de Munich quand il a vu le petit garçon juif ? Vous vous en souvenez ? Qu’il voudrait l’écraser à plat comme une punaise sur un mur... Je ne pouvais pas croire ce que j’avais entendu ce jour-là et j’ai pensé que c’était juste de la provocation. Mais il le fera plus tard en déléguant cette horrible tâche à d’autres. »

    La perverse Magda a-t-elle tenu ces propos-là ? L'Histoire nous éclairera peut-être un jour quand le secret se lèvera enfin et que l'on cessera de prendre l'égérie nazie pour une victime de son idéologie nationale-socialiste, une idéologie dont elle n'hésitait pas, assez fréquemment pourtant, à s'éloigner en critiquant certaines dispositions et le profil d'un oncle Adi qu'elle prétendait aimer à la folie !

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    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

      

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