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Et si Ranucci avait été victime d'un black out après son accident ?
Quand il est arrivé au carrefour de La Pomme à Peypin peu après les douze coups de midi, le jeune Christian RANUCCI était "chargé" car, depuis la veille au soir, il avait beaucoup bu. Au point même de ne plus se souvenir qu'il avait renversé un chien, ce qu'il ne pourra jamais dire aux enquêteurs qui avaient voulu lui faire avouer qu'il avait dormi dans sa voiture à Salernes dans le Var. D'autant qu'il avait dessiné un croquis assez compromettant (ci-dessus) qui atteste de son implication dans l'enlèvement d'une fillette dans le quartier marseillais des Chartreux. Pour l'auteur de notre nouvel ouvrage sur l'affaire, il est possible que la gamine, qu'il avait enlevée pour avoir un peu de compagnie en ce lundi de Pentecôte, soit alors tombée entre les mains de son futur meurtrier pour avoir tout simplement voulu lui venir en aide. Etait-ce l'homme au pull-over rouge qu'on a retrouvé dans la champignonnière d'Henri GUAZZONE ? Pas certain non plus. Mais ce qui semble être une vérité tout à fait différente de celle qui aura été servie à l'opinion, c'est qu'on aura envoyé à l'échafaud un jeune homme désorienté qui avait certes commis la bêtise d'enlever une gamine devant chez elle, mais qui n'a pas donné l'impression à l'auteur de ce nouveau livre d'avoir pu liquider froidement la petite Marie-Dolorès RAMBLA le 3 juin 1974.
L'ouvrage de Louis PETRIAC proposé à 22 € est désormais disponible et même accessible pour vous être vendu en ligne.
CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE ? Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-59-1
« Guy Bourguignon, le Compagnon périgourdinOù commence la déraison et où finit-elle ? Extraits d'un journal de "voyage"... »
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