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Faites attention à ce que vous consommez !
Le magnétiseur périgourdin Claude FISCHER avait publié fin 2014 un ouvrage à tonalité écologique FABULEUSE ENERGIE dans lequel il évoquait l'incidence des métaux lourds sur notre consommation. Et notamment celle de l'aluminium. N'y aurait-il pas là de quoi bouleverser certaines mauvaises habitudes trop longtemps prises qui nous mettent en danger ? Voyons un peu ce qu'il en disait...
Troisième élément le plus abondant dans la croûte terrestre après l’oxygène et le silicium, l'aluminium était jusqu’alors considéré comme inoffensif au point d’être devenu aujourd’hui omniprésent dans notre quotidien. L’ennui, c’est que nous nous retrouvons exposés à des concentrations d’aluminium de plus en plus élevées et qu’on en trouve à peu près partout. Aussi bien dans les contenants des conserves en aluminium dont l’emploi est très répandu (bières en boîte ou sodas), que dans le papier alu dont on se sert pour conserver à nos restes de nourriture un certain maintien au froid de nos réfrigérateurs. Encore qu’à ce propos, le débat soit ouvert, selon que ces restes soient chauds ou pas, et selon qu’on y fasse appel assez souvent ou de façon occasionnelle.
L’aluminium on en trouve également dans les déodorants ou les antitranspirants, voire encore dans l’eau du robinet. Sans oublier, en me référant à certaines de mes sources, qu’on en trouverait également dans les produits cosmétiques, des additifs ou colorants alimentaires, dans des aliments comme le pain, les biscuits ou la charcuterie, et, plus grave encore, même dans le lait infantile. Quand ce n’est pas dans les vaccins.
Pourtant, il est admis qu’il puisse présenter, lui aussi, avec d’autres métaux lourds, des risques pour notre santé et qu’il soit neurotoxique. Pour certains, sa toxicité favoriserait même le déclenchement de maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson et les effets toxiques de l’aluminium porteraient essentiellement sur le système nerveux central (encéphalopathies, troubles psychomoteurs) et sur le tissu osseux. Contrairement à d’autres composantes, c’est son absorption à forte dose ou à dose régulière qui se révélerait toxique. Ce que conteste bien entendu les industriels du secteur. Toujours selon la documentation que j’ai réunie avec mon éditeur, le mercure serait, lui, fortement associé à des désordres du comportement comme l’autisme et un déficit de l’attention. Considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme l’un des dix produits chimiques les plus préoccupants pour la santé, on dit aussi qu’aux Etats-Unis, près de 12% des femmes en âge de donner la vie auraient un taux de mercure dans le sang supérieur à la normale... Des données qui, là encore, ne peuvent qu’interpeller quand on sait qu’en France, un enfant sur cent naît aujourd’hui avec le risque de présenter des troubles autistiques.
FABULEUSE ENERGIE, Claude FISCHER (extraits)
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