• Il était le diable... et le petit ange de la perverse Magda, la chienne

    Il était le diable... et le petit ange de Magda, la chienne

    Il était le diable... et le petit ange de Magda, la chienne

    Lèvres minces, regard perçant, visage émacié, avec une tête trop grosse en forme d'obus vissée sur un corps malingre, affligé d'une claudication due à une ostéomyélite invalidante... celui que Magda, la chienne du Troisième Reich, appelait "mon petit ange" n'avait a priori rien de séduisant. Et pourtant, pourtant beaucoup de femmes en étaient folles, fascinées par le personnage. Sans doute, tout comme sa future femme, étaient-elles sensibles à l'énergie qu'il déployait lorsqu'il haranguait les foules en menaçant ses ennemis et les Juifs l'index levé ! Diplômé de l'université en avril 1921, cet artiste raté et déçu qui avait longtemps espéré voir ses écrits édités, avait beaucoup de choses en commun avec son mentor Adolf HITLER, un homme qui paraissait seul capable de lui apporter la reconnaissance dont il avait besoin en parfait narcissique. Son talent pour l'écriture de discours subversifs et la fabrication d'une image propre à aider les nazis à prendre le pouvoir, le permettront. Tout autant que sa hargne à vouloir séduire le premier jupon accessible comme le sera cette femme qu'était Magda qui nourrissait un certain goût pour les plaisirs d'alcôve.

    L'étude comportementale à laquelle s'est livré Peter LONGERICH dans une biographie récemment publiée s'attarde bien entendu sur ce narcissisme dont souffrait également celle qui deviendra son épouse en décembre 1931, Magda GOEBBELS. Les deux époux GOEBBELS étaient donc affligés, l'un et l'autre, des mêmes travers même à des degrés divers, ce qui explique leurs continuels affrontements. A une seule différence près, celle que, si Joseph était un maniaco-dépressif dont les travers pouvaient s'espacer, Magda était, elle, une... perverse narcissique en permanence dénuée d'empathie ! Ce que s'est efforcé de démontrer Louis PETRIAC dans l'ouvrage qui vient de sortir et qui revient sur une personnalité magnifiée par une propagande efficace et des témoignages faussés provenant de proches comme sa propre mère qui n'avait pourtant pas su l'aimer lorsqu'elle était une fillette. Pour le plus grand malheur des six innocents qu'elle mettra au monde avant de les tuer faisant en sorte qu'ils ne sachent jamais qui elle était réellement ni ce qu'était le national-socialisme !

    L'ouvrage est désormais en vente sur notre boutique en ligne !

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-43-0

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