• La mère idéale du Reich, Magda G : une sexualité débridée dès l'adolescence !

    La mère idéale du Reich, Magda G : une sexualité débridée dès l'adolescence !

    La mère idéale : une sexualité débridée dès l'adolescence ! 

    C'est au pensionnat belge des Ursulines de Vilvoorde que la sexualité de la petite Magda BEHREND s'est révélée à une gamine privée de liens affectifs dont la maman était surtout occupée à "la chasse au parvenu". Sitôt sortie de ce pensionnat religieux, elle n'attendra pas longtemps avant de s'offrir à un autre adolescent déjà très mûr, un certain Victor ARLOSOROFF, le futur ministre des Affaires étrangères d'une Palestine en voie de création. Par goût du pouvoir, déjà ! Au lycée Kolmorgensche de Berlin où elle était parvenue à créer un premier lien d'amitié avec la soeur de ce dernier, une dénommée Lisa, on lui prêtait d'autres aventurettes avec, notamment, un certain Walter. C'est du moins l'avis de l'un des premiers biographes de Magda GOEBBELS, le fils de l'ancien secrétaire d'Etat MEISSNER, Hans-Otto. Comme il l'écrit à propos du premier amoureux de la future égérie nazie dans cette Compagne du diable proposée en 1961 et des réactions de la demoiselle : « Il plaisait à Magda mais son esprit à elle demeurait froid et rien ne changeait dans son être... ». Il est vrai que du haut de ses dix-sept ans, Victor attirait l’attention des jeunes filles et que Magda n’était pas la dernière à avoir été troublée à seize ans par son air volontaire ! Elle, qui savait à présent que son corps était sensible au plaisir et qui avouera plus tard que Walter, un peu plus âgé qu’elle, était un garçon un peu hésitant dont elle attendait qu’il la brusque par une véritable attitude d’homme, pareillement à Victor quand il l’avait prise la toute première fois sans préambules. Seulement...

    Magda Goebbels, une sexualité débridée !Cette gamine délurée d'à peine dix-neuf ans, le quadragénaire Günther QUANDT (photo ci-contre) la rencontrera dans un train roulant vers la Basse Saxe et Goslar. La jeune fille avait, sans conteste, envie de jauger ses talents de séductrice face à des hommes un peu plus mûrs que ses copains de jeux habituels. Victor venait tout juste de plaquer celle qu'il avait séduite et Magda FRIEDLANDER n'appréciait déjà pas d'avoir été larguée de la sorte ! Il ne serait guère étonnant que cette redistribution des rôles ait eu une influence sur la perverse narcissique en devenir qui germait dans les entrailles de la jeune fille car on ne naît pas perverse narcissique, on le devient ! Ne serait-ce qu'après les multiples castrations déjà opérées par une mère dissimulatrice et menteuse qui lui cachera longtemps (jusqu'en 1934) quelles étaient ses véritables origines. Je ne suis pas sûr que son père juif, le négociant Richard FRIEDLANDER n'ait pas voulu reconnaître sa fille en novembre 1901. Si du moins il avait su qu'Auguste BEHREND, la petite bonne qu'il avait croisée dans l'hôtel de Berlin où il s'était arrêté, avait accouché d'une enfant de lui. Malgré ses efforts de père dépassé par les événements, FRIEDLANDER ne parviendra jamais à tisser ensuite un véritable lien avec la fille qu'il avait eue, la perdant même au profit d'Oskar RITSCHEL. Au cours de l'un des accès de rage dont elle était coutumière, et comme pour se défendre face à un média d'avoir été contrariée dans ses plans d'ascension au sein de la pyramide nazie, Magda lâchera même un « Il m'est personnellement désagréable et insupportable que l'on me soupçonne d'avoir été élevée par élevée par un Juif ».

    Magda Goebbels, une sexualité débridée !Ce qui apparaît dans une grande quantité de témoignages recueillis auprès de ceux qui ont connu l'égérie nazie, c'est que Magda GOEBBELS n'aimait pas que les hommes lui échappent. L'aventure de son époux volage avec l'actrice tchécoslovaque Lida BAAROVA en 1936 n'aura été que le déclencheur d'une nouvelle étape dans les degrés d'une perversion déjà agencée chez l'intéressée. D'une attitude empreinte de froideur, elle était tout à fait capable de jouer un jeu qui lui sert encore plus de soixante-dix ans après ! En jouant par exemple devant les caméras de la propagande à la mère idéale, alors que ses sentiments vis-à-vis de ses cinq premiers enfants n'avaient rien à voir avec ceux qu'éprouve une vraie maman pour sa descendance ! Puisqu'en 1938, déjà, elle les avait pris en otage, menaçant de mourir avec eux pour, soi-disant se révolter de l'infidélité de son Joseph ! Contrairement aux scénarii qui continuent de circuler à propos de la tuerie du bunker, il y avait donc bien préméditation de l'acte d'une femme en phase délirante de perverse ! Ce que je démontre dans le portrait que je viens de consacrer à ce personnage énigmatique, évoquant aussi ce narcissisme qui lui faisait commettre les pires méfaits. Sans oublier ce pouvoir absolu qu'elle rêvait d'atteindre en courtisant, après les avoir manipulés, ceux qui en détenaient une part non négligeable.

    L'ouvrage est proposé dans la boutique en ligne de ma maison d'édition.

    Louis PETRIAC

     

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