• Le chercheur Jean-Loup d'Hondt et son opinion sur la médecine

    Le chercheur Jean-Loup d'Hondt et son opinion sur la médecine

    (Extraits) Certains gestes, même peu répétitifs, m'ont fait souffrir de rhumatismes, parfois très douloureux, et ceci depuis ma prime enfance ; dès mon jeune âge, cela m'a dissuadé d'effectuer tout exercice physique, parfois au prix d'un blocage intellectuel. Par ailleurs, depuis 1954, je suis victime de problèmes articulaires récurrents ; 1954 c'était l'année où je m'étais cassé la jambe, lors d'une simple chute dans la cour du lycée qui aurait dû être bénigne, une semaine avant la date de mon examen d'entrée en sixième que je n'ai donc passé qu'à la deuxième session, en septembre. J'avais en conséquence eu la jambe plâtrée pendant cinq semaines dans une clinique des allées de Morlaàs successivement dirigée par les sœurs Irène et Sabine, par les soins d'un chirurgien, le Dr. GAUCHER. Mais ma cheville ayant légèrement bougé pendant la période de convalescence, mon articulation s'est de ce fait mal consolidée, la pointe du pied ayant dévié vers l'extérieur par rapport à son axe. Avec le temps, ma démarche est devenue progressivement irrégulière et difficile, et il m'arrive comme Alfred GIARD d'avoir tendance à marcher "en crabe". Mes articulations (chevilles, genoux, et par la suite colonne vertébrale) ont été de plus en plus douloureuses, et j'ai en conséquence été victime à plusieurs reprises de chutes, surtout en 2001 avec une destruction suivie d'arthrose du genou gauche, et depuis la fin 2017 avec un déplacement de l'articulation du genou droit, et également de l'arthrose. Certains jours, j'avoue que, outre la sensation mécanique d'avoir des difficultés à me déplacer, la douleur me fait vivre depuis lors un véritable supplice...

    Selon les cas, il peut s'ensuivre l'instauration de contraintes, des acceptations consentantes parce que forcées, l'introduction d'une subordination parfois malsaine, l'utilisation par une personne d'une autre à son profit, sinon un comportement de prédateur, l'introduction non voulue d'autrui à son domicile ou même dans sa vie. Un cas particulier sur lequel il importe d'insister sur la défiance qu'il convient, contre toute attente, d'exercer vis-à-vis des médecins, auxquels leurs patients sont conditionnés, pour leur faire a priori confiance. En effet, autant mon épouse Marie-José que moi-même, avons été les victimes de praticiens malhonnêtes, n'hésitant pas à tester officieusement des médicaments dans la commercialisation desquels ils sont peut-être financièrement intéressés, sans étiquette de firme pharmaceutique ni d'autorisation, ni d'information sur leur composition, à titre expérimental, au mépris des effets secondaires qu'ils pourraient engendrer, et dont nous avons tous deux été les victimes.

    A méditer en période de vaccination outrancière pratiquée sans discernement.

    ZOOLOGISTE PAR VOCATION, Jean-Loup d'HONDT, ISBN 978-2-954453-4-53

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