• L'un des premiers paris de Louis Petriac était un pari de fou !

    C'était un pari de fou !

    Au Printemps 2007, sans qu'il l’avoue, Louis PETRIAC faisait pourtant partie de ceux qui méconnaissaient les Compagnons de la Chanson, un handicap qu'il comblera très vite en prenant connaissance d'une abondante documentation et en se procurant les ouvrages qui avaient été écrits. C'est du moins ce qu'il explique dans un ouvrage d'humeur (en couverture ci-dessus) où il raconte avec force détails de quelle façon il s'était lancé dans ce travail de découverte et d'un groupe dont il avait conservé un seul souvenir, celui de neuf d'entre eux et d'une enfance passée dans un quartier où il s'ennuyait. Notamment, lorsqu'il découvrira dans un ouvrage biographique écrit par l'un des Compagnons, Hubert LANCELOT, leur aventure lyonnaise et la période pendant laquelle la formation d'un premier groupe avait eu lieu ! 

    C'était un pari de fou !En revoyant sur un extrait vidéo quelques images d’un long métrage tourné avec Edith PIAF, il avait aussitôt compris pourquoi il ne reconnaissait pas les composantes du groupe dont il se souvenait avoir acheté quelques microsillons au début des années soixante. Notamment le profil d’un rouquin et d’un gamin dont les traits lui étaient inconnus et qui chantaient pourtant avec elle. Il ne lui faudra guère de temps avant d’apprendre, comme il l'écrira dans cet ouvrage d'humeur, que le rouquin en question, figurant sur la photo de ce vieux disque, était un garçon du Sud-Ouest du nom de Jean ALBERT. Et pas davantage pour deviner que le gamin espiègle qui apparaissait sur les premiers extraits vidéo était un dénommé Marc HERRAND. Mais, il le reconnaîtra, il avait encore tout à apprendre de ce jeune « Beethoven boudeur » tel que le décrit Hubert LANCELOT dans cette toute première biographie consacrée à ses idoles d'enfant. Avec l’auteur de l’hommage, ils s'étaient convaincus de s'être lancés dans un sacré challenge et ils allaient avoir fort à faire pour que ceux qui côtoyaient les Compagnons se retrouvent parfaitement dans ce qu'ils comptaient avancer. C'était en fin de compte une bataille qui était lancée pour que ces Compagnons qui avaient commencé à disparaître retrouvent vie ! Seulement, de l'avis de Louis PETRIAC, comment auraient-ils pu évoquer une histoire alors qu'ils étaient singulièrement privé d’éléments en ce début du mois de mars 2007.  Car il existait très peu de documents évoquant le groupe et ceux qui avaient vu le jour vingt ou trente ans plus tôt nécessitaient une véritable collecte à réaliser auprès de ceux qui les avaient conservés. Ce qui ne tardera pas à être solutionné assez rapidement grâce à la création d'un site Internet ! Notre auteur Louis PETRIAC qui effectuait alors ses premiers pas d'éditeur avait vu clair. La réussite de ce challenge avait tenu à très peu de choses ! L'auteur du projet sera ravi du développement proposé tout en l'assortissant à une prière, celle que l'éditeur en herbe qu'était encore Louis PETRIAC signe désormais de son nom les articles publiés sur le site qui venait d'être créé. Parce qu’il se sentait, lui avait-il dit, incapable de rédiger ceux-ci, se bornant seulement à superviser ce qu'il mettrait en ligne. Cet ouvrage publié à l'été 2012 était nécessaire car il aide à comprendre comment les premiers ouvrages de notre ancien label ont pu voir le jour malgré les difficultés qui avaient subsisté et comment ils ont pu être résolu.

    Ce PUBLIER DU COMPAGNONS DE LA CHANSON est toujours en vente et dès la création de notre nouvelle société à l'été 2017, nous en avons repris la diffusion. Vous pourrez le trouver dans notre boutique en ligne.

    PUBLIER DU COMPAGNONS DE LA CHANSON..., Louis PETRIAC, 978-2-918296-16-4 

    « Pour Ph. de Villiers, c'est une guerre de sécession !16 Juillet 1942... Le souvenir est toujours aussi insupportable ! »

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