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A la semaine prochaine, à La Douze...
On ne pouvait pas trouver mieux pour vous convier à une rencontre que ce Salon du livre de La Douze, à quelques kilomètres de notre atelier de Périgueux sur la route enchanteresse du Bugue ou de Belvès. D'autant que la météo promet d'être clémente avec un ensoleillement au zénith. Durant ce Salon et autour d'une dédicace de leurs ouvrages, Claude FISCHER et Louis PETRIAC se feront un plaisir de vous y accueillir !
Cette rencontre sera peut-être l'occasion pour vous de découvrir nos productions dont une quinzaine seront exposées et de savoir aussi comment nous fonctionnons. Tant lorsque nous sélectionnons un projet que lorsque nous le montons entièrement nous-mêmes parce que son auteur(e) nous apparaît ne pas être très à l'aise avec la formulation écrite. On l'aura compris, il ne suffit pas aujourd'hui de seulement avoir un projet susceptible d'entraîner l'adhésion ou d'avoir le sentiment de savoir suffisamment écrire pour publier, voire de pouvoir bénéficier de l'aide d'une relation, ancienne maîtresse d'école, pour la correction de ses textes. Car l'entreprise demande aussi de savoir s'attacher un lecteur et donc de savoir se vendre avec un style approprié. Ce qui n'exclut pas que des projets qui, au départ, n'avaient aucune chance soient écartés. Nous l'avons vécu avec cet ouvrage : Ma guerre à moi... Résistant et maquisard en Dordogne qui nous a également demandés d'avoir su faire parler un vieux soldat héroïque qui avait tant de choses à révéler. En faisant aussi et parfois preuve de patience. Des confessions qui lui vaudront d'ailleurs, quelques années plus tard, d'être distingué de la Légion d'Honneur.
« Le traitement de la folie serait-il un monde à part ?A dimanche à La Douze, si vous le voulez bien ! »
Tags : projet, douze, demande, tant, salon
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