• Affaire Ranucci... Notre auteur s'est posé beaucoup de questions !

    Affaire Ranucci... Notre auteur s'est posé beaucoup de questions !

    C'est vous, je vous reconnais, dira Aline Aubert !Dans son ouvrage publié voici quelques semaines, notre auteur Louis PETRIAC évoquait les nombreuses questions qu'il s'est posé et auxquelles il n'a pas trouvé de réponse, ce qui ajoute aux interrogations que continuent de se poser à propos du meurtre de la petite Marie-Dolorès ceux qui doutent de l'implication de celui auquel on tranchera la tête deux ans plus tard. Et cela même sans prendre au sérieux tous les éléments retenus par l'écrivain Gilles PERRAULT dans son plaidoyer : Le pull-over rouge. Car il n'est même pas certain qu'il ait pu y avoir un lien entre un pull-over déposé dans la champignonnière - et pourquoi pas - par un des employés de GUAZZONE et le tueur de la fillette !

    En premier lieu ce qui ressort de la reconstitution du 24 juin 1974 où l'on devait s'efforcer de reconstituer ce qui avait pu se passer le 3 juin en ayant pris soin de faire appel au coupé 304 Peugeot du jeune RANUCCI. Or, on n'était toujours pas en mesure d'ouvrir la porte avant gauche côté conducteur, ce qu'avaient confirmé les services techniques de la Police ; elle avait été, rappelons-le, endommagée lors de la collision du carrefour de La Pomme. Dans ces conditions, on a du mal à comprendre que le sieur Alain AUBERT ait pu voir l'adolescent de 20 ans tirer la petite Marie-Dolorès à l'extérieur du véhicule après avoir ouvert la porte du côté droit ! Une opération qui supposerait que le jeune conducteur soit sorti de sa voiture du côté gauche et qu'il en ait fait le tour. 

    En second lieu, citons cette histoire de pantalon présenté par les détracteurs du jeune homme comme abondamment taché de sang. Certains ont même supposé qu'il n'y avait eu aucun pantalon de prélevé le 5 juin au soir dans le coffre d'un coupé garé dans le garage collectif de l'immeuble mais que celui-ci ne l'avait été qu'après coup ! Tout simplement parce que ce pantalon était celui qui servait à quelques menus travaux et que le jeune RANUCCI ne l'avait pas emporté avec lui pour son excursion des 2 et 3 juin. Il convient de savoir que le véhicule restitué à la mère de l'accusé deux jours plus tard le 7 juin, avait effectivement été garé à son retour à Nice par le journaliste Christian CHARDON, non dans le garage collectif de l'immeuble, mais dans le box. Et le commissaire ALESSANDRA resté en possession d'un double des clés avait donc pu avoir accès à ce box privé le 9 juin permettant aux enquêteurs de faire main basse sur le fameux pantalon qui s'y trouvait et de reprendre le véhicule pour le ramener sur Marseille. Ce qui explique aussi ce qui sera présenté à l'issue de trois expertises diligentées après l'exécution comme une probable surcharge et un rajout opéré sur le PV de saisie 828/4 des enquêteurs. Car s'il avait été l'auteur de l'homicide sur la gamine, il est probable que le jeune homme aurait cherché à extraire "ce pantalon d'homme de couleur sombre" de son coffre, à s'en débarrasser et non à le laisser au su et au vu de tout le monde. 

    En dehors de ces deux points soulevés et des interrogations qu'ils suggèrent, il y en aurait quelques autres que Louis PETRIAC reprend dans son ouvrage. Si vous souhaitez vous le procurer, visitez notre boutique en ligne. Vous gagnerez du temps !

    CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE,            Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-59-1

     

    « Quand son avocat parlait de la décapitation de Christian Ranucci...Et après le rejet de la censure... Quid ? »
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