• Nos articles

     

  • Un maquisard à l'aide avec les paysans et le monde rural...

    Fléché, Robert Sudey en 1944 au sein de son bataillon de maquisards... Il n'avait que 19 ans !

    Un maquisard à l'aide avec les paysans et le monde rural...

    Dans son ouvrage : Ma guerre à moi... Résistant et maquisard en Dordogne, publié chez Decal'Age Productions éditions, l'ancien maquisard trélissacois, Robert SUDEY, décédé dernièrement à 95 ans, était revenu sur ses premières attributions et sa découverte de ceux qui avaient choisi de bouter l'occupant nazi hors de France. C'est vrai qu'à moins de vingt ans, le jeune homme qu'il était alors avait découvert tout un univers qui était comparable à ce qu'il attendait de ce monde avec lequel il avait appris à se familiariser l'année précédente dès son incorporation au 27ème RA d'Annecy et qu'il avait dû quitter sans prendre part à l'affrontement mémorable des Glières avec les nazis..

    « Je reconnais, dit-il, que le courant passait bien avec les époux Chateaureynaud (1) et je pense pouvoir dire que Madame Chateaureynaud m'avait pris en sympathie. Sans doute la perte de l'un de leurs enfants d'un âge égal au mien avait-elle incontestablement contribué à notre rapproche-ment. Proche, je l'étais également de pas mal d'autres personnes et du monde rural. Ce sont ces excellentes relations développées, aussi bien avec les citadins qu'avec les gens de la campagne, qui m'ont toujours permis d'être parfaitement admis chez ces derniers. Il est vrai que mes origines paysannes m'y avaient aidé. Je connaissais parfaitement les animaux et quel pouvait être le travail de la ferme. Si je n'avais pas le permis de conduire un véhicule, j'avais en revanche celui de conduire le bétail. Je savais traire les vaches et faire les labours en m'aidant des chevaux. Et puis, il y avait ce patois, encore très en vogue à ce moment-là en Périgord comme dans beaucoup d'autres contrées françaises. Nous n'avions pas été à l'école bien longtemps et ce patois permettait à nombre de paysans de communiquer entre eux. Et si je ne le parlais pas correctement, je le comprenais. Cela me permettra par la suite de deviner bien des choses en écoutant les gens de la campagne et notamment de juger quels étaient ceux qui étaient partisans de la Résistance et ceux qui étaient opposés aux thèses que je servais. Etre en mesure d'échanger en patois ce sera d'ailleurs la possibilité de lever bien des oppositions, surtout que le paysan est réputé être méfiant. Mais est-ce être méfiant que de pouvoir s'appuyer sur un sixième sens, deviner mieux les autres et donc faire davantage attention à eux ? Parce qu'on sait lire leurs pensées et donc voir aussi leurs éventuels travers ».

    Vous pourrez vous procurer cet ouvrage en vous rendant dans notre boutique en ligne.

    Chateaureynaud sera au départ responsable de l'acclimatation du jeune Sudey.

    MA GUERRE A MOI, RESISTANT ET MAQUISARD EN DORDOGNE, Robert SUDEY, ISBN 978-2-918296-23-2

     

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • avril 2013... elle écrivait une lettre à Marvin, son enfant autiste...

    2 avril 2013... Une périgourdine confrontée à l'autisme qui avait élevé seule avec ses deux autres filles, un enfant autiste, de surcroît non voyant, témoignait. Par une lettre bouleversante qu'elle avait adressée à son fils, Christine GOUGEON-M. avait voulu par un écrit tout simple redonner un peu d'espoir à ceux qui sont concernés par ce handicap. A la veille d'une journée consacrée à l'Autisme (2 avril), qui touche aujourd'hui de plus en plus de familles, et un téléfilm bouleversant et poignant diffusé sur France 2, nous aurions du mal à ne pas évoquer cette superbe Lettre à Marvin conçue dans le cadre d'un ouvrage !

    En voici un court extrait. Le tout début !

    Image avec Marvin article siteMarvin, est-ce qu'on te lira un jour ces quelques pages ? Ou du moins, l’essentiel du message qu’elles contiennent ?

    C’est mon plus cher désir. Celui aussi de tes deux soeurs Morgane et Maëva et de tous ceux qui n’ont jamais cessé de croire que nous réussirions un jour à communiquer avec toi. Pour que nos deux mondes s’ouvrent l’un à l’autre. C’est vrai que quand un être ne parle pas, qu’on ne peut pas avoir de réelle communication verbale avec lui, on est bien embarrassé pour le comprendre et c’est pourquoi j’ai souvent jeté des tas de ponts vers toi afin de te sortir du monde dans lequel tu t’étais abrité. Mais j’ai parfois beau frapper à la porte de ton univers, l’accès à celui-ci me reste encore souvent interdit.

    Ce sera une nouvelle manière de me manifester. C’est aussi un acte d’amour que nous avons tous voulu très fort ! Parce qu’il me semble que le moment était venu que je te fasse partager tout ce que nous avions en nous, que nous te racontions ce que nous avions vécu avec toi. Pour qu’il te reste quelque chose de ce que furent toutes ces longues journées passées à t’attendre et à te trouver ! Et parce que nous étions persuadés qu’un jour tu viendrais à notre rencontre et que les peurs s’effaceraient d’elles-mêmes ! Les tiennes comme les nôtres ! Et tant mieux si tous ceux qui sont confrontés au même dilemme que le nôtre y trouvent une raison de plus d’espérer et de croire que rien n’est impossible et qu’il existe des chemins tortueux bordés de lumière qui vous apportent des choses incroyables.

    Bien à toi mon chéri…

    Ta maman

    Un ouvrage que vous pouvez toujours vous procurer en allant sur notre boutique en ligne !

    LETTRE A MARVIN, MON FILS AUTISTE... Christine GOUGEON-M, 978-2-918296-21-8

     

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Anne-Marie Peysson... une présence simple et gentille

    Elle a disparu presque dans l'indifférence la plus totale voici déjà neuf ans, un quatorze avril alors qu'elle n'avait que 79 ans, sans que l'info s'attarde sur son décès. Et pourtant ! Pourtant, dans les années soixante, avec sa fraîcheur, ses bafouillages et sa spontanéité, elle rythmait nos journées sur la seule chaîne de notre bonne vieille télévision française d'alors. Nombre d'entre nous s'en souviennent sûrement encore. Elle avait épousé un ancien pilote de chasse Jean FALLOUX dont elle ne partagera l'existence que trois ans car il se tuera trois ans après leur union. Et, hélas pour elle, le fils qu'ils avaient eu se tuera lui aussi à moto en 1999.

    Il aura d'ailleurs fallu qu'on attende un dimanche matin pour apprendre qu'Anne-Marie PEYSSON (en photo ci-dessus), l'une de nos premières speakerines, était décédée. un décès que son ancienne station RTL a annoncé aussitôt après. "C'était une maman de la radio" a dit l'animateur Laurent RUQUIER. Sûrement, mais quel chemin parsemé d'obstacles aura été celui de cette femme que beaucoup avaient brocardée parce qu'enceinte elle avait osé poursuivre ses activités télévisuelles avec son ventre rond. A une époque où l'on ne se montrait pas à la télévision quand on attendait un enfant. "C'était, a-t-on dit encore, une gamine pleine d'enthousiasme qui s'est passionnée très tôt pour le petit écran. Elle aura été la toute première, bien avant Denise FABRE, à sourire, bafouiller et à rire à la télévision". Le plus naturellement du monde.

    Venant de Télé-Marseille où elle avait été recrutée en participant à un concours et où elle restera quatre ans, Anne-Marie PEYSSON avait débuté à Paris-Club en 1958 avant de rejoindre en 1960 les autres speakerines qu'étaient Catherine LANGEAIS, Jacqueline CAURAT et Jacqueline HUET. Avant que le 10 avril 1960 elle ne soit chargée de remplacer deux des titulaires malades. Puis qu'elle anime aux côtés de Guy LUX le Palmarès des Chansons entre 1965 et 1968. Avant de perdre son emploi cette même année et de rejoindre RTL où elle restera jusqu'en 1990. Elle restera l'une des premières personnalités du monde de la télévision à animer le légendaire Stop ou encore. Comme l'écrit Media Part dans un article, "sa présence simple et gentille générait un humour de bon aloi. Le sourire perdu d'une télévision de qualité. Une bio-télévision".

    Louis PETRIAC

    Yahoo! Pin It

    3 commentaires
  • Pris en otages, pourquoi auraient-ils dû avoir honte à leur retour ?

    Un témoignage fort que celui de Jean Rodon !Longtemps, on a considéré tous ces jeunes gens embrigadés de force pour le STO de triste mémoire comme des "vendus", voire des "collabos", sans seulement se demander ce qui les avaient poussés à partir travailler en Allemagne ? Mais, dès février 1943, partir, en avaient-ils tous eu envie ces 600 000 jeunes Français condamnés à travailler pour l'Allemagne nazie ? Pas sûr si l'on prend conscience des propos d'une très grande majorité d'entre eux en visionnant un reportage, assez bien fait, que RMC DECOUVERTE diffusait encore en début d'année. En revanche, ce qui est l'évidence même, c'est que dès la mise en route de ce projet nazi émanant d'un certain Fritz SAUCKEL, le négrier nazi de l'Europe, et comme le montre ce reportage, l'administration française a très vite montré toute son efficacité.

    Né le 22 février 1923, Jean RODON, l'auteur d'un ouvrage que nous venons de publier, n'aurait même pas dû partir en février 1943 dès les premières réquisitions effectuées qui ne concernaient que les jeunes gens nés en 1920, 1921 et avant le 31 déc. 1922. A sept semaines près donc ! Ce qui montre quelle a été la précipitation observée et, sans doute aussi, quelle aura été la peur qui habitait le jeune homme de voir ses parents communistes contraints de répondre à leur tour à une sanction s'il s'était abrité sur le seul texte de loi régissant la création du STO. Beaucoup d'autres jeunes gens essaieront de ne pas partir mais, pour les réfractaires, peu de possibilités d'échapper à cet embrigadement existaient. Les premiers maquis en étaient encore à leur balbutiement et parvenir à s'y faire admettre demandait beaucoup d'efforts. Pire, à leur retour, alors qu'ils avaient été privés de liberté, parfois un peu plus de deux ans, il leur faudra quelquefois affronter le mépris de ceux qui les considéraient comme des "vendus" aux nazis. La liberté, dira l'un d'entre eux, pour en parler, il faut l'avoir perdue !

    Un ouvrage poignant que ce Journal d'un adolescent revenant sur l'un des points encore bien obscurs de ce qu'aura été cette collaboration sous le régime pétainiste ! Et de la différence qu'il convenait de faire entre requis et volontaires ! D'autant que les hommes réquisitionnés par le STO n'ont jamais été considérés juridiquement comme des déportés, ni même comme des prisonniers de guerre. A leur retour, suspectés, ils devront donc démontrer qu'ils ont bien été pris en otage par la machine de guerre nazie ! Effroyable !

    L'ouvrage est désormais proposé dans notre boutique en ligne

    JOURNAL D'UN ADOLESCENT FACE A LA GUERRE, Jean RODON, ISBN 978-2-918296-46-1 

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Candace Owens revient sur l'Affaire Trogneux à la télé 

    Il faut battre le fer tant qu'il est chaud ! a dû se dire Candace OWENS puisque l'influenceuse américaine conviée en fin de semaine sur une radio noire de droite et un plateau TV aux Etats-Unis, en a remis une couche à propos de l'affaire Bribri qui indispose actuellement pas mal la Macronie en France ! « C'est la chose la plus folle que j'aie jamais vu ! » dira-t-elle, essayant de convaincre les autres invités du BREAKFAST CLUB auquel elle avait été conviée. Lors de cette nouvelle intervention (extrait ci-dessous), elle a repris les ingrédients de ce qui l'avait poussée à dire en mars dernier ce qu'elle prenait pour un véritable scandale d'Etat en France ! Au risque pour elle de perdre un contrat bien rémunéré et, pire encore, de mettre en jeu sa réputation professionnelle, ce qui sera le cas puisqu'elle se verra aussitôt sanctionnée par le Daily Wire peu après avoir tenu sa première tribune.

    Sûrs que l'affaire est loin d'être finie, d'autant qu'on approche à grands pas des élections européennes et d'un 9 juin plus qu'attendu ! Même si l'affaire Jean-Michel TROGNEUX n'aura pas été évoquée lors du face à face entre Marion MARECHAL et Valérie HAYER !

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • C'est devenu banal et pourtant tellement fréquent dans un environnement économique qui donne à beaucoup le sentiment d'être de plus en plus inaccessible ! Surtout quand il s'agit de faire preuve d'adaptabilité et de créer, en lien avec le progrès, de nouveaux outils de production. 

    Fin des années quatre-vingt... Le secrétariat est en passe, avec l'arrivée de Word et des premiers logiciels sous Windows, de réellement évoluer. Et pire, on ne sait pas avec un dénommé Bill GATES à quel créateur de logiciel on a à faire. On l'a appris à nos dépens aujourd'hui ! Seul bémol et il est de taille : cet équipement est proposé à des conditions qui dépassent l'entendement et qui touchent généralement les produits innovants comme celui que vient de mettre au point ce dénommé Bill GATES. Chacun s'en souvient encore : acheter un PC demandait en effet près de 20.000 Francs, soit l'équivalent de 3.000 € et très peu de particuliers, voire même de commerçants, ont été en mesure d'en acquérir au cours de ces années-là. Car, outre le PC, il fallait aussi s'équiper parallèlement d'une imprimante, pas davantage bon marché et d'un fax car, faute de disposer comme aujourd'hui de la possibilité d'envoyer des mails, il fallait pouvoir communiquer rapidement, soit avec les administrations, soit avec d'autres points de vente.  

    image_couverture_j_prast_copie.jpg

    Louis PETRIAC, devenu en 1991 Ecrivain Public au sortir d'une galère de quelques années et de quelques ennuis de santé, s'est alors trouvé confronté à des impératifs coûteux dès le démarrage de sa nouvelle activité. Mais ne fallait-il pas déjà s'adapter aux exigences et aux coûts prohibitifs pratiqués sur le marché plutôt que continuer à pointer comme quelques autres à l'agence locale ANPE ? Que l'on soit riche ou pas ? Avec des mailings postaux qui devenaient de véritables investissements difficiles à amortir parce qu'il fallait se faire connaître et répondre aux attentes d'une clientèle en pratiquant des prix assez serrés ? Sans pouvoir envoyer le moindre mail à un coût maîtrisé ? Dans un ouvrage assez décapant désormais disponible en ligne dans notre boutique : Au-delà de la passion... l'un des tout premiers publié durant l'été 2006 sous notre premier label DECAL'AGE PRODUCTIONS Editions (couverture ci-contre), l'auteur évoquait ses rencontres souvent déterminantes et quel était le challenge qu'il avait alors eu à relever. Surtout après avoir eu la chance de participer à un CA SE DISCUTE chez Jean-Luc DELARUE sur France 2. Il parle aussi de ceux qui faisaient appel aux services du modeste Ecrivain Public qu'il était. Ce seront ainsi quinze années passées à se révolter contre une image d'Epinal qui continue encore aujourd'hui à coller aux Ecrivains Publics et à une profession que l'on s'obstine à présenter comme une activité libérale susceptible de faire vivre un travailleur. Alors qu'elle est le plus souvent génératrice d'honoraires de misère et de marges dont il vaudrait mieux ne pas parler. Pire, en n'hésitant pas à envoyer au "casse-pipe" des gens qui, démunis, s'attendaient à trouver un travail décent et qui, très vite, après avoir suivi deux ou trois années de formation vont avoir à faire face à une couverture de charges déraisonnables.

    Mais, de cette bagarre de chaque instant, et pour tout simplement rester vivant, s'imposera progressivement une idée qui permettra fin 2005 à Louis PETRIAC de travailler à la création d'un label : DECAL'AGE PRODUCTIONS EDITIONS. Un label qui lui permettra de publier après avoir concçu des récits de vie des hommages comme celui sur les Compagnons de la Chanson et qu'il a cédés en 2017 à une société d'édition du même nom qu'il nous a aidés à monter et où il oeuvre encore parfois, mais bénévolement. 

    AU-DELA DE LA PASSION..., Louis PETRIAC, 14 €, ISBN 978-2-952411-7-21

      

     

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Jean Broussolle il donnait le ton aux Compagnons...

    Bien que Jean BROUSSOLLE ait eu le teint noir comme un pruneau de l'avis d'un chroniqueur spécialisé du nom de Jean-Guy MOREAU, c'est à Saint-Vallier dans la Drôme que cet ainé d'une fratrie de dix enfants a vu le jour le 15 décembre 1920. Même s'il a dû, après coup, émigrer en Lorraine, à Rombas pour être précis, entre Thionville et Metz, son père ayant longtemps travaillé pour les aciéries de Wendel implantées dans la région. C'est donc dans une maison de la rue de Versailles à Rombas que le futur baryton des COMPAGNONS DE LA CHANSON a passé ses toutes premières années d'enfance, avant que la famille n'emménage à Rosselange, une bourgade proche.

    Etudes secondaires en Moselle, licence de lettres à la Faculté de Strasbourg repliée à Clermont-Ferrand, il voulait faire carrière dans le journalisme. Et puis il y a eu à Clermont, en 1942 puis en Vendée avec André POPP qu'il suivra à Paris toute une série de rencontres qui le feront dévier et se mettre à la chanson. Sans négliger la trompette, cette trompette qu'un vieil oncle musicologue lui avait appris à domestiquer.

    Dans un portrait de quasiment 250 pages, deux auteurs reviennent sur ce qu'aura été l'existence de troubadour de Jean BROUSSOLLE et sur un peu plus de dix années d'association avec un autre musicien du nom de Jean-Pierre CALVET. Un portrait qui vient d'être réimprimé, Le duo magique que vous pouvez toujours vous procurer en allant dans notre boutique en ligne.

    J. BROUSSOLLE - JP CALVET, LE DUO MAGIQUE des COMPAGNONS DE LA CHANSON, C. FOUINAT et L. PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-40-9.

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Quand l'Etat assassine nos vieux dans les EHPAD...

    C'était en mars et avril 2020, voici un peu plus de quatre ans et nous avions été confrontés à une épidémie comme on n'en avait pas connu depuis 1917 avec la grippe espagnole ! Un reportage de France 3 ci-dessous, qui fait froid dans le dos, aura depuis jeté le trouble, définitivement, sur l'action de l'Etat français et ses complices durant une crise sanitaire dont on ne connaîtra jamais les véritables données car elles auraient été dernièrement placées en "secret défense". Pour Le Figaro, Emmanuel MACRON aurait en effet classé secret défense tous les documents concernant la crise du Covid 19 pour interdire toute investigation ou enquête pendant plusieurs décennies et probablement protéger la gouvernance en place. Ce qui a néanmoins réussi à franchir le mur du secret de la Macronie, c'est que près de 15 000 résidents d'EHPAD sont effectivement morts entre mars et avril 2020.

    Quand l'Etat assassine nos vieux dans les EHPAD...

    Pour sans doute éviter l'affolement, la directrice du groupe KORIAN, l'un des leaders du domaine, la brillante Sophie BOISSARD s'efforcera lors des enquêtes et à grands renforts de sourires (ci-contre) de dissimuler les nombreux morts comptabilisés dans les EHPAD dont elle a la charge. La moitié des résidences de son groupe seront en effet contaminées. Ce n'est d'ailleurs que le 2 avril 2020 que le directeur de la Santé, un certain Jérôme SALOMON, lâchera une première donnée en indiquant que 884 décès étaient survenus dans la totalité des EHPAD. Ce qui démontre bien qu'on était déjà désireux au sommet de l'Etat de cacher jusque-là l'étendue de la catastrophe sanitaire, sans qu'on se soit jamais donné les moyens de l'endiguer. Pour donner une idée de ce qui a pu se passer, et ne pas être à court de masques au pic de l'épidémie, le groupe KORIAN retardera leur distribution jusqu'au 24 mars en faisant courir des risques fantastiques à ses résidents et à son personnel !

    Comme pour le scandale du Rivotril, on est donc avec ce dossier face à un second scandale qui, espérons-le, verra sanctionnés tous ceux qui se sont rendus coupables d'une telle chose ! Nous vous invitons à visionner cette vidéo reportage de France 3 !

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    2 avril, journée de l'autisme... humeur

    Sur fond de film évoquant ces enfants oubliés, nous ne pouvons nous empêcher en cette journée dédiée à une cause qui continue d'interpeller et qui sera probablement remise au goût du jour en cette période de promesses politiques sans lendemain de parler d'autisme. Mais, revenons en arrière ! Au tout début du mois d'avril 2013 exactement, voici déjà onze ans, notre auteur Louis PETRIAC qui fonctionnait encore sous statut libéral, s'apprêtait en effet à organiser une première dédicace autour de la publication d'une lettre assez originale qu'une Périgourdine Christine GOUGEON-M avait écrite et destinée à son fils autiste et polyhandicapé. Avec le souhait que ses deux soeurs la lui lisent un jour. Elle avait, depuis si longtemps, eu envie de dire à son Marvin combien les journées avaient été longues à ses côtés et combien elle avait dû lutter avant de parvenir à en faire l'homme qu'il est devenu depuis. Pour publier cette LETTRE A MARVIN*, notre auteur avait pris, une fois encore, un certain nombre de risques. Mais après tout, n'y allait-il pas de la diffusion d'un message très positif qui était assez original ? Un document où l'humour n'était pas absent, le but étant de relativiser la plupart des situations vécues.

    Ce document qui avait concouru à partir de mai 2013 au 8ème Prix Handilivres n'avait hélas pas obtenu le succès d'audience que notre premier label attendait à la fin du mois de novembre suivant et que Louis PETRIAC avait avec l'auteure appelé de tous ses voeux. Faute, sans doute aussi, d'avoir pu compter le 24 avril 2013 sur une parfaite médiatisation. Alors qu'il n'avait pas hésité à faire appel aux uns et aux autres allant jusqu'à leur présenter le projet trois mois avant l'organisation de cette première dédicace. Un projet qu'il avait même couplé à un vernissage des oeuvres picturales de Christine GOUGEON-M puisque cette maman s'était mise à la peinture.  

    Si je peux comprendre, dira Louis PETRIAC, que les médias, parce qu'ils sont hyper sollicités, ont souvent du mal à couvrir une grande majorité des faits qui leur sont soumis, en revanche j'ai du mal à comprendre qu'une initiative touchant à un domaine comme celui de l'autisme puisse laisser indifférent. A plus forte raison quand on préside aux destinées d'une chaîne de télévision ou qu'on pilote une agence locale de presse écrite. Certes, en dehors du viol d'une femme de chambre à New York ou des mensonges d'un ministre soucieux de défendre ses acquis patrimoniaux, je sais aussi qu'une telle initiative a très peu de chances, aujourd'hui, de retenir l'attention d'un journaliste et cela me révolte. Profondément. Bien entendu, ce mépris de la plupart des médias ne nous aura pas permis avec Christine GOUGEON de nous aligner dans les meilleures conditions possibles à ce prix handilivres. Alors que l'originalité de ce message le permettait !

    Visitez notre boutique en ligne ! Vous pourrez vous y procurer l'ouvrage de Christine GOUGEON-M. 

    Lettre à Marvin, mon fils autiste polyhandicapé, C. GOUGEON-M., ISBN n° 978-2-918296-21-8          

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Martine Wonner : Comment je suis devenue une LeREM...

    Beaucoup ont découvert Martine WONNER lors de ses empoignades avec Olivier VERAN à l'Assemblée Nationale où elle avait siégé jusqu'en mai 2022, d'abord en qualité de député LaREM puis sous d'autres couleurs après avoir été exclue du groupe de la majorité présidentielle. Car cette psychiatre n'entendait pas se plier à des mesures liberticides qui n'avaient plus rien à voir avec ce qui avait été présenté en 2016 par ceux qui avaient rejoint le mouvement des marcheurs de la Macronie et dont elle avait fait partie, en reconnaissant aujourd'hui s'être trompée.

    En quarante minutes d'un entretien avec un média indépendant, le Courrier des Stratèges, elle était revenue voici quelque temps sur ses engagements d'élue responsable qui n'était visiblement pas faite pour participer à une dictature comme celle que les LaREM sont en train de mettre en place pour étouffer notre pays et y prélever ce que nous avions patiemment épargné ! Depuis l'été 2021 et comme beaucoup d'autres soignants, elle n'a plus le droit d'exercer son métier de psychiatre et comme elle n'a pas été réélue en juin 2022, perdant son siège de députée, elle a été contrainte de se reconvertir. Tout en répondant aux convocations des autorités médicales et sanitaires qui l'accusent de s'être trop longtemps opposée au pouvoir en place. « La liberté d'expression est aujourd'hui mise à mal et à différents niveaux, dit-elle, si on est contre ce qui est proposé, on est inquiété ! » Nous sommes convaincus qu'en opposante au pouvoir macroniste qu'elle avait supporté au départ, elle doit s'amuser des nouveaux développements de l'affaire de la fausse "Première Dame".

    Cet entretien intéressant répond à beaucoup des questions que nous nous posions encore à propos de celle qui était devenue une icône de la Résistance et que nous regrettons aujourd'hui de voir et d'entendre moins souvent ! Surtout depuis qu'elle a eu à affronter maints interdits car sortir d'une secte comme celle des LaREM lui aura causé beaucoup d'ennuis ! Depuis l'année dernière Martine WONNER a été recrutée par la clinique suisse Le Noirmont,

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Affaire Jean-Michel Trogneux... Nouveau rebondissement !

    Véritable coup de Trafalgar aux Etats-Unis où après ses révélations sur l'affaire #jeanmicheltrogneux l'écrivaine Candace OWENS vient d'être virée de l'institution avec laquelle elle coopérait ! Dans un entretien qu'il vient de publier, l'anthropologue Jean-Dominique MICHEL (en photo ci-dessus) dont nous appréciions les chroniques vient de s'exprimer sur le sujet.

    Candace OWENS avait précisé qu'elle était prête à tout sacrifier pour que l'on sache ce qu'elle venait d'apprendre sur l'épouse déclarée de notre président. Une créature présentée depuis plus d'une dizaine d'années comme une femme mais qui serait en fait un transsexuel, née sous l'apparence d'un homme, en fait son frère : Jean-Michel TROGNEUX. Mais là où le bât blesse, c'est que ce frère aurait mystérieusement disparu dans les années quatre-vingt alors que, pendant le même temps, sa soeur Brigitte prenait tout l'éclairage. A un point tel que ceux que l'on qualifiait d'être à tort des mauvaises langues se sont très vite engouffrés dans la brèche favorisant un emballement des réseaux sociaux. Et puisque cette pseudo femme n'était pas en mesure de fournir la moindre photographie de ce qu'iel avait été durant les trente premières années de son existence, l'affaire a très vite pris une certaine consistance !

    Candace OWENS lorsqu'elle évoque ce qu'elle a appris ces derniers temps ne cache pas que l'affaire pourrait même être rattachée à un dossier qui aurait été récupéré par une entité malveillante qui aurait choisi d'exercer un véritable chantage sur le couple présidentiel français. Un chantage qui pèserait sur les décisions qu'ils ont à prendre pour leur pays ! Notre président et son conjoint seraient donc face à un dilemme et menacés dans l'exercice de leur pouvoir.

    Un dossier à suivre.

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Notre première grande initiative : un hommage ! Dix ans déjà !

    Notre première grande initiative : un hommage ! Dix ans déjà !

    Dix-sept ans déjà ! Dix-sept ans que Louis PETRIAC venait d'organiser une première dédicace à Lyon qui aura marqué sa volonté de donner une autre identité à son atelier de production, et pas seulement ce qu'il en restait après quinze années passées à proposer un concept d'écrivain public qui avait vécu et qui intéressait de moins de moins de monde en Périgord et ailleurs ! Et pour cause, surtout après l'arrivée d'Internet et de Facebook et l'abandon des belles lettres comme celles que l'on écrivait voici encore quelques années !

    Un déclic durant un Vivement Dimanche de DRUCKER et l'occasion de profiter de la sortie d'un film qui n'avait pas encore consacré un futur Oscar à Hollywood, mais qui, déjà, attirait l'attention : La môme ! Un film qui remettait au goût du jour ce qu'il restait de l'artiste inoubliable qu'était Edith PIAF et de ceux qu'elle avait aidé tout au long d'une carrière mémorable. Ce premier ouvrage qui avait valu à notre auteur de travailler à un hommage en lien avec une fidélité, celle d'admirateurs qui avaient été sensibles à un certain savoir-faire, celui d'un groupe, lui avait paru être digne d'être appuyé. Parce qu'il y allait, non seulement de cette fidélité mais aussi de tout ce qui avait propulsé notre belle Chanson française à des sommets depuis inégalés avec des auteurs et des compositeurs aujourd'hui disparus ! 

    Un ouvrage que vous pouvez désormais vous procurer en allant dans notre boutique en ligne.

    LES COMPAGNONS DE LA CHANSON : DES MARCHANDS DE BONHEUR... C. FOUINAT 978-2-952411-7-19

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Savignac-les-Eglises... Comme il aime l'endroit où il vit !

    Cet ouvrage dédié à l'endroit où il aime à se reposer cinq à six mois par an et où il terminera son existence dans quelques mois, Jean-Loup d'HONDT s'était promis de le réaliser. Déjà pour que l'on sache qu'est-ce qui avait bien pu le séduire dans ce Périgord découvert aux côtés de celle qui a longtemps partagé sa vie de chercheur au CNRS et qui, hélas, atteinte par la maladie a dû le laisser seul. On y retrouve le détail de la curiosité d'un homme passionné par la nature et par toutes ses composantes, toute sa biodiversité ! Avec, parfois, des emportements quand il ne comprend pas que l'on puisse agir avec autant de désinvolture lorsqu'on à prendre certaines décisions visant à préserver ce que nos aînés ont patiemment construit !

    Les amoureux de ce gros village périgourdin de Savignac-les-Eglises apprécieront.

    L'ouvrage est désormais proposé dans notre boutique en ligne

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique