•  Halte à la propagande !

    Halte à la propagande !La propagande nazie aura tout éteint, tout déformé, permettant à l'obscur Joseph GOEBBELS de trouver sa place auprès d'un homme - Adolf HITLER - qu'il avait pourtant songé, un temps, à exclure du parti nazi (1925) en s'alliant aux Frères STRASSER. Mais ce que l'on sait moins, c'est que cette propagande aura aussi, sur la fin, conçu un scénario, ultime, mettant en scène dans un bunker assiégé une disparition, celle d'une famille entière. Parce qu'il fallait, au nom de cette propagande-là, que la mort de la propre famille de l'adjoint du Führer soit considérée comme celle de fidèles à un régime et à un homme que le couple GOEBBELS avait choisi de suivre dans ses errances psychotiques. Cette habile mise en scène a, bien entendu, eu l'assentiment de Magda GOEBBELS, déjà passablement dérangée et qui avait déjà songé, sept ans plus tôt, à "prendre avec elle" ses cinq premiers enfants lors d'une première pulsion suicidaire, à un moment où leur maniaco-dépressif de père vivait une grande aventure dans les bras de la sensuelle et torride Lida BAAROVA, une jeune actrice tchécoslovaque au charme indéniable. 

    Il importait donc, dira un historien, d'en passer par la mort de six innocents, qui, s'ils avaient échappé à ce carnage programmé dans le bunker, auraient eu accès à une toute autre vision de ce que pouvait être le national-socialisme et de ce que pouvaient être les ruines d'une façade que leurs parents Joseph et Magda GOEBBELS avaient voulu éclatante ! Le besoin de revêtir leurs six enfants d'un blanc immaculé en attachant aux cheveux des cinq fillettes de jolis rubans blancs, comme si on avait voulu en faire les symboles d'une innocence puérile, montre d'ailleurs quel avait pu être le souci de construction observé.

    Autre vision de cette néfaste propagande, le CV de cette mère idéale prête à sacrifier ses enfants, CV qu'il avait également fallu remodeler dès la fin de l'année 1930 pour qu'elle puisse prétendre accéder aux plus hautes fonctions de représentation chez les nazis (photo en tête d'article). Juive par le sang, puisque son véritable père, Richard FRIEDLANDER, avait eu une courte liaison avec sa mère Auguste durant l'hiver 1901 avant que celle-ci ne l'épouse en 1908, il était hors de question de laisser les choses en l'état. Pourquoi s'en serait-on privé puisqu'enfant, elle n'avait pas été reconnue par son père à sa naissance et qu'on avait trouvé pour légitimer ses origines un gogo pour jouer "les papas de circonstance" en la personne d'un certain Oskar RITSCHEL ! Que la mère de l'habile Magda, Auguste BEHREND réputée, elle aussi, être une menteuse pathologique, et que sa belle-soeur Ello QUANDT aient cru après guerre en rajouter et lui fabriquer un profil la dédouanant presque totalement, ne tient qu'à un seul objectif : il fallait convaincre les premiers biographes (1) que ce suicide n'était que la conséquence d'un geste émanant de fidèles nazis et surtout rien d'autre. Une version que soutiendra un chroniqueur du média Bild Zeitung lorsqu'il dira que ce geste était l'acte d'une fanatique aveugle au sein d'une dictature inhumaine.

    MADGA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-43-0 

    (1) L'un des premiers biographes ayant travaillé sur le profil de Magda GOEBBELS était un certain Hans-Otto MEISSNER, le fils de l'ancien secrétaire d'Etat d'Adolf HITLER.

      

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  •  C'était... Mademoiselle de Paris !

    Autre vedette d'antan à avoir complètement disparue à la fin des années quatre-vingt-dix, qui avait pourtant longtemps symbolisé l'image de la femme passionnée et passionnelle, grâce à un titre qui l'avait révélée : Mademoiselle de Paris ! Or, qui se souvient aujourd'hui de Jacqueline FRANCOIS, un temps rivale d'Edith PIAF. Du moins aux Etats-Unis où ses disques s'arrachaient au début des années cinquante. Nous lui avions consacrée un portrait voici quelques années que nous avons ajouté à notre galerie des aînés émérites.

     

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  • Deux ouvrages sur Magda Goebbels sinon rien !    Deux ouvrages sur #magdagoebbels sinon rien !

    La presse a déjà abondamment évoqué la sortie du roman du journaliste Sébastien SPITZER qui n'est pas un illustre inconnu. Et la maison d'édition qui le publie non plus, puisque les éditions de l'Observatoire disposent de moyens considérables pour faire connaître les travaux des auteurs qu'elle publie ! Ce qui pourrait paraître surprenant, c'est que l'on se soit, soudain, décidé à reparler d'un personnage comme celui de la sulfureuse nazie Magda GOEBBELS ! Un être que l'on s'était pourtant longtemps plu à dépeindre sous les traits d'une mère idéale en s'appuyant sur toute une série de clichés dus à l'ingéniosité de son époux volage, le dénommé Joseph GOEBBELS, roi de la propagande nazie sous la dictature du non moins fameux Adolf HITLER ! Ce qui tendrait à prouver que cette propagande-là avait été conçue de main de maître, surtout pour qu'elle résiste aussi longtemps à l'épreuve du temps. Même après avoir contribué à la percée nazie !

    Du moins jusqu'à ce que se manifestent l'intérêt d'un certain nombre de chercheurs décidés à en savoir un peu plus sur une femme qui a tout de même assassiné six de ses sept enfants ! Et à qui on prêterait même la disparition d'un certain Victor ou Haïm ARLOSOROFF. Il est vrai qu'avant guerre, il avait fait office de ministre des Affaires étrangères d'un pays récemment créé : la Palestine. C'était en 1933 et l'assassinat de ce Sioniste avait interpellé ! Avant que, plusieurs années après, on fasse un lien entre lui et celle qu'il avait "tombé" à l'adolescence, une dénommée Magda FRIEDLANDER passée ensuite entre les bras de plusieurs hommes dont l'industriel Günther QUANDT. Avant de répondre sans se faire prier aux avances du nabot nazi, Joseph GOEBBELS, ne s'était-elle pas mis en tête, afin de plaire encore davantage à son "Oncle Adi", d'offrir un juif à ce Führer qu'elle courtisait ? Ah, les hommes ! Magda et les hommes !... "Elle a tout essayé pour tromper cette rengaine : l'alcool, les parties de solitaire, les parties de jambes en l'air avec des gitons, des tapins de l'Alexanderplatz, le sexe et le plaisir rapide, celui qu'on prend sans souci de rendu..." lui fait dire Sébastien SPITZER dans son dernier ouvrage, reconnaissant au passage que la demoiselle FRIEDLANDER avait le sang chaud.

    Des Juifs victimes de l'épouse nazie du propagandiste, il y en aura d'autres dont ce Richard FRIEDLANDER justement évoqué dans ce roman de SPITZER, Ces rêves qu'on piétine (photo en tête d'article) ! Un roman qui s'inspire de faits réels puisque ce Richard, père de Magda GOEBBELS sera déporté à Buchenwald en 1938 et qu'il y mourra sans que sa fille intervienne auprès du propagandiste nazi. Certes, dans cette version romancée de la destinée de Magda, certains points ont été, ou minorés, ou exagérés. Mais qui, aujourd'hui, pourrait prétendre détenir l'exacte vérité à propos de ce qui s'est réellement passé dans ce bunker maudit au Printemps 1945 ! Sûrement pas les historiens auxquels il manque souvent d'avoir pu rencontrer un témoin encore vivant ou en mesure d'articuler une explication cohérente, ce qui n'était visiblement plus le cas des dernières personnes interrogées. Témoins Rochus MISCH, le garde du corps d'Adolf HITLER ou de la centenaire Brunehilde POMSEL, secrétaire de Joseph GOEBBELS. Et encore moins de l'autre centenaire, la dénommée et brillante réalisatrice Léni RIEFENSTAHL dont les variantes avec la vérité en ont lassé quelques-uns.

    Notre ouvrage a, lui aussi et comme pour celui de SPITZER, demandé beaucoup de recherches et son but est surtout d'inciter à réfléchir sur plusieurs faits, dont cet assassinat de six enfants, mis en scène par le couple GOEBBELS pour que l'histoire retienne de ce couple de tortionnaires une image un peu plus acceptable que celle de parents prêts à tout pour satisfaire leur égocentrisme ! Ce qui ne rendait pas service à la postérité car de tels agissements ne sauraient être encouragés !

    Magda, la chienne du Troisième Reich, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-43-0 

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  • Guy Bourguignon, en quelques mots...

    Guy Bourguignon... Un portrait sorti à l'automne 2013Cet homme que l'on a souvent présenté comme un don Juan, un brin séducteur, n'était en rien préparé à jouer un tel rôle chez les COMPAGNONS DE LA CHANSON. Son aspect physique, et le fait qu'il n'ait occupé aucun rôle de leader ou de soliste ne l'auraient pas permis ! Pourtant, de l’avis de l’une des trois femmes qui ont partagé son existence et aussi de quelques autres conquêtes, « Guy disposait de toutes les armes de la séduction : l’intelligence, la taille, l’œil de velours, la culture…» . C’était, dira l’une des trois, « le plus intelligent de tous les Compagnons » et assurément un homme passionné, non dépourvu d’un certain caractère. Ce qu’il prouvera dès le début d’une carrière riche de succès en étant, avec Jean-Louis JAUBERT et Marc HERRAND, l’une des trois têtes pensantes d’un groupe longtemps présent sur l’ensemble des scènes du monde.

    S’il fallait le dépeindre, les qualificatifs ne manqueraient pas. On a évoqué un être cérébral, curieux de tout, vif et adorant communiquer, s’adaptant facilement, un homme plein d’humour et charmeur, capable de multiplier les séductions pour ne pas trop vite devenir le prisonnier d’une seule passion. Mais aussi capable de se montrer capricieux, un tantinet lunatique et caustique. Le portrait d’un graphologue (un document inédit publié ci-contre) de ce silencieux méditatif réalisé au cours de ses premières années de vedettariat met l’accent sur quelqu’un de très réservé qui ne se livrerait pas complètement et qui vivrait dans un monde intérieur auquel personne n’aurait accès. Volontiers secret, l’homme, c’est vrai, parlait peu et très peu des admirateurs des Compagnons ignorent que c’est à Guy BOURGUIGNON que les COMPAGNONS DE LA CHANSON doivent leur nom. Sans d’ailleurs jamais avoir donné le sentiment de longtemps réfléchir avant de proposer ce qui lui paraissait résumer une ligne à laquelle il était fidèle. Un nom qu’il leur avait suggéré en février 1946 lorsque fut créée la Société Coopérative de Production des Compagnons de la Chanson. Parce que d’après lui Compagnons, ils l’étaient déjà tous depuis leur formation chez LIEBARD à Lyon et que Compagnons, tous, ils resteraient !

    Le portrait publié chez DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions à l'automne 2013 préfacé par le comédien Roland GIRAUD qui avoue lui devoir beaucoup n’est pas seulement la biographie que beaucoup s’attendaient à trouver. Ce sont surtout, comme le dit l'auteur, quelques lignes sur un homme méconnu qui aura longtemps cherché adolescent le chemin qui l’a finalement mené où il était arrivé. Avant que la maladie ne le force à quitter, trop tôt, ce monde du spectacle qu’il aimait tant.

    L'ouvrage est toujours disponible.

    Guy Bourguignon, le Compagnon de la Chanson périgourdin, L. PETRIAC, ISBN 978-2-918296-24-9

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  • Magda Goebbels... la fille illégitime de Richard Friedländer !Nous y avions travaillé depuis le début de l'hiver dernier, et vous allez pouvoir découvrir notre portrait de 276 pages sur Magda, la "chienne" du Troisième Reich de Louis PETRIAC. Un ouvrage proposé au prix de 20 €. Si vous n'avez pas encore pris connaissance de nos derniers articles, nous vous suggérons de télécharger le dossier de presse qui a été conçu en vue de la sortie de ce document. Vous trouverez une présentation complète d'un ouvrage abordant maintes faces cachées d'un personnage qui a eu, elle aussi, besoin d'une certaine propagande nazie pour apparaître sous les traits de l'épouse modèle qu'elle n'était vraiment pas ! Ce qui avait valu à plusieurs des chroniqueurs comme Bella FROMM, contrainte de quitter son pays en 1938, d'être rossés par les sbires de Joseph GOEBBELS parce qu'ils l'avaient dépeinte sans oublier de dire qu'elle était née d'un père juif, ce qui n'était guère tolérable au pays nazi !

    Vous avez bien entendu la possibilité de passer à notre atelier d'éditeur de Périgueux près du Palais de Justice pour l'acquérir. Bien que nous soyons ouverts six jours sur sept, mais pour être sûrs de nous trouver sur place, nous vous recommandons néanmoins de vous annoncer en nous téléphonant auparavant ou en nous faisant parvenir un mail. Vous pouvez également vous faire expédier cet ouvrage à votre domicile en nous adressant votre bulletin de commande et un chèque de 25,50 € libellé à l'ordre de Decal'Age Productions. Enfin, pour l'obtenir, vous avez aussi la possibilité de vous adresser à votre libraire ou votre surface de vente habituelle en lui communiquant les références de notre livre et surtout son n° ISBN : 978-2-918296-43-0.

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  •  Jacques Martin, l'aîné émérite...

    Il nous a quittés voici déjà plus de dix ans ! Comme l'avait dit Laurent DELAHOUSSE dans son journal en nous apprenant sa triste disparition, "il s'était invité à la table de millions de Français chaque dimanche au point de faire partie de leur famille"... En regardant l'extrait de la célèbre émission L'Ecole des Fans ci-dessus, on ne peut que reconnaître les qualités d'animateur du monstre télé qu'était Jacques MARTIN ! Toujours à l'aise avec les invités, quels qu'ils soient ! Petits comme grands ! Quant à ses dialogues avec les enfants, il faut avouer qu'ils sont restés comme des moments rares, car l'homme savait leur parler et être apprécié d'eux.

    Nous avions consacré en 2010 à l'époque des knols, un portrait à cet homme qui savait tout faire et que nous avons depuis réussi à rapatrier dans notre galerie des aînés émérites. Nous vous proposons de le retrouver désormais sur la gauche de votre page d'accueil, voire de le découvrir si vous ne l'aviez pas vu dans la galerie des knols qui a été supprimée fin 2011. Des images et des précisions toujours intéressantes qui avaient émaillé la guerre MARTIN/SARKOZY autour de Cécilia, l'ancienne Première Dame de France ! A découvrir en avant-première en cliquant sur le lien suivant !

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  • Magda Goebbels... la fille illégitime du juif Richard Friedländer !

    Magda Goebbels... la fille illégitime de Richard Friedländer !Dépeinte par l'historien et journaliste allemand Guido KNOPP comme une "femme des extrêmes", l'égérie nazie à laquelle nous consacrons un portrait, a toujours été présentée comme la fille d'un entrepreneur, Oskar RITSCHEL féru de bouddhisme et comme une créature fatale qui aurait eu une liaison avec "le neveu du futur Président américain Herbert HOOVER". Un neveu dont on a d'ailleurs jamais retrouvé la trace en admettant qu'il ait pu exister, ce qui semble peu vraisemblable d'après le chargé américain de la bibliothèque du défunt président. Nous le démontrons dans l'ouvrage.

    Or, si RITSCHEL est considéré comme le père de Magda GOEBBELS, il n'a été que son père adoptif et non son réel père biologique. Après que l'historien Oliver HILMES eut livré des preuves au média allemand BILD (2016), il semble bien que ce soit un certain Richard FRIEDLANDER qui ait été le vrai père de l'épouse de Joseph GOEBBELS ! Au moment de la naissance de Magda en novembre 1901, FRIEDLANDER qui n'avait que vingt ans à peine, n'était pas encore suffisamment aisé pour faire vivre "une cocotte" comme Auguste BEHREND et reconnaître sa paternité. Ce qu'il fera un peu plus tard en 1908. Richard a-t-il su qu'il avait mis Auguste enceinte après leur courte liaison de l'hiver 1900-1901 ? Ce n'est pas certain non plus et pour Auguste, qui était alors employée dans un hôtel tenu par la famille RITSCHEL, il valait mieux faire profil bas ! Elle y parviendra en épousant Oskar sans que leur ménage ne survive très longtemps, celui-ci n'ayant pas voulu reconnaître non plus la paternité de la fillette (en tête d'article).

    Après la disparition de Magda GOEBBELS et le meurtre des six enfants en mai 1945 dans le bunker, il est de plus en plus certain qu'on a voulu concevoir un portrait de l'égérie nazie plus flatteur de ce qu'elle était réellement. Comme si on avait voulu bâtir un profil sur mesure, en évitant celui d'un être égocentrique, sans empathie et suffisant par opposition à une femme meurtrie par les trop nombreuses infidélités de son époux libertin. Avec le concours de la mère de l'intéressée, Auguste et d'une certaine Ello QUANDT, la belle-soeur de l'épouse du propagandiste nazi. Ce court portrait réalisé en 1952 chez le Schwäbische Illustrierte, et truffé d'approximations a pesé de tout son poids dans une première biographie livrée par Hans-Otto MEISSNER en 1961. Le mythe avait sans doute trouvé là ses fondations.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-43-0 

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  • La tuerie du bunker... Mais pourquoi Quandt a-t-il laissé faire ?

    La tuerie du bunker... Mais pourquoi Quandt a-t-il laissé faire ?Ce personnage en photo ci-dessus qui avait fourni à l'Allemagne du Kaiser Guillaume de quoi vêtir ses armées durant le premier conflit mondial a légué à ses héritiers ce qui est devenu un véritable empire à la fin du XXème siècle avec, d'abord à la fin des années vingt autour de VARTA, ce qui promettait de devenir après guerre l'une des plus grandes firmes auto en Europe, BMW. Sans que l'on sache que Günther QUANDT, cet homme disparu en 1954, un affairiste dans l'âme, cachait de très lourds secrets et que certains étaient même inavouables. Pour faire toujours plus d'argent et faire tourner ses entreprises, n'avait-il pas fait appel à de la main d'œuvre issue de la déportation tout comme le géant de la chimie IG FARBEN !

    Marié en 1921 à la sulfureuse Magda dont il a divorcé en 1929 après qu'elle eut tenté de le faire chanter en menaçant de divulguer une correspondance secrète entretenue avec des dames "à la cuisse un peu trop légère", on a dit qu'il s'était lui-même rendu dans le bunker de Berlin en avril 1945 pour rendre visite à son ex-épouse avec laquelle il avait cependant conservé d'excellentes relations. Tout autant que celles qu'il entretenait depuis 1931 avec les nazis qui s'étaient décidés à l'honorer pour avoir contribué à l'effort de guerre allemand ! Pour la plupart des historiens en charge de ce dossier, il ne fait plus aucun doute qu'il avait été informé de ce qui s'y préparait et de la tuerie que la "dure et maussade Magda", s'il faut reprendre le qualificatif employé par la journaliste Bella FROMM, avait déjà prévu d'organiser avec son diablotin d'époux au nom d'une ultime propagande destinée à glorifier la fidélité en leur Führer de deux êtres désaxés et à passer pour deux héros. Un scénario qui devait beaucoup plaire à la perverse narcissique qu'était Magda GOEBBELS, toujours avide de reconnaissance. Fut-elle posthume !

    Cet homme qui n'avait, semble-t-il, que des préoccupations très tiroir-caisse, était-il donc incapable d'obéir à la moindre parcelle d'humanité ? C'est la question que l'on peut légitimement se poser puisqu'à sa proposition de sauver les six bambins et de les confier à une institution en Suisse, il s'est finalement rangé aux arguments développés par une femme qui n'avait plus toute sa tête. En admettant qu'elle l'ait eu depuis sa sortie de l'adolescence face à une construction de plus en plus délirante et des travers de perverse narcissique qui l'avaient déjà rendue coupable de quelques autres comportements discutables. Comme ce père qu'elle avait laissé déporter et mourir à Buchenwald !

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-43-0  

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  • A propos des tueurs d'enfants...

    Le comportement des tueurs ou tueuses d’enfant(s) et d’êtres sans défense m’a toujours saisi d’indignation. Et, plus encore, quand les actes de ces monstres sont suivis d’un plaidoyer ou d’une véritable manipulation tendant à trouver à ceux-ci des circonstances atténuantes.

    L’assassinat des six enfants GOEBBELS (photo ci-dessus) dans le bunker assiégé de Berlin le 1er mai 1945, s’il date un peu, n’échappe pas à la règle d’autant que tout porte à croire qu’il y a eu là une tentative ultime de mettre en scène une manipulation destinée à endormir les témoins de cette monstruosité ! Ce qu’évoque également l’historien allemand Guido KNOPP. Pour que l’on exonère les responsabilités d’une mère et qu’elle n’apparaisse pas aux yeux de l’histoire comme le monstre qu’elle a été, car Magda GOEBBELS était une... perverse narcissique et une redoutable simulatrice ! Et donc un être peu attaché aux autres, ce que prouvent son absence d’empathie et son comportement à l’égard de ceux qu’elle prétendait aimer. Si tant est qu’une perverse narcissique puisse aimer quelqu’un d’autre ! Lorsqu'elle laisse déporter et périr à Buchenwald son propre père Richard FRIEDLANDER en 1938 et qu’elle abandonne aux mains de tortionnaires nazis la fille de l’une de ses anciennes camarades de l’école Holzhausen de Goslar qui enceinte, l’avait appelée à l’aide, cela montre le vrai visage de l’intéressée dont l’égocentrisme et le mépris à l’égard des autres, étaient par ailleurs criants.

    Ce sont tous ces éléments qui m’ont décidé, après avoir pris connaissance de l’ensemble des ouvrages qui lui ont été consacrés depuis soixante-dix ans et maints autres documents, à réaliser ce portrait de femme cynique d’une Magda, chienne du Troisième Reich. pour que l’on revienne sur un mythe tendant à trouver des excuses à un être qui n’en n’avait aucune !

    L'ouvrage du début de l'automne 2017 !

    Louis PETRIAC

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  • Pour nous joindre, quelques coordonnées supplémentaires !

    DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions

     

    Vous avez été informés en juillet dernier de nos nouvelles coordonnées et notamment de notre nouveau numéro d'appel : 07 60 15 94 01.

    Pour nous joindre, quelques coordonnées supplémentaires !Notre adresse mail : decal-age.productions@laposte.net restant inchangée, vous pourrez dorénavant y ajouter nos coordonnées tweet : @decalaprod qui vous permettront de nous contacter par tweet, si du moins vous le souhaitez afin de joindre notre nouvelle société d'édition qui reprendra dans un premier temps l'ensemble du catalogue de Louis PETRIAC, créateur du label en 2006.

    à propos de nos coordonnées téléphoniques, et pour avoir une chance de nous joindre plus facilement composez donc de préférence nos nouvelles coordonnées du 07 60 15 94 01 ! 

     

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  • Magda, "la Pompadour de Goebbels"...

     1931... La rencontre des deux futurs époux mystiques 

    Magda, "la Pompadour de Goebbels"...Des commentaires courent, aujourd’hui encore, au sujet de la relation qu’entretenait Magda Goebbels avec Adolf Hitler. Une relation qui avait fait dire au gros Herman Goering qu'il fallait se méfier de "la Pompadour de Goebbels" à laquelle il devait trouver certains talents de manipulatrice. Tout comme l'ancien éleveur de poulets, le monstrueux Heinrich Himmler !  

    Certains s'en sont convaincus, l'éternelle fiancée Eva Braun la première, l'ex Frau Quandt était en effet « la muse d’Hitler ». Ce qui a pu être vrai au cours des premières années du pouvoir nazi et jusqu'en 1935, date d'une première disgrâce. Le trouble ressenti par la fille de Richard Friedlander à chacune des apparitions du dictateur ajoute aux supputations les plus diverses ayant pu circuler à ce sujet. Les descriptions imagées également, puisque l'un des chauffeurs du despote nazi était allé jusqu'à dire de la sulfureuse Magda que l'on pouvait entendre les vibrations de ses ovaires quand l'agité moustachu de Linz apparaissait. Il faut reconnaître que son comportement de femelle prête à tout la trahissait, tout autant que les réactions de ce Führer au regard hypnotique qui la déshabillait ouvertement des yeux quand ils étaient face à face, conférant à cette « groupie » une sorte de pouvoir, celui qu’elle ressentait généralement quand elle se lançait à l’assaut d’un homme et qu’elle avait le sentiment de lui plaire. Surtout quand Magda, épongeant au Berghof le front de son dictateur préféré à l’aide de son mouchoir, s’asseyait l’instant d’après sur les mains de celui-ci, sans prêter attention à l’aspect équivoque d’une telle entreprise. Il était facile de comprendre que, s’il avait pu, et si Eva l’avait permis « Onkel Führer » l’aurait « sautée » séance tenante. Sans que sa « fiancée allemande » ose en prendre ombrage. En admettant néanmoins que cette liaison entre ces deux désaxés ait pu perdurer si elle s’était vraiment vérifiée, car deux pervers narcissiques amoureux l’un de l’autre, cela s’est rarement vu. Parce qu’un pervers narcissique ne peut être amoureux, son seul objectif étant de pénétrer le monde de l’autre afin de tenter de se l’approprier. Comme Magda avait réussi à s’approprier le monde de son Juppche (1) dont ses parents avaient failli faire un ecclésiastique ! Ce qui ne manque pas de sel.

    Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle était ravie d’avoir pu découvrir l’univers de son nouvel amant propagandiste ! Sur l’Obersalzberg, bien avant que le Berghof soit achevé, elle goûtera voluptueusement, selon l’historienne Anna-Maria Sigmund, l’agitation fiévreuse de la période de lutte d’une fin d’année 1932 captivante, aux côtés de celui qu’elle s’était promise de suivre au bout du monde ! Avant de s’embarquer parfois pour Cythère en compagnie de quelqu’un d’autre ! Entre cynisme et jouissance, ne fallait-il pas trouver un compromis ?

    S’il pénétrait parfois sa castratrice entre deux accouplements, dans le but de satisfaire davantage sa libido en se lançant parallèlement à l’assaut d’autres passionarias, Joseph Goebbels savait pertinemment que le dictateur nazi, son maître, était le propriétaire de « sa chose » et qu’elle ne pourrait jamais être totalement à lui ! En admettant qu’il ait mal pris les quelques « gestes affectueux » de sa sirène pour leur chef, il devait donc se faire violence et contenir sa jalousie. Du moins quand cela lui était possible ! Joseph Goebbels, le manipulateur manipulé, confiera à l’automne de l’année 1931 à son fameux journal, commentant une invitation à dîner que Monsieur Wolf, le mâle dominant de la meute nazie, avait transmise à celle que le propagandiste épousera en décembre 1931, quelques semaines plus tard : « Magda, écrira-t-il, est un peu trop amicale avec lui et j’en souffre ». Une marque de dépit loin d’être la seule à être notée. Il est vrai que l’esprit tout entier de cette dernière était prisonnier d’une imagination pour le moins torride ! Et, lorsque Goebbels s’accouplait à elle, il lui arrivait souvent de penser qu’il était seulement l’organe, mais que la force et la volonté se trouvaient ailleurs ! C’est dire !

    (1) diminutif que les parents de Joseph Goebbels avaient donné à leur fils.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

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  • Un médecin témoigne : bienfaits du magnétisme... par Black_Avenger   

    Vous seriez plus de 250 000 à vous rendre chaque jour chez un guérisseur...Cet extrait vidéo va vous permettre de découvrir le Docteur Marianne DENCAUSSE, l'un des seuls médecins à prôner une collaboration avec les magnétiseurs. Parce qu'elle est persuadée que tout est affaire d'énergie et de courage, et que le magnétisme apporte toujours quelque chose. Il est probable à ce propos que, vous aussi, vous vous soyez déjà demandé un jour si un rebouteux ne pourrait pas vous aider à venir à bout du mal dont vous souffrez. Souvent un lumbago ou une sciatique, voire un état de mal-être qui vous contrarirait depuis quelque temps déjà. Il n'y a rien là d'anormal puisque nous étions, voici déjà quelques années, environ 250 000 chaque jour à tenir un pareil discours ! Et il est peu vraisemblable que la courbe se soit depuis inversée tant la discipline donne le sentiment de gagner de nouveaux suffrages. Malgré une méfiance persistante à l'égard d'une discipline qui a longtemps été montrée du doigt.    

    Claude FISCHER, installé depuis une dizaine d'années à Eygurande et Gardedeuil près de Montpon-Ménestérol, en Périgord, a découvert sur le tard qu'il pouvait magnétiser et apaiser certains des maux de ses semblables. Une étape importante de sa vie sur laquelle il est revenu dans un premier ouvrage pour expliquer cette révélation et de quelle façon il a pu mettre en pratique ses aptitudes. "Né un 28 mars en 1946 à Boofzheim, un joli petit village alsacien situé au sud de Strasbourg, rien ne me prédestinait à pouvoir, un jour, apaiser ou soulager, comme je le fais désormais autour de moi depuis déjà quelques années en Dordogne !" Dans un ouvrage que nous avons publié à l'automne 1994, Claude FISCHER revient bien entendu sur cette découverte du magnétisme et sur des aptitudes qui lui ont été révélées par une voyante. Alors qu'il était allé chez elle après la perte d'un être cher pour tenter de croire en un avenir meilleur et à un moment où il traversait une période difficile de son existence. 

    Avec un discours différent de celui que l'on s'attend à trouver chez un magnétiseur et souvent difficile à saisir pour la plupart d'entre nous, cet ancien homme de la terre brûlait de dire dans ce témoignage ce qui l'avait séduit dans sa nouvelle activité. Et surtout quelle avait été son émerveillement en découvrant un monde où l'énergie règne en maître. Sans qu'on en soit conscient et sans, hélas, regrette-t-il, que l'on fasse souvent appel à elle. Car l'énergie serait capable, il le sait aujourd'hui, de soigner ou d'apaiser grâce à des propriétés encore inconnues. Parce qu'on ne sait pas tout et qu'on répugne parfois à se servir des connaissances qui nous ont été transmises par nos aïeux. Vous aussi, procurez-vous ce témoignage humain produit par un humaniste proposé à 15,80 € !

    FABULEUSE ENERGIE, Claude FISCHER, ISBN n° 978-2-918296-3-17 

         

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  • 1ere couv en 75 dpiLes deux auteurs l'évoquent, après la disparition de Jean-Louis JAUBERT, "le boss des Compagnons" on aime toujours à se souvenir de ce qu'a été sa rencontre avec Edith PIAF en mars 1946. Le jeune alsacien avait eu l'occasion de croiser la grande artiste deux années plus tôt à la Comédie Française à Paris lors d'un gala donné au profit des cheminots alors qu'il était encore COMPAGNON DE LA MUSIQUE à Lyon et qu'il faisait ses classes chez l'ancien assistant du maître de chapelle de la cathédrale de Dijon : Louis LIEBARD. Dans leur biographie consacrée au groupe, les deux auteurs évoquent cette soirée de mars 1946 qui aura précipité la destinée de neuf garçons (ils n'étaient encore que huit ce printemps-là) et celui de cette artiste hors du commun qu'était déjà la grande Edith PIAF. Avec elle, ce sera le départ d'une liaison de quelques mois... Jusqu'à ce qu'Edith rencontre Marcel CERDAN au début de l'année 1948 !

    VILLEURBANNE, 20 MARS 1946... Alors qu'il a projeté de passer la soirée avec ses amis Mimi Coutelen et Hubert Lancelot, sans encore se douter que les échanges entre les deux jeunes tourtereaux avaient franchi une étape supplémentaire, Jean-Louis resté seul tombe sur une affiche vantant un spectacle d'Edith. Soucieux d'employer utilement sa soirée, il se rend finalement à son récital. A quoi tient le destin ?... Un contact est pris qu'un dîner prolongera. Jean-Louis et Edith, sans encore s'en rendre compte, se sont plus trouvés que retrouvés. Il sait, lui, que les Compagnons ont besoin de soutien et que cette femme, dont tout le monde s'arrache les faveurs, représenterait pour eux la Providence si elle... Et elle répondra à son attente en leur rendant à son tour (fin mars 1946) une visite de politesse au Casino de Montparnasse où les Compagnons donneront par la suite un spectacle. Les quelques impressions d'Hubert Lancelot en avril 1946 montrent que son admiration à lui pour Edith n'était pas feinte. "Edith était encore jeune, gaie, insouciante, en bonne santé et sans doute la plus heureuse. Toujours prête à s'amuser, riant de tout et de rien comme une petite fille. Elle adorait faire des blagues innocentes mais aussi cruelles, adorant brocarder ses camarades... Son seul souci dans la vie était d'aimer et de chanter l'amour car elle en avait besoin comme on a besoin de boire ou de respirer." Et au moment où elle retrouve Jean-Louis, vient de se terminer sa liaison avec Yves Montand. (EXTRAIT p. 66 et 67).

    Cette biographie publiée en 2011 après une rencontre avec Jean-Michel BOURGUIGNON, l'un des fils de Guy et Annie CALVET, la dernière épouse de Jean-Pierre, proposée à 26 € est toujours en stocks chez nous, disponible. Vous pourrez vous la procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    LES COMPAGNONS DE LA CHANSON, ENTRE MYTHE ET EVIDENCES, 978-2-918296-02-7

    13.01 couleur Piaf et ses protégés 1946

    Sur cette photo prise en 1946, Jean-Louis se trouve juste derrière Edith, à la gauche de Marc HERRAND.

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