Ils n'ont pas cessé de se battre pour que l'on parle d'un personnage auquel ils avaient fini par s'attacher et ils sont donc les premiers ravis des résultats obtenus. Avec des ventes certes modestes, enregistrées à leur premier salon à Saint-Laurent des Hommes où, hélas, d'année en année, l'affluence décline et une souscription plutôt assez bien couverte... l'affaire est effectivement encourageante. Elle l'est d'autant plus que l'Espace Culturel du Centre Leclerc de Trélissac vient de s'intéresser à leur travail et de le proposer et qu'ils participeront au prochain Salon du Livre de LEMPZOURS organisé par Thérèse CHASSAIN avant probablement d'autres prolongations.

Il est vrai que les époux BERNARD, dont il s'agit ici - ils sont chercheurs à la SHAP - n'ont pas lésiné sur les moyens en contactant tous ceux qui avaient montré de l'intérêt pour leur général francophile (contacts par lettre, visites à Saint-Pétersbourg...). Un général qui avait été jusqu'à faire de Jaure, dans la vallée du Vern en Dordogne, son lieu de résidence. Marié à une Française : Marie-Léontine MILLOT, ce qui est sûr c'est qu'un destin semblait l'appeler en France et le Général OBROUTCHEFF n'avait pas manqué de défendre le rapprochement de son pays natal avec son nouveau pays d'adoption. Dans un article publié sur le site de la Revue Historique des Armées (http://rha.revues.org/index5612.html) d'autres rédacteurs évoquent quels étaient les enjeux des alliances conclues en cette fin de XIXème siècle. C'est indéniable, la position de la Russie vis-à-vis de la France avait changé après la guerre franco-prussienne de 1870-1871. Nous étions, sans le savoir encore, à l'aube d'un affrontement durable avec l'Allemagne et les Russes, eux-mêmes, se méfiaient de l'Autriche-Hongrie et, stratégie oblige, il convenait de revoir beaucoup de choses !

L'ouvrage de Michel BERNARD et de son épouse Joëlle LE PONTOIS-BERNARD que nous venons de publier chez DECAL'AGE PRODUCTIONS Editions (photo ci-dessus) évoque, non seulement une personnalité avec ce général, mais aussi quels étaient les enjeux attachés à la signature d'une convention militaire franco-russe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Le_Mouton_de_Boisdeffre). Un acte important dont il convenait de parler. C'est ce qui nous a valu de consacrer à notre tour un portrait sur ce général qui figure en bonne place dans notre galerie des aînés émérites. C'était bien le moins ! 

Certains d'entre vous ont dû trouver dans leur catalogue MARIANNE MELODIE de juillet une publicité COMPAGNONS DE LA CHANSON proposant, outre un CD des succès des Compagnons, notre biographie : Entre mythe et évidences !

Nous avons en effet accepté de répondre à cette proposition d'associer notre ouvrage à une nouvelle compilation de certains des succès du groupe enregistrés sous le label Polydor au début des années soixante (Kalinka, Les comédiens, La mamma, De ville en ville, Mon espagnole... etc). Ce sera pour ceux qui brûlaient de l'envie de se reprocurer un CD des succès qu'ils avaient aimés, et qu'ils détenaient en version 45 tours ou 30 cm, l'occasion de découvrir la biographie que Christian FOUINAT et Louis PETRIAC viennent de publier et qui sera également proposée à Montluçon le 20 août prochain dans le cadre du 6ème Festival de la Chanson Française. Et pour ceux qui ne connaissent pas, une bien jolie offre-découverte !

Si l'on en juge par les premiers résultats obtenus au terme de trois premières semaines de commercialisation de ce pack, cette initiative n'a pas laissé les admirateurs des Compagnons indifférents ! Et nous en sommes, évidemment, les premiers ravis !

Un travail colossal que celui de ces deux chercheurs appartenant à la Société Historique et Archéologique du Périgord (la SHAP) ! Chacun de ceux qui ont été saisis de ce projet ou qui y ont participé en sont conscients ! Le regretté Père Pommarède le premier, qui avait remercié les époux BERNARD pour leur "attachement" à ce général russe au demeurant très francophile qui avait, un temps, acquis le Château de Jaure dans la vallée du Vern. C'était à la fin du XIXème siècle, au moment du rapprochement de la France et de la Russie, à une époque où le pays des tsars ne s'était pas encore léninifié. Une alliance qui, selon le Maréchal FOCH, a contribué à sauver notre pays de l'hégémonie du Prussien GUILLAUME II et de son redoutable chancelier VON BISMARCK. Une page d'histoire que les férus de recherche apprécieront en feuilletant un ouvrage de plus de 250 pages que les époux BERNARD proposent !

Nous l'avions indiqué voici quelques jours, c'est l'artiste de Montpon-Ménestérol Alain BOUGOUIN qui a accepté de prêter son concours, et quel concours, à notre prochain ouvrage : Des gens bien de chez nous du Coulaurois Jean-Claude FAURE.

Sculpteur et poète à ses heures, l'homme (en photo ci-contre) est modeste et, nous ont révélé quelques-uns de ses amis, peu enclin à parler de lui. Et pourtant ses réussites et de nombreux prix obtenus plaideraient pour lui, lui qui se définit surtout comme un "transmetteur d'émotions événementielles. Témoin sa participation à la manifestation Cadre d'Or de Périgueux qui lui a valu en 2009 de remettre au lauréat Alain Bisoire un trophée dont il est le sculpteur.

Sur un des sites Internet sur lesquels apparaissent certaines de ses oeuvres nous vous invitons à découvrir un talent si cela n'est pas déjà fait (http://www.vergersculpteurs.fr/BOUGOUIN-Alain).

Ses réalisations vous donneront une idée de la patte de l'artiste. Avec sa participation à l'ouvrage de Jean-Claude FAURE, Alain BOUGOUIN montre qu'il s'est complètement "fondu" dans les textes de l'auteur pour en tirer des illustrations où l'émotion prend une fois encore toute sa place. 

Un très bel hommage des enseignants de l'Ecole du Toulon qui recevaient voici quelques jours l'ancien maquisard Robert SUDEY dit "La Torpille" dont nous avions publié chez DECAL'AGE PRODUCTIONS les souvenirs de maquis en septembre 2009*

* Ma guerre à moi... Résistant et maquisard en Dordogne, ISBN n° 2-9524117-7-8, prix : 20.00 €.

Dans l'une de ses nouvelles : la fille de joie, Jean-Claude FAURE évoque cette "palette des destinées" qui fait qu'il y a dans l'existence ceux qui dirigent et ceux qui obéissent. Il se demande aussi qui dirige la grande roue de la vie. Et puis, il y a un mystère... On se demanderait presque, à un moment donné, où l'auteur veut nous entraîner ?... Ce serait oublier que cette nouvelle rappelle aussi à l'auteur un émoi, celui de sa jeunesse, lorsqu'il est "tombé en amour" sans doute pour la première fois et qu'il a éprouvé un tendre sentiment pour une des élèves de Madame DURAND, venue comme lui, apprendre à jouer du piano.

L'auteur de Des gens bien de chez nous a un talent manifeste, celui de conter, magnifiquement. Et, nous sommes certains que cet ouvrage qui doit sortit début septembre prochain, plaira à nombre de ceux qui ont apprécié La légende retrouvée.

Le sait-on, le passé de Jaure, une bourgade de la vallée du Vern, est lié à la présence au château de la commune d’un sujet émérite de sa Majesté le Tsar Nicolas II : Nikolaï Nikolaevitch Obroutchev. Marié à une jeune française : Marie-Léontine Millot, cet officier russe a sans aucun doute été un artisan de la convention militaire franco-russe de 1892-1893. Cet aspect de la vie du Chef d’Etat-major de l’armée impériale russe n’a pas manqué d’interpeller Michel Bernard et Joëlle Le Pontois-Bernard qui viennent de lui consacrer une biographie qui verra le jour dans les tout premiers jours du mois d'août prochain.

 Membres de la Société Historique et Archéologique du Périgord, ils y travaillaient depuis déjà quelques années et avaient d'ailleurs publié en 2008 une note à la SHAP sur leurs recherches. Le quotidien SUD-OUEST avait du reste souligné voici quelques années l'importance de leur travail considérable qui aura nécessité une longue patience avant que les des deux auteurs osent franchir le pas et publier leur ouvrage. Cet article signé Alain BERNARD, édité en format PDF, est accessible ici : 

http://ddata.over-blog.com/0/39/80/37/Sud-Ouest-Jaure.pdf 

Pour se donner un peu plus de chances d'arriver à leurs fins, ils viennent de lancer une souscription. Si vous étiez intéressés après coup, vous aurez toujours la possibilité de vous procurer cet ouvrage en éditant ce bon de commande.

Entre mythe et évidences... Pourquoi avoir choisi un tel titre ? La question s'est longtemps posée avant que l'éditeur, redevenu auteur le temps d'une production, ne tranche. Du moins avant que Louis PETRIAC ne prenne connaissance d'une autre publication aux accents biographiques : "Juliette GRECO, l'invention de la femme libre" de Bertrand DICALE, à un moment où il envisageait de livrer son travail sur les COMPAGNONS DE LA CHANSON et de travailler avec un confrère en Belgique, les EDITIONS DE L'ARBRE qui avaient pas mal échangé avec lui autour de ce projet avant d'observer, soudain, un mutisme inexplicable. Alors que sortait chez eux une autre biographie Chanson française consacrée à Hugues AUFRAY. Dans l'esprit de Louis PETRIAC, peu décidé à laisser de côté un travail déjà pas mal avancé, il ne fallait pas renoncer et surtout trouver un titre qui sorte du lot pour évoquer, non seulement une longue carrière artistique d'une quarantaine d'années, mais aussi pour répondre à certaines questions que l'on continuait à se poser à propos de ceux qui disparaissent du jour au lendemain de l'univers médiatique et du monde du spectacle. Un monde de chimères ingrat à plus d'un titre.

Inutile de souligner que le choix n'a pas été très simple et qu'il a valu quelques échanges parfois assez vifs avec certains supporteurs des Compagnons qui avaient peur que le titre soit perçu comme celui d'une dissertation sociologique et qu'elle lasse les fâchés avec le texte. Pire, l'un d'entre eux craignait même que le public Compagnons, qu'il qualifiait de moins cultivé que celui de Brassens et Ferré (ce qui aurait plu à Hubert LANCELOT qui avait eu à batailler contre un type analogue de constats évoquant sa phobie de ce qu'il nommait du nom de "parisian-nisme") n'adhère pas à un titre qu'il trouvait pour sa part "trop pompeux". Nous étions pourtant chez DECAL'AGE PRODUCTIONS encore à l'aube de son activité d'éditeur convaincus qu'il fallait un titre qui n'était pas nécessairement celui d'une biographie repassant les temps forts d'une réussite, mais un titre qui lancerait également un débat. Le fameux buzz... Après tant d'années de réussite, comment en effet pouvait-on expliquer que les COMPAGNONS DE LA CHANSON aient ainsi disparu ? Que leur seul nom provoque de tels mutismes ! Surtout après un tel début de parcours aux accents mythiques ? Il ne s'agissait donc en aucun cas de disserter ou plus trivialement de pét... plus haut que... mais, très simplement, d'analyser. En étant convaincu que chacun comprendrait.

Je viens de recevoir l'ouvrage enchanteur des Compagnons, nous a écrit l'un d'entre eux qui demeure en Aquitaine. Un court message qui ne nous donne pas le sentiment que les admirateurs des Compagnons vont se "barber" en lisant Entre mythe et évidences !  Mes félicitations et mes remerciements pour le bonheur qu'il procure à revivre leur épopée, ajoute-t-il. A 83 ans, j'ai forcément mené une existence en lointain parallèle avec cette merveilleuse aventure. Quelle joie et quel privilège d'avoir pu les applaudir sur scène à l'Olympia !La lecture me fait revivre avec émotion les moments d'émerveillement qu'ils nous ont donnés ! Encore merci et avec une amitié sincère dans notre passion commune !

A lire certains autres de ces premiers commentaires qui nous sont parvenus à la fin du Printemps 2011, il n'est pas certain que ce public Compagnons n'aient relevé que des accents sociologiques au débat lancé par les auteurs de Entre mythe et évidences. Et tant mieux ! 

Alors qu'approchent nos JOURNEES PORTES OUVERTES des 29 et 30 avril, le quotidien Sud-Ouest évoque dans son édition d'aujourd'hui 20 avril la personnalité du Périgourdin Guy BOURGUIGNON auquel nous avions consacré un entrefilet voici quelques jours. Est-ce le premier pas d'une réhabilitation pour un groupe condamné dès la sortie d'une précédente initiative à une omerta médiatique ? Il est bien entendu trop tôt pour le dire car malgré l'inauguration d'une Place des Compagnons de la Chanson en octobre 2002 à Lyon et un numéro de Sacrée Soirée en 1989 avec Jean-Pierre Foucault et la présence remarquée du "Compagnon préféré d'Edith Piaf : Jean-Louis JAUBERT", ces soutiens à l'une des réussites marquantes de la Chanson française sont restés rares, c'est le moins que l'on puisse dire !

Dans notre biographie, que l'on peut commencer à se procurer en passant à notre atelier de la Place du Général Leclerc à Périgueux ou chez les libraires périgourdins, les auteurs Christian FOUINAT et Louis PETRIAC reviennent bien entendu sur cette discrétion médiatique touchant les COMPAGNONS DE LA CHANSON. Ce qui est aussi pour le moins paradoxal dans la mesure où leur ancien soliste, le toujours jeune Fred MELLA (à voir dans notre galerie des aînés à gauche) poursuivait toujours sa carrière en 2011 devant des salles pleines. Un bien joli pied de nez aux détracteurs des Compagnons auxquels il rend d'ailleurs hommage durant ces spectacles comme il rend hommage à ses amis enchanteurs parmi lesquels le regretté Georges BRASSENS !

Les journées Portes Ouvertes que nous organisons depuis l'an passé sont importantes pour DECAL'AGE PRODUCTIONS EDITIONS car très peu savent en Périgord quel est notre rôle dans l'édition. Et c'est vrai qu'on a une idée un peu confuse entre le rôle d'un éditeur publiant à compte d'auteur et l'éditeur acceptant de publier en assumant l'intégralité des charges liées au projet...

Certes, nous n'en sommes encore qu'à nos débuts et notre décision de publier, tant à compte d'éditeur qu'à compte d'auteur, n'a été prise qu'après mûre réflexion. Car avant de publier un premier ouvrage grand public évoquant une grande réussite de la Chanson française avec les COMPAGNONS DE LA CHANSON (fin 2007), nous nous étions demandés s'il y avait en Périgord une place à occuper dans l'édition de proximité. Depuis, ont été publiés plusieurs ouvrages d'auteurs locaux avec un ouvrage symbole consacré aux maquisards en Dordogne dont on a parlé : Ma guerre à moi... Résistant et maquisard en Dordogne proposé par le Trélissacois Robert SUDEY. Au titre du devoir de mémoire ! Sans oublier deux autres ouvrages dont le recueil de poésie de Marie-France MESPOULEDE L'Absence et les Recettes du bonheur illustrées de Muriel AUBERT-BUCCELLARI et Anne ROTUNNO. Des ouvrages qui nous ont confortés dans notre décision de donner une suite et de développer notre nouvelle activité d'éditeur. Et cela malgré bien des réserves et très peu d'encouragements (refus d'ARPEL de nous référencer, silence média...) ! Un ouvrage qui aura contribué à démultiplier d'autant notre motivation et notre enthousiasme !

Cela étant, il est important de dire ici que nous apportons le même soin à publier les travaux qui nous sont confiés. Aussi bien à compte d'auteur qu'à compte d'éditeur. Parfois même en imposant une vision qui échappe à certains auteurs qui ont du mal à accepter que l'on puisse corriger une maladresse ou apporter une idée à laquelle ils n'avaient pas songé ! Ce qui nous a valu de renoncer à publier faute de pouvoir trouver le terrain d'entente indispensable entre auteur et éditeur et donc, aussitôt, de continuer à supporter et à promouvoir des publications auxquelles nous étions pourtant attachés.

Les vendredi 29 et samedi 30 avril prochain auront donc lieu après juillet 2010 (photo ci-dessus) nos secondes journées Portes Ouvertes, avec une liste d'animations qui commence à s'étoffer !

Aux côtés d'invités comme Annie CALVET, la dernière épouse de l'un des compositeurs émérites des Compagnons, d'amis et de fournisseurs, nos auteurs seront cette année quelques-uns à y participer puisque, si la présence des auteurs locaux sur deux jours est attendue avec Marie-Françoise MESPOULEDE, Muriel AUBERT-BUCCELLARI, Robert SUDEY, Claude FISCHER et Jean-Claude ALLARD, nos auteurs Chanson française feront également partie de la fête avec Christian FOUINAT et, sous réserve encore, celle de l'Isérois Jean-Jacques BLANC. Une participation et des animations sur lesquelles nous reviendrons bien entendu dans les prochains jours !

Au téléphone, il s'impatienterait presque Paul BUISSONNEAU !... C'est vrai qu'il s'est écoulé quatre longs mois depuis nos derniers entretiens avec lui et que, depuis le début de l'automne dernier, d'autres détails et d'autres anecdotes lui sont revenus à l'esprit. Il y aurait tant de choses à dire sur ces années des débuts... Cela paraîtrait même normal, surtout après une telle épopée au sein des COMPAGNONS DE LA CHANSON sur laquelle sont revenus Christian FOUINAT et Louis PETRIAC pour les besoins d'une biographie*.

Car l'homme en a vu depuis ses débuts aux côtés d'Edith PIAF, ce film 9 garçons... un cœur dont il reste encore quelques extraits (voir ci-dessous) et la tournée américaine de l'hiver 1947-48. Voire ce surprenant prolongement de carrière au Québec où il fondera dans les années soixante le Théâtre de Quat'Sous avec son ami et complice Claude LEVEILLEE. Car ce que beaucoup ignorent c'est que l'ancien titi Paul BUISSONNEAU est un des hommes qui a le plus influencé la scène artistique au Québec grâce à son talent.

Ses cinq années passées au sein des COMPAGNONS DE LA CHANSON ont, il est vrai, constitué le terreau, ce qui lui aura permis de croire davantage en des atouts auxquels il n'avait jamais osé croire ! Alors qu'il était sur le point de s'engager dans une carrière de régisseur de théâtre au début de l'année 1946, son ami René LAMOUREUX, l'ancien Compagnon de la Musique, le décidera en effet à aller voir du côté des Compagnons. A huit, en juillet 1946, Jean-Louis JAUBERT et Marc HERRAND cherchent vainement un ténor qui leur permettrait de rester à neuf, un chiffre auquel ils sont attachés depuis qu'ils ont choisi d'envoyer promener le magicien lyonnais Louis LIEBARD, leur premier formateur. Parce qu’au plan décisionnel, il est plus facile d’opter ou de refuser un concept à neuf et qu’au plan choral, trois barytons, trois basses et trois ténors, c’est tout de même quelque chose　! Et puis, en ce début d’année 1946, se profile un titre dont on arrête plus de parler　: Les trois cloches　! Une chanson qui fera le tour du monde et qui, plus de soixante ans plus tard, est encore interprétée par des jeunes vedettes comme la pétulante Australienne Tina Arena　!

* Les COMPAGNONS DE LA CHANSON : entre mythe et évidences à paraître prochainement.