• Mai 1988, tombé dans un précipice sans fond, notre auteur Louis PETRIAC n'aurait jamais imaginé qu'il allait rencontrer dans l'endroit où il venait de pénétrer en ambulance l'une de ces structures où régnait encore à la fin du siècle dernier un foutoir innommable. Avec l'aide  quelques complices et de certains soignants émus par ce qu'il traversait, il en tirera un ouvrage, le premier qu'il concevra consacré à cette Mise entre parenthèses.

    (Extraits des textes) Le sommeil, enfin un sommeil réparateur !... Après la journée éprouvante que je venais de vivre, la longue attente qui avait précédé mon arrivée dans ce lieu étrange, je dormis comme jamais je n'avais dormi depuis des années, trop souvent victime d'impératifs que je ne supportais plus et de faux challenges prétexte, propres à doper un être qui, visiblement, n'était pas du tout fait pour relever des paris insensés ni réussir au prix de je ne sais quels sacrifices afin d'obtenir, non seulement la grâce et la reconnaissance des autres, mais aussi celle des siens. Ce furent les premiers rayons de soleil qui me tirèrent de ma torpeur... Il devait déjà être sûrement près de huit heures et j'avais l'impression d'être au bout du monde.

    « Debout, nous allons vous faire cinq prélèvements sanguins ! Mettez votre robe de chambre et suivez-nous ! »

    Entouré de deux assistantes, l'infirmier de service, un mulâtre, l'air plus maton que mon premier interlocuteur de la veille, me demanda de le suivre d'une voix de stentor et d'un ton autoritaire auquel personne n'aurait songé à s'opposer. Depuis la piqûre et les péripéties de la veille ainsi que le régime jockey qui les avait accompagnés, j'avais abandonné tout sentiment de résistance, docile comme un vieux chien aux portes de la nuit que l'on s'apprêterait à euthanasier pour qu'il ne souffre plus.
     

    Cet extrait de "Voyage au pays de la Déraison" de Louis PETRIAC (ISBN 978-2-952411-70-0) donne une idée de l'un des tout premiers ouvrages qui vient d'être publié chez DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions. Parce que l'art thérapie peut fonctionner et donner l'envie de libérer le poids insupportable d'un vécu traumatisant. Vous pourrez vous procurer cet ouvrage en vous rendant dans notre boutique en ligne.

    VOYAGE AU PAYS DE LA DERAISON, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-952411-7-07

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  • Richard Friedländer, le père juiif de Magda et la véritéRichard Friedländer, le père juiif de Magda et la vérité

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...

    En 2010, on était encore loin d’être arrivés à réellement définir l'homme qu'avait été Richard FRIEDLANDER (photo de droite). Le média allemand BILD n'ayant pas encore fait paraître ce fameux document sur lequel avait travaillé l'historien et journaliste Oliver HILMES. Peut-être aurait-il fallu pour faire avancer les recherches entreprises sonder les milieux belges où l'homme devait avoir laissé une trace dans le domaine du cuir en admettant que l'on ait eu envie de chercher ?

    Ce qui n'apparaît pas évident dans le dossier des GOEBBELS et les différents portraits qui ont été réalisés, parfois même un peu trop vite. Evoquant l’influence des QUANDT au moment du mariage de Magda RITSCHEL/FRIEDLANDER avec l’industriel en 1920, on est rapidement convaincu qu'il y a eu un tour de passe-passe autour de la personnalité de Richard FRIEDLANDERn ce Juif soudain devenu un peu trop dérangeant pour la chaude demoiselle. Ce qui est intéressant et qui aura guidé notre auteur Louis PETRIAC lors de la sortie de ce portrait (ci-contre) est cet ouvrage dû à Karine TUIL (1) publié voici quelques années qui donne un éclairage sur les relations qu’auraient pu avoir Auguste BEHREND, la petite bonne des RITSCHEL et FRIEDLANDER.

    A propos de Richard Friedländer, le père juif de Magda Goebbels On y parle parfois de ce père que Günther QUANDT avait évincé, refusant en 1920 d'épouser la fille d’un Juif et aussi de ce FRIEDLANDER, un homme à propos duquel on n’avait rien trouvé qui aurait permis de mieux connaître l'individu. Dans ce "Six mois, six jours" de Karine TUIL ces affirmations en précèdent d’autres où il serait finalement question d’une première rencontre entre Auguste BEHREND et Richard FRIEDLANDER qui n’aurait eu lieu… qu’en 1904 ! Soit plus de deux ans après la naissance de l'égérie nazie. Car, par le truchement de l’auteur, si ce nouvel ouvrage romancé parle des QUANDT, on laisse supposer que Richard FRIEDLANDER avait vingt-trois ans au moment de sa rencontre avec Auguste. S’il fallait prendre tous ces éléments en considération, il venait d'être nommé Chef de rang dans un restaurant du centre ville de Berlin où celle qui était devenue Madame RITSCHEL peu après la naissance de Magda, avait déjà ses habitudes, grâce sans doute aux moyens qu'elle avait tirés de son union avec Oskar RITSCHEL. Cette belle femme blonde à la peau laiteuse qui n'apparaît pourtant pas en blonde sur la photo la plus connue d'elle à gauche en tête d'article, qui était la mère de "la chienne du Troisième Reich" affichait une sensualité tapageuse, une brutalité et un désir de domination ainsi qu’un goût maladif pour le pouvoir. Il n’y avait, précise encore Karine TUIL, que dans un lit que Richard FRIEDLANDER et Auguste BEHREND parvenaient à se retrouver. Magda avait donc de qui tenir, mais reconnaissons que les chiens font rarement des chats. Ces traits de caractère et de maintien semblaient avoir séduit un homme qui, dans d’autres ouvrages, a pourtant été présenté comme un négociant dans le domaine du cuir.

    Alors, qui a raison ? Karine TUIL et son Chef de rang ou ceux qui ont parlé de tanneur comme l'auteur russe Léonid GUIRCHOVITCH dans "Meurtre sur la plage" publié chez Verdier. Pour ce dernier, l’heureuse idée de commencer un journal intime, la future Magda GOEBBELS la devrait en effet à un cadeau d’anniversaire de Richard FRIEDLANDER pour ses douze ans (nov. 1913), un homme qui aurait tenu après coup, toujours d’après l’auteur russe, un commerce d’articles de cuir situé dans une artère berlinoise du nom de Leipziger Straße. Probablement peu de temps après le retour d’Auguste et de Richard à Berlin et l’entrée en guerre des Allemands en Belgique, cause de leur départ de Bruxelles par des moyens extrêmes. Un journal de bord de Magda où celle-ci livre un autre secret : celui de son goût pour un poète juif du nom de HEINE et par hommage à cet auteur une volonté de prénommer tous ses enfants à venir de la lettre H. On est donc loin là aussi de l'image répandue de ce H censée être l'illustration de l'adoration par la chienne du Troisième Reich de cet Adolf HITLER rencontre en septembre 1931. Ce que confirme la naissance du premier fils de Magda baptisé du prénom de Harald puisqu'il est né en 1920 !

    Ce sont toutes ces approximations, tous ces mensonges d’Auguste aussi et le fait qu’Oskar RITSCHEL ait refusé de reconnaître à sa naissance la petite Magda, ainsi que l’aveu tardif de FRIEDLANDER quant à sa paternité à l’appui d’une carte de résident retrouvée dernièrement dans des archives et publiée par le média Bild Zeitung en 2016 qui amènent à un tout autre scenario que celui qui prévaut encore dans de nombreux commentaires et avis des historiens. Un scénario qui sert énormément l'idéologie nazie et une propagande toujours aussi vivace. Car il est plus que probable que la première rencontre d’Auguste BEHREND et de Richard FRIEDLANDER ait eu lieu durant l’hiver 1900-1901 et que c'est d’une première liaison, qu'est née Magda. Difficile d'envisager que le jeune négociant ait donc attendu d’avoir vingt-trois ans pour connaître sa première femme, comme Karine TUIL le révèle dans ce qui reste tout de même un roman avec des éléments dont la véracité est excusable ! Il est tout aussi probable qu’Auguste, se sachant enceinte, n’ait pas voulu reconnaître elle-même sa faute et qu’elle ait refusé d’en informer un FRIEDLANDER qui donne le sentiment de s’être installé dès 1902 en Belgique. Un endroit où Auguste viendra le rejoindre en 1904, juste après avoir divorcé de RITSCHEL qu’elle avait épousé peu de temps après la venue au monde de Magda.

    Notre auteur a beaucoup travaillé et recherché ce qui pouvait aider à comprendre qui était réellement cette égérie nazie qui avait choisi en fin de vie de cracher sur les Juifs. Un ouvrage que vous pourrez vous procurer en visitant notre boutique en ligne.

    (1) Six mois, six jours

     MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

     

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  • Magda, la bouddhiste d'opérette...

    Magda, la bouddhiste d'opérette...Ces images en tête d'article font toujours autant frémir plus de soixante-quinze ans après les faits. Peut-être aussi parce tuer des enfants est particulièrement ignoble !  Ceux qui s'intéressent au bouddhisme ont dû le remarquer, Magda, l'égérie nazie, la coupable, a tenté d'excuser son geste de meurtrière dans le bunker en parlant de possible réincarnation pour les petits êtres auxquels elle avait décidé d'ôter la vie. On sait aujourd'hui que Oskar RITSCHEL l'un de ses deux pères et cocu de service, dont les inclinations bouddhistes l'avaient malgré tout amené à épouser la petite bonne qui servait chez eux, avait transmis à sa belle-fille un enseignement auquel la gamine était sensible. Du moins l'a-t-on dit. Mais, bien que les recherches de cette dernière se soient longtemps poursuivies, Magda GOEBBELS ne donne pas le sentiment d'en avoir saisi toutes les subtilités. C'est du moins l'avis de la biographe Anja KLABUNDE. Il semble même qu'elle en était consciente puisqu'elle avait dû intervenir auprès de la chroniqueuse mondaine Bella FROMM pour que celle-ci n'évoque pas dans un article ce lien avec le bouddhisme.

    Magda, la chienne du Troisième Reich... découvrez un extrait des textes !Cela étant, en admettant que les enfants GOEBBELS aient pu se réincarner avec un karma positif, il est, en revanche, impossible que leur mère ait pu parvenir, elle, surtout après un tel acte, à se réincarner dans d'excellentes conditions. Au titre de l'un de ces effets boomerang que l'on prête au bouddhisme, il serait même amusant d'imaginer, comme je viens de le confier à un média, qu'elle ait pu le faire sous les traits d'une... Palestinienne. Afin de purger un passé qui est loin d'être exemplaire. Et, pourquoi pas, sous les traits de quelqu'un qui vivrait aujourd'hui à Jérusalem, ce qui ne manquerait pas de sel. Surtout à un tel endroit qui se trouve convoité par les Juifs, des Juifs auxquels elle avait mené la vie dure sur la fin de son existence afin de favoriser son ascension nazie ! A coup sûr une hypothèse à creuser auprès des spécialistes et des passionnés s'intéressant à la réincarnation !

    Notre ouvrage qui se veut être un sujet de réflexion est toujours disponible et vous pouvez actuellement vous le procurer même sur notre boutique en ligne

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, 978-2-918296-43-0

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  • Savignac-les-Eglises... Suivons Jean-Loup d'Hondt pour une promenade

    Savignac-les-Eglises... Suivons Jean-Loup d'Hondt pour une promenadeJean-Loup d'HONDT (ci-contre) avait aidé Louis PETRIAC à préparer son ouvrage sur le Compagnon de la Chanson Guy BOURGUIGNON qu'il avait côtoyé en voisin puisqu'il lui arrivait en Périgord de croiser la famille BOURGUIGNON. Fin 2019, juste avant la catastrophe sanitaire et la poursuite de la catastrophe MACRON, nous avions publié son ouvrage hommage à sa petite complice à quatre pattes La Minette, le chaton abandonné de Savignac.

    Jean-Loup d'HONDT qui vient de cesser ses activités de chercheur a voulu à près de quatre-vingt ans raconter ce qu'avait été son parcours de zoologiste depuis les années soixante. Deux tomes qui sont en cours de finalisation et qui devraient être publiés très prochainement. Il est déjà l'auteur de bien d'autres ouvrages dont celui qui rend hommage à sa bourgade d'adoption de Savignac-les-Eglises. C'est cet ouvrage que nous venons de mettre en ligne dans notre boutique ce même jour ! Si cela vous dit, voici le lien !

    ESPACES, ERRANCES, IMPRESSIONS et FRAGRANCES AUTOUR DE SAVIGNAC-LES-EGL... Jean-Loup d'HONDT, ISBN n° 978-2-954453-43-9 

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  •        Ecole Marc 1933        1933, Strasbourg... Marc HERRAND (2è à gauche dans la rangée du haut) n'imagine pas encore ce qui l'attend  

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    En juin 2014, dans l'un de ses ouvrages*, Louis PETRIAC rendait hommage à l'Alsacien Marc HERRAND qui, aux côtés de Jean-Louis JAUBERT et du Périgourdin Guy BOURGUIGNON avait créé en février 1946 les COMPAGNONS DE LA CHANSON, ce que beaucoup de ceux qui ont adoré ce groupe continuent d'ignorer. Tout autant qu'ils ignorent que c'est grâce à lui si, en 1946, le groupe a pu afficher à son palmarès ces Trois cloches aussitôt promises à un succès international qui ne se démentira jamais. Louis PETRIAC l'avait rencontré chez lui, à Strasbourg, à la fin avril 2014, voici déjà neuf ans afin de finaliser un ouvrage qui révèle beaucoup d'aspects que l'on ignore encore !

    Car si Marc avait raconté dans une biographie écrite avec son épouse Yvette GIRAUD en 2005 ce qu'il conservait de ses nombreux périples en extrême orient et au Japon, il avait, c'est vrai, très peu abordé les souvenirs de sa période de jeune Compagnon et ce qui l'avait amené à choisir, en mars 1952, une carrière différente de celle qu'il avait menée depuis 1946. Dans cet ouvrage, il évoque, en se livrant complètement, quels étaient ses objectifs de créateur et ce qu'il attendait de son investissement au sein d'un groupe promis à tous les succès après une première tournée d'octobre 1947 au Play House Theater de New York.

    Fils d'un employé de banque qu'il ne comprenait pas toujours et d'une mère qu'il perdra trop vite, rien ne laissait imaginer que Marc HERRAND pourrait, un jour, choisir de rompre l'adolescence qu'il vivait, pour partir découvrir, hors de chez lui, d'autres horizons. Il faut reconnaître qu'à l'été 1940, l'Alsace était devenue invivable. Devenue partie intégrale du Reich allemand, il n'y était plus question d'histoire de France ni d'y parler une autre langue que l'allemand. Ce qui impliquera que tous les indésirables, les Juifs et les francophiles, soient expulsés dès l'arrivée des nazis. Avec ce que sous-tendait pour les Alsaciens l'obligation de germaniser leur nom de famille, un nom des rues traduit en allemand, l'incendie d'une synagogue et, parfois, un enrôlement réalisé de force dans les Jeunesses Hitlériennes, voire une élite sociale décimée. Il y avait donc là un véritable terreau propre à servir une révolte qui en animait déjà quelques-uns. Surtout après qu'on ait contraint les Strasbourgeois à brûler sur leur place Kléber devenue une place Karl Roos tous les livres écrits en français et à s'enrôler sous d'autres bannières que les leurs. Voire à ne plus oser porter le traditionnel béret auquel les Allemands étaient hostiles et qu'ils foulaient même au pied, lorsqu'ils croisaient des individus qui en étaient affublés. Marc le reconnaît, tout cela a favorisé un sentiment de patriotisme viscéral et l'a conduit à s'opposer au diktat des nouveaux maîtres de l'Alsace, puis à projeter de fuir une région où l'on s'évertuait à contrarier toute expression d'origine alsacienne. Et tout cela a joué un rôle quand, un peu plus tard, il s'est agi de trouver un nom d'artiste propre à gommer de son patronyme toute influence germanique en choisissant de s'appeler HERRAND.

    Avec un portrait d'artiste qui permettra de mieux comprendre quel était l'univers d'un jeune créateur au lendemain de la guerre, l'auteur a aussi voulu revenir sur une carrière et sur les rencontres d'un homme qui aura marqué l'après-guerre par un talent qui faisait de lui l'un des meilleurs arrangeurs vocaux. Un ancien COMPAGNON DE LA CHANSON qui fête aujourd'hui ses... 98 ans et auquel nous souhaitons un très bon anniversaire ! Cet ouvrage conçu en petit nombre, d'environ 220 pages, abondamment illustré, vient d'être versé en début d'année sur notre boutique en ligne. Vous pourrez donc vous le procurer plus facilement de chez vous !

    Marc HERRAND, un inoubliable grand Monsieur..., Louis PETRIAC, 978-2-918296-29-4

     

     

     

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  • Voici 73 ans, le Troisième Reich capitulait...

    Voici 73 ans, le Troisième Reich capitulait...8 mai 1945... Voici 78 ans, le monde entier apprenait la fin de la plupart des hostilités et surtout la capitulation allemande signée par le Maréchal KEITEL dans une villa soviétique de la banlieue de Berlin. Un KEITEL qui, face à la délégation française, aura ce commentaire acide : "Quoi, les Français aussi !", tel que l'a rapporté le Général de GAULLE dans ses mémoires, tant le vieux soldat nazi semblait surpris d'avoir à siéger face à une représentation française et pas seulement face aux dignitaires américains et soviétiques. La veille, 7 mai, en France, le Général EISENHOWER avait déjà reçu des mains du Général JODL (photo ci-dessus) dans la salle de classe d'un collège de Reims un acte de capitulation qui ne sera jamais officialisé, STALINE s'y étant opposé faute d'y avoir été associé (extrait vidéo ci-dessous). Les responsables nazis, KEITEL comme JODL, seront jugés par le tribunal de Nuremberg et condamnés à être pendus le 16 octobre 1946.

    L'histoire choisira donc de faire du 8 mai 1945 la date officielle de cette capitulation en deux étapes entérinant la fin d'un conflit qui aura été la cause de la mort de quelques soixante millions d'êtres ! Une date historique que l'on continue de commémorer !

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  •   Les nazis sont de retour, attention !

    Au risque de passer pour des complotistes, nous attirons depuis plusieurs mois votre attention sur le fait que les nazis sont aujourd'hui de retour et que nous allions tous en payer le prix ! Bien avant les derniers événements liés aux retraites et à quelques autres mesures, l'anthropologue Jean-Dominique MICHEL tenait en octobre dernier une conférence où, une fois de plus et avec des explications claires, il nous avait mis en garde sur ce qui à court terme allait nous tomber dessus et notamment sur ce projet de crédit social et d'adoption d'une monnaie numérique impliquant la disparition progressive des espèces et autres billets de banque. Pour que nous soyons davantage contrôlés dans l'ensemble de nos mouvements par les représentants d'une secte du nom de WORLD ECONOMIC FORUM qui, aussi incroyable que cela puisse paraître, n'ont jamais été élus.

    Mais, écoutez-le évoquer le danger que représentent des gens comme MACRON, SCHWAB, ALEXANDRE et consorts et ce qui risque de se passer si nous ne faisons rien car le plan des nazis a toujours été de tout contrôler et de dominer la terre entière en excluant comme l'a dit le docteur ALEXANDRE, les inutiles...

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    1ere couv en 75 dpi

    C'était voici déjà quelque temps et sous un premier label... Grâce à l'aide de Pierre MICHAUD et Michel YVANNE, deux admirateurs d'un groupe mythique imposé par la grande PIAF, celui des COMPAGNONS DE LA CHANSON, un clip vidéo du reportage que FRANCE 3 PERIGORDS avait pu être réalisé consacré à la sortie en Périgord de l'ouvrage : Entre mythe et évidences, une première biographie conçue par le premier label de notre petite maison d'édition. Avec des extraits du lancement de l'ouvrage filmé chez nous à Périgueux et l'interview de l'un des fils de Guy BOURGUIGNON : Jean-Michel venu assister au cocktail de présentation avec quelques amis et quelques diapositives, en présence aussi de l'épouse du regretté Jean-Pierre CALVET, Annie et de l'une des filles d'Yvette GIRAUD. Un reportage qui aura considérablement aidé à la diffusion de cette biographie, notamment chez Marianne-Mélodie à partir des jours suivants cette présentation puisque le diffuseur réalisera une remastérisation des succès Polydor du groupe proposée dans un coffret avec notre biographie.

    Conçue à la suite d'une idée développée en octobre 2008 durant le Festival de la Chanson vivante à Annecy, et proposée par les deux auteurs à Mimi LANCELOT, l'épouse du Compagnon Hubert déjà auteur vingt-deux ans plus tôt d'un ouvrage évoquant les premières années du groupe, ce document revient sur l'ensemble de la carrière des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Quelques notes prises par Edith PIAF entre 1946 et 1949 donnent, il est vrai, un éclairage particulier sur leurs débuts et le profil de chacun d'entre eux. Des précisions qui ont été apportées par un des admirateurs rochelais de la grande Dame : Jean-Marie GAILLARD. Les auteurs ont également cherché à compléter ce que l'on savait déjà de la disparition tragique de Guy BOURGUIGNON en déc. 1969 en interrogeant Jean-Michel BOURGUIGNON. Abondamment illustré, des photos donnent par ailleurs une idée plus exacte de la stature de l'ensemble. Témoin, celle prise ci-dessous à Tel-Aviv en Israël où on en aperçoit quatre, grimés en seigneurs du désert, que vous aurez peut-être un peu de mal à identifier.   

    071) Compagnons déguisés Tel Aviv

    L'ouvrage aborde également le défaut de stratégie d'image qui a été préjudiciable au groupe à partir de 1990. Faute d'avoir pu trouver, après la cessation de fonctions de Jean-Louis JAUBERT, un relais utile permettant de retrouver plus facilement les COMPAGNONS sur le petit écran, il y a visiblement eu là un couac. Comme l'avait confirmé aux auteurs, l'ancienne secrétaire de l'organisateur de spectacles Christian JUIN* : Anne-Marie VELINES, les COMPAGNONS n'ont jamais eu recours, durant leur longue carrière, au moindre impresario. Et Jean-Louis JAUBERT, en qualité de boss, ne déléguait à personne le soin de gérer le relationnel du groupe. C'est lui qui était en charge de la promotion de l'ensemble, de la négociation des contrats et donc, de tout ce qui le concernait. Devenu chargé de mission à la Fédération Française de Football en 1985, il n'est donc pas étonnant que l'image et la préservation de la mémoire du groupe aient pâti de cette cessation de fonctions de Jean-Louis. D'autant que les médias ne s'étaient pas bousculé lors de la sortie de Nous les Compagnons de la Chanson d'Hubert LANCELOT et qu'il y aurait eu fort à faire pour entretenir cette mémoire ! En intervenant régulièrement auprès des sociétés de production pour que l'on continue à évoquer une carrière exemplaire. Pourtant des occasions auraient pu être exploitées, qui n'ont pas manqué depuis 1985 ! Comme la pose à Lyon en 1990 d'une plaque sur le portail de la maison occupée par les LIEBARD et les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE, rue de Champvert. Et, surtout, lors de l'inauguration de la place des Compagnons de la Chanson dans le 5ème arrondissement à Lyon en octobre 2002 ! Quel dommage !

    Cette biographie est toujours commercialisée et vous avez donc toujours la possibilité de vous la procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.   

    * Il avait succédé à Marcel CHANFREAU

     ENTRE MYTHE ET EVIDENCES, 354 p., C. FOUINAT L. PETRIAC- 978-2-918296-02-7 

     

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  • #Magda Goebbels... Un film remarqué qui n'a rien approfondi ! Quel dommage !

     Un film remarqué mais qui est quasiment passé à côté !MAGDA, LA "PREMIERE DAME" DU REICH...

    Cela n'aura échappé à personne, nous sommes déçus ! Oui, déçus qu'un pareil film consacré à un tel personnage du Troisième Reich nazi certes diffusé assez tard (22H55) le 21 novembre 2017 sur France 2, voici déjà quelques années, et depuis régulièrement reproposé sur des chaînes comme LCP Public Sénat, n'ait pas voulu prendre en considération tous les éléments qui ont été repris ces derniers temps par de nombreux historiens et témoins à propos de l'affaire ! A l'exception dès le départ d'images, et c'est bien regrettable, provenant d'une propagande nazie due à Joseph GOEBBELS toujours aussi vivace, une propagande évoquant une "mère idéale" et une meurtrière victime de son idéologie ! 

    De celui que nous estimons être le véritable père de l'égérie nazie, le Juif Richard FRIEDLANDER auquel l'équipe d'Antoine VITKINE a affublé le prénom de Max (1), ce qui n'a pas manqué de troubler nombre d'observateurs, on ne saura rien ou pas grand-chose à l'issue du film diffusé sur France Télévision ! Malgré les révélations de l'historien Oliver HILMES en 2016 et malgré l'écrit du russe Léonid GUIRCHOVITCH : Meurtre sur la plage publié chez VERDIER dont on aura peu parlé depuis sa sortie fin 2014. Peut-être aussi parce que, tout comme nous, ils avançaient dans leurs ouvrages trop de choses nouvelles qui auraient forcément déplu à la propagande nazie de Herr GOEBBELS ! La vérité dérangerait-elle même longtemps après et a-t-on voulu, dès la fin du conflit, livrer une toute autre vérité propre à laisser perdurer post mortem un mythe que l'on continue soigneusement à entretenir ? Comme s'il y avait d'autres intérêts en jeu et notamment ceux des héritierMagda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...s de Magda, devenus des milliardaires grâce aux juteux investissements de Papa QUANDT dans des firmes comme BMW ! Une famille QUANDT qui a d'ailleurs toujours été attachée à rester loin de tout scandale public et à laquelle on ne peut justement rattacher que cette proximité du clan de Gûnther QUANDT avec Magda GOEBBELS (son épouse de 1920 à 1929) et les nazis. 

    On devra donc se contenter, en attendant d'autres avancées, de ce que d'autres évoquent en parlant de "suicide altruiste" comme si Magda GOEBBELS avait pu être quelqu'un d'altruiste. Quand on laisse déporter un père et la fille d'une ancienne camarade d'école sans réagir et que l'on licencie une bonne dont le seul tort a été de vouloir se suicider... on est assez loin de l'altruisme, non ? Décidément cette "femelle", au sens animal le plus strict du terme, continue à avoir des partisans, et pas seulement sa propre mère, laquelle en 1952 (2) avait déjà jugé bon de s'amender avec la complicité du fils du nazi MEISSNER, le biographe Hans-Otto. Si tant est que l'on puisse être le partisan d'un tueuse d'enfants égocentrique, dénuée de la moindre empathie et assoiffée de pouvoir ! L'ouvrage de notre auteur a d'ailleurs fait l'objet d'un strict encadrement et nos commentaires anti nazis sont strictement effacés dès qu'ils apparaissent sur un site vantant ce film ! S'il vous intéresse, vous pourrez découvrir notre boutique en ligne !

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

    (1) Un Max FRIEDLANDER serait mort dans un autre camp, celui de Sachsenhausen, ce qui a ajouté à la confusion lorsqu'il s'est agi de retrouver le Richard FRIEDLANDER mort, lui, à Buchenwald. Ce que confirme l'un de ses petits-fils toujours en vie qui regrette même que son grand-père n'ait pu être reçu par Joseph GOEBBELS au Ministère de la Propagande où il était venu plaider sa cause avant d'être ensuite déporté sans que sa fille Magda intervienne en sa faveur.

    (2) En collaborant à un média Schwäbische Illustrierte qui publiera : Ma fille, Magda GOEBBELS.

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  • Ariane Rischel, épouse Sheppard, l'ancienne Jeunesse Hitlérienne

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...

    Ariane SHEPPARD (ci-dessus)... Voici un nom qui se sera souvent retrouvé au milieu de faits divers et à la une de l'actualité, notamment dans une affaire qui avait tenu en haleine dans l'Ohio nombre de citoyens américains voici déjà une cinquantaine d'années ! Un long combat qu'elle avait entrepris de mener en faveur de la défense d'un chirurgien, Sam SHEPPARD, accusé d'avoir tué son épouse quelques années plus tôt et qu'elle finira par épouser avant d'en divorcer quatre ans plus tard, l'accusant, entre autres, de cruauté mentale. Ce qui ne manque pas de sel !

    Mais Arianne SHEPPARD-TEBENJOHANNS, la fille du père adoptif de Magda GOEBBELS, Oskar RITSCHEL, nous intéresse surtout ici pour le lien qu'elle donne le sentiment d'avoir entretenu avec sa prétendue demi-soeur, la chienne du Troisième Reich (ci-contre) ! Une demi-soeur, du moins pour la plupart des historiens niant toujours la paternité du Juif Richard FRIEDLANDER, et au terme d'un passé que beaucoup avaient cependant qualifié de sulfureux, elle était intervenue dans plusieurs échanges avec les médias pour témoigner, là encore, en faveur d'un être qu'elle dépeignait comme une femme élégante. Ce dont on peut être surpris après que six de ses enfants ont été tués. Ce qui est certain c'est que née en 1934, Arianne RITSCHEL avait fait partie des Jeunesses Hitlériennes et qu'elle était acquise à la cause du nazisme comme bien d'autres gamines du même âge. Aussi, son témoignage sur la probité de Magda GOEBBELS (1) n'a rien de foncièrement étonnant ! Surtout quand elle précise à propos de cette demi-soeur qu'elle ne l'avait jamais vue perdre son calme ni même devenir nerveuse, qu'elle était toujours pondérée, aimable, qu'elle s'intéressait aux autres et qu'elle savait écouter. Ce que ne confirment pas d'autres témoignages, comme celui de la chroniqueuse juive Bella FROMM qui s'était vue recadrée à plusieurs reprises par l'égérie nazie ! Ni même celui d'Anja KLABUNDE dans une biographie qui contredit souvent les affirmations des MEISSNER !

    Avec sa belle-mère Auguste BEHREND, et Ello QUANDT, l'amie de la famille, il était évident que le biographe Hans-Otto MEISSNER disposait là d'avis éclairés qui l'auront trompé, en admettant toutefois que le fils de l'ancien secrétaire d'Etat, le nazi Hans MEISSNER, n'y ait pas ajouté sa propre implication personnelle afin de relever quelque peu le profil de cette monstrueuse mère idéale du grand Reich qui avait laissé pourrir son propre père à Buchenwald !

    Le portrait de cette chienne signé Louis PETRIAC est toujours commercialisé et vous pouvez l'acquérir en vous rendant dans notre boutique en ligne.

    (1) Repris par le journaliste et écrivain Guido KNOPP dans son ouvrage : Les femmes d'HItler. 

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0 

     

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  • Premier mai 1968... Tout était prêt pour l'une des plus grandes révoltes

    Avec un pavé lancé peu après 17 heures en direction d'un car de CRS, c'est seulement le 3 mai qu'avait véritablement démarré le mouvement des événements de mai 1968 voici cinquante-cinq ans. Beaucoup n'ont pas oublié ce qui s'était alors produit, même si Dany le Rouge (au fond sur la photo) a depuis changé de bord comme les jeunes révoltés qui, devant l'auberge de la Monthalent, étaient fustigés par Jacques BREL ! Nul doute que les manifestants de ce premier mai 2023 y penseront, qu'ils soient cette fois-ci équipés ou pas de casseroles !

    Mais revoyons donc le reportage qui avait été consacré par Madame BORLOO à ces événements en 1998, trente ans après !

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  • Feront-ils de nous des souris de laboratoire ?

    Une vidéo hébergée sur le site Odysee.com à voir absolument nous avait été transmise voici quelques mois déjà par l'un de nos amis Tweeter pour que nous en prenions connaissance ! Une vidéo qui reste d'actualité à plus forte raison aujourd'hui où l'on dénombre on ne sait combien de gens morts d'effets secondaires après avoir accepté de se faire piquer !

    Feront-ils de nous des souris de laboratoire ?

    Les essais cliniques de ces vaccins qui nous ont été prescrits, et ce n'est plus un secret, n'étaient pas validés et on aurait dû attendre avant de les proposer à des êtres humains sans prendre la moindre précaution quant au profil des gens vaccinés, ce qui aurait été plus raisonnable. Les médecins interrogés dans ce reportage sont d'avis qu'en prescrivant cette vaccination dès la fin de l'année 2020 on a sacrifiés des gens et on en sacrifiera obligatoirement d'autres. Comme le dit le chroniqueur Pierre JOVANOVIC (photo ci-contre), c'est au passage un gigantesque lavage de cerveau qui a été opéré pour convaincre les gens ciblés qu'ils ne risquaient rien, et que se vacciner c'était prendre soin des autres ! Or, cette vaccination à présent entreprise à marche forcée puisqu'on a décidé d'exclure de la société tous ceux qui n'en n'accepteront pas le principe, commence à provoquer une quantité incroyable d'effets secondaires que l'on s'efforce du reste de dissimuler soigneusement. Jusqu'à quand en sera t-il ainsi ?

    En choisissant de sacrifier des gens souvent en parfaite santé comme ceux dont il est question dans ce reportage et sans la moindre humanité pour en enrichir quelques autres, Olivier VERAN, Emmanuel MACRON et Jean-Michel TROGNEUX, vous êtes devenus des assassins et vous aurez à en répondre un jour, car ceux que vous avez traités de connards finiront par réagir à ce qui est un véritable génocide ! N'en déplaise à ceux qui se sont dit favorables à un allègement des populations !

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  • Marvin à 20 mois 1992

    Déclaré "grande cause nationale 2012" l'autisme continue de beaucoup interpeller. Et sans aucun doute un peu plus qu'il y a quelques années où ce handicap ne touchait encore que très peu de naissances. Il est vrai qu'avec des statistiques plus alarmantes, on ne peut que s'interroger.

    L'autisme : un handicap qui fait de plus en plus réfléchir...

    Christine GOUGEON-M. la maman d'un enfant autiste, a entrepris de témoigner et de dire avec émotion ce qu'elle avait vécu vingt-deux ans durant aux côtés de son petit Marvin. Aveugle de naissance, rien, au départ, n'aurait laissé supposer que cet enfant développait également des troubles envahissants du développement. Très vite, on en était arrivé à supposer que le retard de son développement était dû à sa cécité. Pour l'aider à se mouvoir et faute de disposer de moyens conséquents, on avait fait appel (photo du haut) à un loco-pousse. Avant de comprendre, quelques mois plus tard, que Marvin était un enfant autiste. De toutes ces années passées à tenter de comprendre, il restera ce témoignage émouvant. Sous la forme d'une lettre destinée à son fils que ses proches lui liront sans doute un jour. Pour faire en sorte, comme le dit à son fils Christine GOUGEON en préambule de ce document émouvant, qu'il te reste quelque chose de ce que furent toutes ces longues années passées à t'attendre et à te trouver ! Parce que nous étions persuadés qu'un jour tu viendrai à notre rencontre et que les peurs s'effaceraient d'elles-mêmes ! Les tiennes comme les nôtres !

    Ce document bouleversant où tout l'amour d'une mère éclate à chaque page sera aussi pour Christine GOUGEON-M. l'occasion d'inviter ceux qui lui ont fait l'amitié d'assister à cette présentation, à un vernissage car, pour oublier ses tourments, elle s'est, depuis, tournée vers la peinture... et vers le théâtre !  

    Un ouvrage que vous pourrez acquérir et qui est à présent à découvrir sur notre boutique en ligne !

    LETTRE A MARVIN, MON FILS AUTISTE... Christine GOUGEON-M, ISBN n° 978-2-918296-21-8     

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