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    Qui sont-ils ces narcissiques criminels ?

    C'est sûr, c'est lui ! Tout accrédite son geste de désespéré et le meurtre de sa famille commis début avril 2011 ! A la fois son incapacité à rebondir et à pouvoir enfin honorer ses dettes, que celle de répondre à une nouvelle contrainte d'huissier ! Celle qu'il vient de recevoir quelques jours avant le drame et portant sur la rondelette somme de 20.000 € !

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...Des années et des années après que les enquêteurs ont retrouvé les corps de sa femme et de ses cinq enfants enterrés à Nantes sous une terrasse de la maison qu'ils occupaient tous, Xavier DUPONT de LIGONNES (ci-contre) n'a toujours pas réapparu. Est-il en cavale ou a-t-il mis fin à ses jours comme le suggère le téléfilm que vient de consacrer à l'affaire, M6 ? Telle est la question que l'on se pose aujourd'hui, sept ans après la découverte de cet assassinat. On notera que ce narcissique criminel en supposant qu'il soit l'auteur de cet homicide, n'est pas le premier à tuer les siens, de peur d'être perçu, un jour, différemment, par ceux qui le côtoyaient. En 1993, dix-huit ans plus tôt, le faux médecin de l'Office Mondial de la Santé Jean-Claude ROMAND avait déjà tué sa femme, ses parents et ses deux enfants pour qu'ils ne soient pas déçus s'ils apprenaient qui était ce faux médecin avec lequel ils vivaient. Des parcours criminels qui sont à l'origine de notre volonté d'enquêter sur une autre narcissique criminelle, la nazie Magda GOEBBELS qui aura tué ses six enfants dans le bunker berlinois d'HITLER en mai 1945 pour qu'ils ne sachent jamais qui était réellement leur mère. Ce qu'avait commencé à percevoir sa fille aînée de 13 ans Helga qui s'est débattue pour ne pas ingérer de capsule de cyanure. Sans toutefois que ce geste de l'égérie nazie soit reconnu avec le même constat que les autres, ce qui m'a valu de publier un nouveau portrait de cette femme en m'appuyant sur des éléments qui auraient dû retenir l'attention des autres enquêteurs.

    Pour ces trois assassins, un seul impératif comptait, celui d'échapper à une critique de ceux qu'ils aimaient ou prétendaient aimer : leurs enfants voire leurs proches ! Ce qui interpelle également dans les trois homicides, c'est la froideur avec laquelle ils ont, les uns et les autres, pu éliminer les leurs. Sans la moindre émotion. Dans le reportage qui suit, on évoque un autre fait divers qui avait fait la une aux Etats-Unis. criblé de dettes, John LIST avait en effet, en 1971, tué dans le New-Jersey sa mère, son épouse et ses trois enfants avant de prendre la fuite. Il sera interpellé dix-huit plus tard.

    Vous pouvez vous procurer l'ouvrage que j'ai publié sur cette Magda en vous rendant dans la boutique en ligne de mon éditeur !

    Louis PETRIAC

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0 

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  • Black Rock, un véritable danger

    En ces périodes troublées que nous traversons, l'apparition d'un virus provoquant un véritable bouleversement du monde dans lequel nous vivions jusque-là, a fait que nous allons devoir reconsidérer un certain nombre de données. Et même à nous plier à un certain nombre de diktats puisque notre indépendance aura vécu et que ce monde ne sera plus celui dans lequel nous vivions jusque-là mais un monde différent. Notamment après le rachat de la dette française par BLACK ROCK. Car et c'est une première interrogation, ceux qui dirigent ce monde auquel nous nous étions habitués et qui ont pris l'habitude de nous asservir comme Larry FINK (ci-dessus), le directeur de BLACK ROCK et le nazi Klaus SCHWAB, quel comportement vont-ils choisir d'avoir ? On peut légitimement se le demander.

    Black Rock, attention danger !Larry FINK dont le nom était encore inconnu de beaucoup, faisait l'objet avant le début de la crise d'un intérêt marqué par plusieurs enquêteurs. Ils avaient souhaité en savoir un peu plus sur un homme discret qui, aujourd'hui, est pourtant l'un des hommes les plus influents de la planète sinon le plus influent. Parce qu'il dirige BLACK ROCK, une firme fondée en 1988 gérant, au travers d'un redoutable logiciel d'analyse du nom d'Aladdin, plus de 6 000 milliards de dollars d'actifs dans le monde et qui a vocation pour intervenir sur l'ensemble des marchés financiers internationaux afin d'y prendre des positions sur leurs indices voire en rachetant les dettes de certains états comme c'est désormais le cas avec la France. Comme BLACK ROCK n'est pas un établissement bancaire au sens propre du terme, il n'est jamais contrôlé. Dans le reportage ci-dessous réalisé par la chaîne ARTE, il est d'ailleurs souvent question de ces E.T.F ou fonds indiciels cotés. L'une de ces enquêtrices, la journaliste allemande Heike BUCHTER (photo ci-dessus) vient même de consacrer un ouvrage à Larry FINK et à BLACK ROCK sans pour autant avoir réussi à percer l'ensemble des secrets de la firme américaine. C'est cependant le seul document qui se soit intéressé de près à ce qu'était BLACK ROCK. Un virus qui, comme l'a déploré le journaliste et écrivain Denis ROBERT, grignote nos vies, nos intimités, nos comptes en banque et qui prospère comme la mafia en étant une sorte de parrain qui cache son jeu pour mieux nous faire les poches. Pour l'un des autres dirigeants de ce monde d'avant, Carl ICAHN, un homme d'affaires milliardaire de 87 ans qui est devenu célèbre à la suite de tentatives de prise de contrôle de plusieurs grandes sociétés, BLACK ROCK, parce qu'il représente, est une société extrêmement dangereuse. Mais elle est d'autant plus dangereuse qu'elle est, comme quelques autres, prête à tout pour préserver ce qu'elle a amassé comme richesses au cours des années passées. Face à des indices qui ont dévissé au début de la crise sanitaire et cause des nombreuses faillites voire à l'explosion du chômage, il va falloir trouver de nouvelles armes pour faire en sorte que les acquis ne soient pas soumis à rude épreuve. Car, avec la baisse des principales places financières internationales, c'est un sixième des actifs de BLACK ROCK qui s'étaient envolés depuis février 2020, ce qui reste peu rapport à la dégringolade de certains cours d'actions cotées.

    Ce qui est de moins en moins un secret c'est que BLACK ROCK est aussi un intervenant dans le nouveau système de répartition de retraites par capitalisation, un processus qui vaut à notre Président d'avoir à éteindre, là également, une contestation. Car il est aujourd'hui question de faire passer en force un texte d'adoption portant sur une réforme du système des retraites que l'on comptait mettre en place en France. On notera à ce propos que les plus grands dirigeants de la planète s'étaient rencontrés en Suisse à Davos en janvier 2020 parmi lesquels le Président MACRON et Larry FINK de BLACK ROCK et que tout semblait donc au point pour que ce texte soit adopté et surtout que l'on veille du côté de l'Elysée à oeuvrer pour que le moins de retraités possible puissent prétendre bénéficier de pensions une fois l'heure de la retraite venue. Car il n'était pas raisonnable de pouvoir continuer à pensionner des personnes âgées aujourd'hui de plus en plus nombreuses ! Aidé par une campagne monstrueuse et quelques grands noms de la presse à l'esprit atrophié comme l'homme à l'écharpe rouge Christophe BARBIER, ou Alain DUHAMEL, voire quelques autres olibrius, il est clair qu'on a choisi en haut lieu de favoriser tout ce qui permettra cette diminution actée des populations. L'asservissement et la réduction des populations est l'objectif de nos gouvernants, c'est clair ! Le choix dans quelques-unes des unités hospitalières de l'est de notre pays de ne pas réanimer certains malades âgés atteints du COVID-19 et l'utilisation par le gouvernement PHILIPPE du Rivotril pour tuer dans les EHPAD le démontrent.

    A un moment où notre univers bascule, et où l'objectif de BLACK ROCK reste néanmoins de rendre les riches encore plus riches, nous nous devions d'attirer votre attention sur le danger que peut représenter certaines dispositions gouvernementales et nous espérons singulièrement que tout sera entrepris pour que l'on n'accorde plus à une société comme BLACK ROCK la moindre confiance. Le reportage qu'a réalisé Arte a d'ailleurs le mérite de tenter de décrypter la nébuleuse qu'est cet empire de la finance.

     

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  • Dans la merde jusqu'au cou ! (Humeur)

    Depuis le début de la crise sanitaire début mars 2020, comme quelques autres petites maisons d'édition, nous avons été confrontés à nombre de difficultés ! Des difficultés accrues par le manque de cohérence des mesures adoptées et un gouvernement souvent dépassé et depuis quelques semaines par les interdits émanant de Facebook sanctionnant nombre de nos articles. Ce qui a lourdement pénalisé nos initiatives, surtout après l'adoption du pass sanitaire de septembre 2021. De ce fait, nous avons été dans l'impossibilité de mettre en place des échanges avec nos lecteurs et tous ceux qui, alertés par nos articles, auraient bien voulu se procurer nos ouvrages dont la cadence de publication s'est fortement ralentie.

    Pour tenter de donner une suite à nos engagements et ne pas rompre le lien que nous avions avec nos lecteurs et avec ceux qui brûlaient de l'envie de nous découvrir, nous avons décidé d'opter pour la mise en place d'une boutique en ligne où dans un premier temps vous retrouverez les ouvrages que nous sommes dans l'impossibilité de continuer à vous présenter lors de séances de signature, nos partenaires libraires ayant fortement réduit leur organisation.

    Cette boutique en ligne est accessible grâce au lien suivant.

    Nous avons d'ores et déjà configuré des moyens de paiement comme ceux prévoyant un règlement par carte bancaire ou un paiement PAYPAL qui devraient permettre d'enregistrer vos commandes. D'avance merci à tous ceux qui soutiendront cette initiative en se portant, qui sait, acquéreurs d'ouvrages qu'ils ne possèdent pas encore. 

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  • Christine Gougeon-M.   

    Sa lettre à Marvin... un nouveau débat sur l'autisme !

    La première question que l'on se pose généralement quand on se retrouve face à un exercice de communication particulier, c'est de savoir comment il a pris corps.

    Chez l'auteure de cette Lettre à Marvin qui avait été publiée sous le premier label de l'un de nos créateurs en avril 2013, il s'est sûrement imposé depuis quelque temps déjà, puisque Christine GOUGEON-M. avait en projet de laisser un jour à son fils une trace de ce qu'avait été cette longue route. Une route où, animée par un seul but, celui de mener son fils autiste et non voyant à sa vie d'homme, elle s'était battue, jour après jour, aux côtés de ses deux autres filles pour que Marvin progresse. Si tant est que l'on puisse progresser quand on est privé de tout : d'informations comme de moyens. Car au début des années quatre-vingt dix, nous étions encore dans l'inconnue la plus totale. Il n'existait pas ou peu de thérapies comportementales comme l'A.B.A* et l'ignorance de la plupart des pédiatres et des spécialistes était telle que, souvent, les personnes autistes étaient condamnées à finir leur existence en hôpital de jour, sevrées de médications lourdes et inappropriées. La lutte de la comédienne Sandrine BONNAIRE en est l'illustration même.   

    Cette Lettre à Marvin, qui est aujourd'hui adulte, raconte mais elle ne fait pas que raconter avec parfois un brin de dérision, elle témoigne restant d'actualité même dix ans plus tard. Un exercice d'autant plus grave que le monde de la natalité est de plus en plus touché par ce fléau puisque plus d'un enfant sur cent naît aujourd'hui autiste en France. Face à des impératifs auxquels notre pays est confronté et un retard qui atteint des sommets comparativement à d'autres nations comme l'Angleterre, la Belgique ou le Canada, il convient de réfléchir. Deux autres comédiens : Gersende et Francis PERRIN s'y étaient attelés en se servant de leur notoriété et d'un ouvrage émouvant (Louis, pas à pas aux Editions JC Lattès) pour entreprendre une croisade et que l'on prenne davantage de dispositions pour s'en sortir. Tout en sachant que le nombre de cas d'autismes diagnostiqués l'an passé est désormais supérieur à la somme totale des cas de diabète, de cancer et de SIDA !

    Nous vous rappelons que vous pouvez désormais vous procurer assez rapidement cet ouvrage en vous rendant sur notre boutique en ligne !   

    * A.B.A : Analyse appliquée du comportement

    LETTRE A MARVIN, MON FILS AUTISTE... Christine GOUGEON-M - 978-2-918296-21-8  

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  • Magda... Une maîtresse de maison glaçante !

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...Les mots ne manquent pas pour évoquer ce qu'était la fille de Richard FRIEDLANDER, l'ancien négociant juif, tanneur de son état, que celle-ci choisira de laisser "pourrir" à Buchenwald dès sa déportation. Considérée en 1933 comme la femme la plus influente d'Allemagne, sinon la plus élégante, il est vrai que Magda GOEBBELS ne manquait pas d'attirer les regards et, quelquefois aussi, les remarques désobligeantes de certaines de celles qu'elle battait un peu froid, en femme parfaitement sûre de ce qu'elle avançait et dont notre ambassadeur FRANCOIS-PONCET disait qu'il n'avait jamais vu une femme avec un regard aussi froid ! Mais comment aurait-elle pu susciter autre chose que toutes ces remarques alors qu'elle ne se privait pas d'émettre des réflexions souvent blessantes pour celles qu'elle côtoyait et qui avaient à supporter ses sautes d'humeur régulières et une suffisance dérangeante, une suffisance affichée par un être pour le moins déréglé dès son plus jeune âge. N'était-elle pas convaincue, déjà, qu'être humain c'était montrer sa faiblesse et qu'être froid, c'était montrer sa force ? On est là à mille lieues des premières images diffusées récemment par France 2 et montrant une mère aimante (???) accueillie avec ferveur par ses enfants et leur gouvernante à la sortie d'une hospitalisation !

    C'est Jane THYNNE qui semble l'avoir le mieux décrite : « Elle était vêtue d’une robe de soirée Schiaparelli dans les tons ivoire mettant en relief sa peau satinée. Des perles de la taille de petits œufs pendaient à son cou. Ses cheveux blond platine formaient des ondulations serrées autour de sa tête et une bouffée de parfum la suivait. La chair de ses bras avait une solidité compacte d’une sculpture grecque, ses yeux le regard voilé, insondable, d’une statue... Personne n'avait besoin de glace dans son Schnaps quand la Frau Doktor se trouvait dans les parages... ». Auteure de deux romans mettant en scène l'égérie nazie, reconnaissons que la Britannique Jane THYNE s'appuie dans ceux-ci sur un luxe de détails qu'elle donne le sentiment d'avoir collectés dans les témoignages acides de la chroniqueuse juive Bella FROMM qui n'avait pas une très bonne opinion de la Frau Doktor Reichsminister. Une Magda GOEBBELS qui, de l'avis de ses nombreuses détractrices, « portait tellement de diamants qu'on aurait cru qu'elle s'était battue avec un chandelier ! »

    Magda... Une maîtresse de maison glaçante !Que n'a-t-on pas dit du reste de cette femme blonde "bien en chair", stéréotype de la femme allemande qui avait le don d'attirer tous les regards sur elle, dont celui d'un Führer qui en avait fait l'une des personnalités éminentes d'un Reich qu'il dirigeait d'une main de fer ? A plus forte raison quand la Frau Doktor, pour citer Jane THYNNE, « apparaissait le visage comme un ciel d'orage ! » même lorsqu'elle parvenait à maîtriser parfaitement ce qu'elle ressentait en parfaite manipulatrice perverse. Capable de se mettre en danger au plan médical pour donner au Reich la flopée d'enfants dont il avait besoin pour mener ses conquêtes, cette épouse modèle l'était tout autant pour entrer dans des colères mémorables qui la faisait vite repérer dans les soirées qu'elle donnait tant au Palais Léopold berlinois qu'en privé à Bogensee ou à Schwanenwerder. Pas seulement parce qu'elle s'y présentait avec des toilettes remarquées sinon décriées, mais aussi parce qu'elle aimait s'opposer au culte de la minceur qui interdisait, selon elle, aux femmes de procréer. Également connue pour ses nombreux excès, il est vrai qu'elle n'était pas toujours une publicité manifeste pour la mode allemande et que ses dérapages alcoolisés auront des conséquences sur la ligne d'une femme qui, pourtant, veillait toujours à se présenter avec les plus beaux atours. A trente-quatre ou trente-cinq ans, Magda GOEBBELS n'était plus, en effet, que l'ombre de celle qu'elle avait été quand elle avait divorcé de l'industriel QUANDT en s'encanaillant dans le Berlin de la fin des années vingt où elle disait s'ennuyer, cherchant à donner du piment à son existence. Les deux clichés sélectionnés parmi ceux qui ont été pris entre 1927/1928, au moment où elle était courtisée par "le faux neveu du Président HOOVER" et une quantité impressionnante de "Jules", et l'année 1937 où elle venait d'accoucher pour la quatrième fois, parlent d'eux-mêmes.

    Découvrez notre ouvrage en quelques clics ! Vous pourrez vous le procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, 978-2-918296-43-0

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  • C'est vous, je vous reconnais, dira Aline Aubert !

    C'est après avoir longtemps cherché que l'auteur de ce nouvel ouvrage en est arrivé à cette piste d’un black out qui aurait même pu précéder un coma éthylique si le jeune Christian RANUCCI avait été davantage ivre le 3 juin 1974 au matin. Un point qui n’a du reste jamais été abordé par les psychiatres, alors qu’on était en présence d’un tout jeune homme qui avait énormément bu la veille et qui n’était pas quelqu’un de costaud, même si c’était un adepte de ces dérapages alcoolisés qu’il s’autorisait régulièrement, convaincu de bien tenir l’alcool !
    Mais qu’est-ce au juste qu’un black out sinon, pour les spécialistes, une perte de conscience qui voit le sujet garder un certain contrôle de sa motricité, même si celle-ci est appelée à se dégrader ? Ces black out peuvent survenir une fois par mois et ces amnésies de plusieurs heures ne sont pas forcément le propre des alcooliques ! Elles peuvent survenir chez des personnes qui ne boivent qu’occasionnellement et surtout chez des personnes buvant de l’alcool sans avoir mangé. Ce qui a semblé être le cas du jeune RANUCCI une fois arrivé dans le quartier marseillais de l’Opéra puisqu’il se serait aussitôt mis à boire sans avoir dîné. Alors qu’il reconnaît être un buveur d’eau minérale, de thé ou de boisson non alcoolisée.
    Crime... A propos des "absences" de Christian RanucciOn notera ici que ce black out marseillais ne semble pas avoir été le premier de traversé par le Niçois puisqu’en Allemagne, durant son service militaire à Wittlich, on avait déjà été obligé de le sortir des WC d’un bar pendant une de ces « absences » !
    Pourquoi n’a-t-on pas cherché à réaliser une étude comportementale plus poussée autour de cette propension à boire du jeune accusé déjà évidente dès le plus jeune âge ? Une habitude née selon toute vraisemblance de sa complicité avec la sœur de sa mère qui était singulièrement portée sur la bouteille et avec laquelle il restait à Voiron pour tenir leur bar toutes les fois que sa mère partait pour Paris en fin de semaine. D’autant qu’il est facile de cerner ce que peut provoquer l’alcool et une intoxication aiguë à l’alcool chez un tout jeune homme d’une vingtaine d’années. Avec, au bout du compte un endormissement et une perte de connaissance, le système nerveux central ayant cessé de fonctionner. Parfois avec seulement 2 g d’alcool dans le sang, juste avant que survienne un coma éthylique.
    Christian RANUCCI dira à Maître LE FORSONNEY, son avocat, et dès leur deuxième entretien aux Baumettes, qu’il ne se souvenait de rien parce qu’il était soûl. Tout cela parce qu’il avait passé la nuit du dimanche au lundi, non pas à Salernes comme les policiers le lui auront fait dire, mais à Marseille, à traîner dans les bars du quartier de l’Opéra où il avouera avoir bu énormément. S’il buvait peu d’alcool, il reconnaîtra néanmoins s’offrir un dégagement de temps en temps en se biturant à mort, mais sans jamais l’avouer à sa mère qu’il donne toujours le sentiment d’avoir voulu tenir à l’écart de toutes ses bêtises. Et il semble y en avoir eu quelques-unes ! C’est ce qui explique que lors de la saisie de ce que contenait son coupé Peugeot, on y ait trouvé avec ce martinet et différentes autres choses comme cette seringue hypodermique, une bouteille d’alcool étiquetée « My drink ». Ce qui signifie qu’il était effectivement attiré par ces « dégagements » alcoolisés.

    Comme l'avaient été des aveux trop vite faits devant des policiers de plus en plus impatients dans les locaux de l'Evêché (photo ci-dessus), les constats émis par le psychiatre et la psychologue le seront tout autant aux Baumettes. Les avocats de l'inculpé ne creuseront pas davantage et n'entendront pas les recommandations d'André FRATICELLI le troisième avocat quant à une demande d'examens plus approfondis qui auraient sans doute permis de constater quelques insuffisances.

    Si le dossier vous intéresse, vous pourrez vous procurer l'ouvrage de Louis PETRIAC en visitant notre boutique en ligne.

    CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE,            Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-59-1

     

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  • L'Histoire avec un grand H et la vérité...Les plus vieux combattants de notre pays, si leurs actions ont été oubliées, n'en restent pas moins froissés dès lors que sortent, ici ou là, des affirmations tendant à déformer des faits exagérément grossis ou contrevenant à la vérité ! Même si la vérité devient, de nos jours, un luxe que beaucoup ne peuvent s'offrir ! Aussi reste-t-il des témoignages, leurs témoignages dont ils savent pertinemment que l'on se gaussera à leur sortie. Alors qu'ils devraient être pris en compte pour que l'Histoire de notre pays ne devienne pas une tribune où seraient échangées des anecdotes qui n'ont pas leur place dans le débat.

    L'article ci-dessous paru dans le quotidien Sud-Ouest daté du lundi 21 mars 2016, et revenant sur l'attentat de Brantôme, n'échappe pas à la règle ! D'autant qu'un ouvrage de Jean FREIRE "Les maquis au combat" consacré à l'affaire évoquerait selon le quotidien le témoignage de l'un des protagonistes de l'affaire, le FTP du groupe LAGER Alphonse PUYBARAUD et que celui-ci trouve dans cet article un appui dont il ne devrait pas bénéficier. Parce qu'il évoque des faits dont il ne peut avoir été le témoin. Pour la bonne et simple raison qu'il ne pouvait, de l'avis du maquisard Robert SUDEY (photographié ci-dessus en 2015 peu avant sa disparition), se trouver à Cantillac ni aux abords de la RN 939 ce 26 mars 1944 ! Tout simplement parce que, ce jour-là, il souffrait d'une grippe.

    L'Histoire avec un grand H et la vérité...

    Alors, héros malgré lui ! A voir le titre publié par le quotidien périgourdin, on pourrait effectivement se poser la question et se référer à un autre ouvrage qui éclaire le débat d'une toute autre façon : celui de Robert SUDEY lui-même Ma guerre à moi, qui a été publié en 2009 et réédité en septembre 2013 sous le label DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions dont un extrait suit :

    "Je me souviens encore aujourd'hui de ces événements de Brantôme... Le 26 mars 1944 en fin d'après-midi, quatre à cinq maquisards placés sous le commandement d'Antoine dit Jouhaud, reçurent l'ordre de tendre une embuscade pour s'emparer d'un camion. Ce camion, Antoine et Boucharel en auraient eu besoin afin de permettre à leurs groupes, dont le nombre était de plus en plus important, de changer de camp. Ce changement dicté aussi par le fait que l'ennemi avait, semble-t-il, repéré ledit camp était à l'ordre du jour, puisque j'avais moi-même été pressenti pour les mener à un nouvel endroit aux confins de la Charente. Frustrés de n'avoir pu mettre la main sur celui-ci, ces quatre ou cinq maquisards prendront la décision de se payer un véhicule allemand. Certains ont dit, précise Sudey, que ce mitraillage avait été organisé par Marius Alphonse Puybaraud du groupe FTP Daniel Lager. Or, ce jour-là, Marius grippé, n'avait pu participer à quoi que ce soit !" 

    L'ouvrage de Robert SUDEY vous pouvez désormais vous le procurer en vous rendant sur notre boutique en ligne

    L'Histoire avec un grand H et la vérité...

      

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  • Avril 2014... Jacques Bodoin nous écrivait...Le 22 avril 2014, Louis PETRIAC recevait une lettre de l'humoriste Jacques BODOIN avec lequel il avait, un temps, envisagé de collaborer autour d'un ouvrage qui n'aurait sûrement pas manqué d'intéresser tous ceux qui avaient apprécié et qui apprécient toujours l'humour de cet homme exceptionnel. Un homme dont nous ne pouvons résister à l'envie de vous inviter à écouter et découvrir l'un de ses anciens sketches (ci-dessus). Hélas, s'agissant de ce projet littéraire évoqué précédemment, Louis PETRIAC avait dû y renoncer pour des raisons budgétaires et à l'entendre il maudira ce jour de m... dont il se souviendra encore longtemps. D'autant qu'il est toujours difficile de dire non quand on a autant brûlé de dire oui !

    Ce nouvel échange avec Jacques BODOIN ne pouvait donc que le ravir car il avait décidé de s'atteler chez son label, celui que nous avons repris, de publier un portrait de son ami Marc HERRAND. L'humoriste avait déjà préfacé son ouvrage et celui de son épouse Yvette GIRAUD publié en 2005 aux éditions du Signe et il savait quels étaient les liens d'estime qui unissaient les deux hommes. Mais il était loin de s'attendre à un tel courrier et à un pareil hommage. Quelques lignes qu'aujourd'hui encore il prend grand plaisir à relire car cet homme libre dont il était question apportait au travail entrepris (1) une sorte de caution morale supplémentaire. Nous vous laissons prendre connaissance de ces quelques lignes.

    " Marc, celui dont je vous entretiendrai volontiers, appartient à une cohorte étroite (et de plus en plus) de personnalités fortes mais qui se plaisent en modestie. Mais qu’entendez-vous par personnalité ? Marc est par-dessus tout une rareté humaine. C’est un homme "libre". facile à dire. La liberté, ça se paie. Et cher. Quand on se retrouve à 16 ans, encadré, à son corps défendant, dans une phalange de "Hitlerjugend" et qu’on décide de prendre ses distances en fuyant l’Alsace de ses bonheurs d’enfance pour la France non occupée, il faut ne compter que sur une exceptionnelle lucidité, un courage qui n’est pas dans l’atmosphère de la débâcle, et une seule et fragile bicyclette… en confisquant un de ces fameux "outils" célébrés par la Peste !!! Quand le sang juif gicle sur le couteau ! Lorsque Marc croise Yvette, il est le talent des Compagnons de la Chanson. La Pierre Angulaire. La Force. Il ne s’est pas contenté de "prendre la suite" de Liébard, le créateur des Compagnons de la Musique, il lui a fallu se hisser au niveau de connaissances d’un "maître de chapelle" qui faisait autorité. Et dépasser ce niveau. Parce que Marc n’est pas "génial", c’est un génie. C’est Orphée. Il est la musique même et tout cela sans clabauder. Sans postures. Et c’est parce qu’il est libre qu’il a quitté cet ensemble où il était roi, pour vivre une vie… discrète et cependant formidable. Marc est intelligent. Très intelligent. Et ce qui ne gâte rien, il est bon. Enfin, il a le sens de l’humour. En 1999, nous nous sommes retrouvés pour fêter nos cinquante ans de secrétariat à la S.A.C.E.M. Et c’était une félicité de le revoir toujours éclairé du même sourire qu’il partageait avec Yvette, pour avoir su si parfaitement réussir une vie pleine d’images, de sens et de musique.

    Oui, Marc est cette rareté : un homme libre. Et un talent que l’on n’a pas justement apprécié. Mais ne regrettez pas de l’avoir peu connu… Marc sait mieux que vous et moi, comment s’y prendre pour être heureux et de quoi est faite cette denrée si farouche, le bonheur". 

    (1) Marc Herrand, un inoubliable grand Monsieur de la Chanson française, Louis PETRIAC, que vous pourrez découvrir sur notre boutique en ligne.   

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  • Et après le rejet de la censure...

    C'est par 278 suffrages pour la censure sur les 287 nécessaires que le gouvernement a réussi à surmonter ce lundi 20 mars les menaces qui ont longtemps pesé sur lui. Mais, il est peu probable que le peuple en reste là et que notre détesté président puisse encore conserver un trône acquis en mai 2017 grâce surtout au peu d'opposition crédible qui s'était alors manifestée. Ce qui ne semble plus être le cas depuis les dernières législatives de juin 2022 puisque sa secte LaREM ne dispose plus de la majorité au Parlement. 

    Des émeutes risquent donc de s'enchaîner assez rapidement qui devraient opposer la population aux intérêts de ce que François ASSELINEAU vient de définir comme ceux d'une caste mafieuse. Car il devient maintenant urgent de mettre un terme à une gestion pour le moins calamiteuse de notre pays et aux distributions massives qui continuent à être effectuées parallèlement à une situation de la France loin d'être celle d'un pays qui, jadis, disposait encore de moyens qu'elle n'a plus. Mais tout cela passe aussi par l'examen d'un projet de loi que devra faire le Conseil Constitutionnel si un nombre suffisant de députés se manifestent auprès de lui pour tenter de le faire abolir.

    Ecoutez François ASSELINEAU ! Il définit en des termes clairs ce qui nous attend dans les prochaines semaines !

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  • Affaire Ranucci... Notre auteur s'est posé beaucoup de questions !

    C'est vous, je vous reconnais, dira Aline Aubert !Dans son ouvrage publié voici quelques semaines, notre auteur Louis PETRIAC évoquait les nombreuses questions qu'il s'est posé et auxquelles il n'a pas trouvé de réponse, ce qui ajoute aux interrogations que continuent de se poser à propos du meurtre de la petite Marie-Dolorès ceux qui doutent de l'implication de celui auquel on tranchera la tête deux ans plus tard. Et cela même sans prendre au sérieux tous les éléments retenus par l'écrivain Gilles PERRAULT dans son plaidoyer : Le pull-over rouge. Car il n'est même pas certain qu'il ait pu y avoir un lien entre un pull-over déposé dans la champignonnière - et pourquoi pas - par un des employés de GUAZZONE et le tueur de la fillette !

    En premier lieu ce qui ressort de la reconstitution du 24 juin 1974 où l'on devait s'efforcer de reconstituer ce qui avait pu se passer le 3 juin en ayant pris soin de faire appel au coupé 304 Peugeot du jeune RANUCCI. Or, on n'était toujours pas en mesure d'ouvrir la porte avant gauche côté conducteur, ce qu'avaient confirmé les services techniques de la Police ; elle avait été, rappelons-le, endommagée lors de la collision du carrefour de La Pomme. Dans ces conditions, on a du mal à comprendre que le sieur Alain AUBERT ait pu voir l'adolescent de 20 ans tirer la petite Marie-Dolorès à l'extérieur du véhicule après avoir ouvert la porte du côté droit ! Une opération qui supposerait que le jeune conducteur soit sorti de sa voiture du côté gauche et qu'il en ait fait le tour. 

    En second lieu, citons cette histoire de pantalon présenté par les détracteurs du jeune homme comme abondamment taché de sang. Certains ont même supposé qu'il n'y avait eu aucun pantalon de prélevé le 5 juin au soir dans le coffre d'un coupé garé dans le garage collectif de l'immeuble mais que celui-ci ne l'avait été qu'après coup ! Tout simplement parce que ce pantalon était celui qui servait à quelques menus travaux et que le jeune RANUCCI ne l'avait pas emporté avec lui pour son excursion des 2 et 3 juin. Il convient de savoir que le véhicule restitué à la mère de l'accusé deux jours plus tard le 7 juin, avait effectivement été garé à son retour à Nice par le journaliste Christian CHARDON, non dans le garage collectif de l'immeuble, mais dans le box. Et le commissaire ALESSANDRA resté en possession d'un double des clés avait donc pu avoir accès à ce box privé le 9 juin permettant aux enquêteurs de faire main basse sur le fameux pantalon qui s'y trouvait et de reprendre le véhicule pour le ramener sur Marseille. Ce qui explique aussi ce qui sera présenté à l'issue de trois expertises diligentées après l'exécution comme une probable surcharge et un rajout opéré sur le PV de saisie 828/4 des enquêteurs. Car s'il avait été l'auteur de l'homicide sur la gamine, il est probable que le jeune homme aurait cherché à extraire "ce pantalon d'homme de couleur sombre" de son coffre, à s'en débarrasser et non à le laisser au su et au vu de tout le monde. 

    En dehors de ces deux points soulevés et des interrogations qu'ils suggèrent, il y en aurait quelques autres que Louis PETRIAC reprend dans son ouvrage. Si vous souhaitez vous le procurer, visitez notre boutique en ligne. Vous gagnerez du temps !

    CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE,            Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-59-1

     

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  •  Quand Le Forsonney racontait la mise à mort de son client...

    C'est vous, je vous reconnais, dira Aline Aubert !

    Peut-on oublier une telle scène quand on a vingt-sept ans ? Lui, Jean-François LE FORSONNEY n'a jamais pu et n'avoir pas su préserver de la mort son client l'aura hanté ! Jusqu'à la fin de son existence ! Même s'il n'a pas toujours donné le sentiment de croire à l'innocence de celui qu'il avait dû défendre. Mais, écoutons-le nous raconter ce pénible 28 juillet de l'année 1976, quand Christian RANUCCI a été décapité aux Baumettes ! Il était 4h13 du matin !

    Cela s'est passé de la manière suivante, s'est-il longtemps rappelé : nous sommes arrivés aux Baumettes vers 3 heures 30. Tout le monde avait été prévenu, c'était donc la cohue : CRS, journalistes. Une fois à l'intérieur, nous avons rencontré tous les protagonistes de l'exécution. Il y avait notamment le juge MICHEL, le juge d'instruction témoin ; puis aussi le bourreau OBRECHT, à qui j'ai refusé de serrer la main. Des couvertures recouvraient le sol afin d'étouffer le bruit de nos pas. Nous sommes passés par les sous-sols et avons fait tout un circuit pour aller le chercher. C'était sinistre...
    Nous avons ensuite refait le trajet inverse. Christian était menotté, les mains dans le dos. LOMBARD et moi, le tenions par l'épaule. LOMBARD a été très bien parce qu'il avait l'âge d'être bien, il avait à l'époque 48-49 ans. Il le saoulait de paroles, lui disant "ne t'inquiète pas, tu ne vas pas souffrir", des choses comme ça. Ensuite, ils ont assis Christian à une petite table et ils ont commencé à lui découper le col, à l'entraver.
    Moi, ils m'ont laissé cinq minutes avec lui. Les autres étaient derrière. Je lui ai lu le mot de sa mère, je l'ai tutoyé en lui parlant. Puis les bourreaux sont arrivés et nous ont regardé en nous demandant s'ils pouvaient y aller. J'ai dit "oui". On a fait mine de l'accompagner et à ce moment-là ils ont ouvert une porte donnant sur une cour de promenade où était installée la guillotine. Je pensais qu'elle serait dissimulée par un rideau mais là, je l'ai vue... dans toute son horreur. Et honnêtement, ni LOMBARD ni moi, n'avons regardé physiquement. Seul FRATICELLI a regardé, il voulait voir. Il a eu le courage, peut-être, je n'en sais rien, de regarder la décapitation. 
    Le dernier regard de Christian, je l'ai eu à la petite table. Après je ne l'ai plus vu que de dos partir vers la guillotine. Mais là on a détourné le regard. Nous nous sommes embrassés, LOMBARD et moi. La plupart des gens présents n'ont pas regardé, non plus. MICHEL était blanc comme un cierge, plaqué contre le mur. Il n'a pas prononcé un seul mot, il était terrifié... 
    Puis j'ai entendu un jet d'eau, pour nettoyer tout cela. C'était à vomir... Ensuite la porte s'est refermée... Les gens nous ont salué, comme si nous étions la famille le jour de l'enterrement. On était un peu la famille, d'ailleurs. Mais tout cela était tellement surréaliste. 
    Enfin, à la sortie des Baumettes, nous nous sommes demandé qui allait appeler Mme MATHON pour lui annoncer que son fils venait d'être guillotiné. LOMBARD a accepté. Elle s'était endormie sans le savoir, mais elle l'avait senti, Dieu merci, elle l'avait senti...

    Dans son nouvel ouvrage paru en novembre dernier, Louis PETRIAC revient sur une affaire qui aura opposé les innocentistes à ceux qui voulaient voir périr ce garçon de vingt-deux ans qu'était Christian RANUCCI auquel on aura surtout fait payer le crime de Patrick HENRY !

    Si vous souhaitez vous procurer cet ouvrage, visitez notre boutique en ligne. Vous gagnerez du temps !

    CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE,            Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-59-1

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  • A propos de la perversion narcissique...

    Notre société aurait-elle besoin de pervers narcissiques ?...

    Que s'est-il donc passé au sein de notre société pour que, soudain, ce qui était encore considéré comme un trait de caractère voire une tare mineure, ait pris une telle importance au cours des toutes dernières années ? Au point d'inciter certains psychologues et psychothérapeutes à mettre en place de véritables alertes et à produire avec d'anciennes victimes une quantité impressionnante d'ouvrages ? Comme celui publié voici quelques mois par le label créé par notre auteur Louis PETRIAC (ci-contre). En se référant même parfois au vécu de monstres qui avaient jalonné une histoire encore très présente en nous avec les cauchemars nazis !

    Serait-ce la répétition à l'envi d'une maltraitance de certains jeunes enfants lesquels, castrés ou maltraités par leurs parents, se seraient mis à leur tour à devenir des prédateurs ? Ou la conséquence d'un dérèglement de nos cellules familiales où le changement d'un état d'esprit aurait fini par être nuisible ? En tout cas, ce qui est clair, c'est que la perversion narcissique, qui était encore voici une vingtaine d'années considérée comme une pathologie sans symptômes, est aujourd'hui presque sur le point de devenir une qualité si l'on en juge le nombre de sociétés qui font appel à ces machines à tuer... Nous venons d'ailleurs sur notre site CERTITUDES de consacrer un article à l'un de ces sociopathes d'entreprise qui se targuait devant les caméras de France-Télévision d'avoir "broyé" un millier de salariés au sein des entreprises où il était passé durant vingt-deux ans !

    Voici quelques mois, Frédéric LOPEZ, également sur FRANCE-TELEVISION, consacrait l'une de ses émissions à ce "fléau", recevant d'anciennes victimes qui avaient été abusées dans la sphère privée par trois de ces pervers narcissiques.

    LE MIROIR BRISE, Louis PETRIAC, 978-2-918296-35-5

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  • L'impartialité des Meissner face à l'histoire

    L'impartialité des Meissner face à l'histoireOtto MEISSNER (à la droite du dictateur ci-dessus) avait occupé de très hautes fonctions auprès d'Adolf HITLER à la Chancellerie du Troisième Reich, devenant même ministre d'Etat en 1937. Ce qui lui vaudra d'être arrêté par les Alliés et de comparaître à Nuremberg entre 1947 et 1949. Il est donc plus que probable qu'il ait livré à son fils Hans-Otto, le biographe, des éléments enjolivés et très favorables à l'égérie nazie Magda GOEBBELS quand il s'est agi de publier un ouvrage sur elle. Car la première biographie consacrée à cette "Compagne du diable" (ci-contre) par référence à Joseph GOEBBELS qui est apparenté au diable, si on y raconte quelle aura été la destinée de ce personnage dont nous avons fait une chienne, n'est, ni plus, ni moins, qu'un véritable conte de fées et un pied-de-nez à ce que nous estimons être la vérité. Il suffit d'ailleurs de prendre connaissance du quatrième de couverture pour avoir une idée de ce qui sera développé dans l'ouvrage et du ton respectueux affiché par Hans-Otto MEISSNER quant à cette "mère idéale". Papa MEISSNER, en nazi convaincu, aurait été fier de son fils Hans-Otto s'il avait pu assister à la sortie de cette biographie tronquée publiée en 1961. La lecture de ce document que nous avons eu beaucoup de mal à retrouver et publié chez France-Empire pour la version française nous conforte donc un peu plus encore dans l'opinion que nous avions à propos de ce qui s'est passé lors de la rédaction de cette biographie et de l'importance des apports de deux autres personnages de l'entourage de Magda GOEBBELS. Avec, aux côtés de ce biographe aux idées déformées, la présence d'une mère Auguste BEHREND qui n'avait pas su aimer la fille qu'elle avait mise au monde en décembre 1901 d'une liaison avec un tout jeune négociant juif encore démuni et l'amie fidèle, Ello QUANDT, la belle-soeur sous emprise d'une chienne perverse narcissique qui savait manipûler son entourage. C'est d'ailleurs la biographe Anja KLABUNDE qui, quarante ans plus tard, en fouillant un plus le passé de l'égérie nazie, évoquera l'importance de cette Ello QUANDT, hélas sans remettre en question ce qui avait été rapporté à MEISSNER par Auguste BEHREND, menteuse pathologique s'il en est.

    Dans cette Compagne du diable, il n'est évidemment pas question du rôle qu'aura joué Victor ARLOSOROFF, le leader sioniste qui aurait plus que participé aux premières joutes sexuelles de l'intéressée, alors qu'elle était encore lycéenne au Lycée Kollmorgen de Berlin. Et, encore moins de son lien avec ce père dont les nazis ne voudront pas entendre parler, un certain Richard FRIEDLANDER qui mourra en déportation à Buchenwald, oublié par celle qu'il avait élevée. Nous l'avons maintes fois affirmé en nous basant sur un article paru dans le média Bild et sur une preuve mise en avant par le journaliste et écrivain Oliver HILMES, Magda GOEBBELS avait donc du sang juif en elle ! Soucieuse de trouver sa place dans la hiérarchie nazie dès 1930 et sa découverte du NSDAP, il ne pouvait être question pour l'ancienne épouse du magnat Günther QUANDT de se présenter sous les traits d'une femme qui était la fille d'un négociant juif. Trop de choses en dépendaient et notamment ses envies de faire d'Adolf HITLER, l'homme qui n'avait qu'une testicule, son prochain compagnon d'alcôve et de jeux interdits !

    Magda Goebbels, une perverse narcissique ? Son profil...

    Nous en avions fait l'un des thèmes essentiels de notre ouvrage, évoquant également le profil psychologique de Magda GOEBBELS, l'adoratrice du Führer, narcissique à l'extrême, qui développait énormément de traits dont la psy Marie-France HIRIGOYEN parle en 1999 dans un ouvrage consacré aux pervers narcissiques. Les six enfants qu'elle a tués dans le bunker de Berlin et qui faisaient partie de ses objets familiers étayent notre thèse. L'intéressée, égocentrique, froide, suffisante et manquant d'empathie qui s'était arrogée le titre de Frau Doktor Reichminister lorsqu'elle s'adressait à des tiers comme la journaliste Bella FROMM avait tout d'une perverse narcissique. Hélas, plus de soixante-dix ans après les faits, l'influence de la propagande nazie reste toujours aussi vivace et oser évoquer d'autres pistes que celles de ce conte de fées tenait d'un véritable pari. Surtout face à des historiens bien décidés à fermer la porte à toute nouvelle investigation, ce qui est bien navrant.

    Si vous vous intéressez à ce dossier, vous pourrez vous procurer plus rapidement l'ouvrage de Louis PETRIAC sur notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

     

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