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    1ere Couv Guy Bourguignon 
    Soixante ans déjà, soixante ans ! Soixante ans qu'Edith PIAF nous quittait à Grasse suivie, quelques heures plus tard, par son ami, le poète Jean COCTEAU. Après une longue lutte contre une polyarthrite invalidante et des abus en tout genre qui avaient fait d'une jeune femme épanouie un être vieilli avant l'âge ! Et cela malgré une dernière histoire d'amour avec le jeune grec Théo SARAPO. Un bien triste anniversaire que beaucoup de chaînes de télévision avaient devancé en 2013 en nous proposant sur ARTE et FRANCE 2 plusieurs émissions rétrospectives. Ce qui nous avait permis de nous retremper dans l'univers d'Edith et de revoir au passage quelques images nostalgiques en réécoutant quelques succès inoubliables. Et en assistant à des obsèques inoubliables elles aussi (ci-dessus)
    Dans l'ouvrage publié également en 2013 et consacré à Guy BOURGUIGNON*, un ouvrage que le comédien Roland GIRAUD avait bien voulu préfacer, celui qu'Edith avait surnommé "la bête" et dont elle jalousait la culture, la grande chanteuse n'a pas été absente. Comment d'ailleurs aurait-elle pu l'être puisque l'une des trois femmes qu'avait épousé Guy, la Cannoise Ginou RICHER, était devenue pendant une dizaine d'années sa confidente. D'autant qu'Edith était capable, selon certains de ses proches, de changer en fonction de son humeur et... de ses amours du moment. Personne n'est par ailleurs jamais revenu sur ce qui opposait PIAF à Guy BOURGUIGNON auquel elle trouvait un bien mauvais caractère... bien des témoins de tout premier plan ayant disparu. On ne peut que se référer à un travail resté méconnu du jeune BOURGUIGNON : Positions sorti au printemps 1946 dans lequel Guy affirmait son désir de faire de la chanson oeuvre neuve sans échouer comme ceux qui avaient confondu "servir" la Chanson française avec "se servir".
    Les amateurs de Chanson française auront la possibilité  de retrouver la page que nous avions consacrée à PIAF en 2009 en se rendant dans notre galerie des aînés émérites. En bas et à gauche de la page d'accueil de ce site ou en cliquant sur Portrait Edith Piaf.pdf
     
     L'ouvrage consacré à Guy BOURGUIGNON, vous avez désormais la possibilité de vous le procurer en visitant notre boutique en ligne.

    * GUY BOURGUIGNON, le Compagnon de la Chanson périgourdin, Louis PETRIAC

    ISBN n° 978-2-918296-24-9 
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  • Helmut, l'amour platonique... ou pas de Magda Goebbels

    Magda et Helmut Quandt, amour platonique ou liaison ?Que n'a-t-on pas écrit à propos de la relation qu'entretenait Magda QUANDT (ci-dessus en compagnie de son vieil époux) avec son beau-fils Helmut, le garçon que l'industriel QUANDT avait eu avec sa première épouse Tonie ? Les historiens sont cependant unanimes pour reconnaître que la fille de Richard FRIEDLANDER avait craqué pour son beau-fils et qu'ils auraient même connu une brève liaison en 1927 au cours d'un séjour à Paris. Juste avant que le jeune homme de quasiment 18 ans ne soit emporté par une septicémie à la suite d'une appendicectomie mal soignée. Du moins, si l'on en croit les propos de certains de ceux qui étaient attachés au fonctionnement de la maisonnée QUANDT et qui se défiaient de la jeune épouse de l'industriel et de ses faux airs de midinette ambitieuse qui ne s'était pas encore boudinée. Ce qui était visiblement l'avis de l'auteur russe Léonid GUIRCHOVITCH puisqu'il évoque dans son "Meurtre sur la plage" des racontars de cuisinière à propos de cette possible liaison de la jeune épouse délaissée et de cet Helmut à la sensibilité affirmée si bien fait de sa personne. Selon Günther QUANDT, « Son fils était tombé dans les rets de cette femme de Putiphar (1) pendant une escapade à l'étranger ». Pour le biographe Hans-Otto MEISSNER, très attaché à l'image positive de Magda et il en a donné la preuve dans une biographie au style Harlequin, « celle-ci était trop femme, le coeur trop vide pour ne pas être émue par cette admiration passionnée de son beau-fils ».

    Les amants de Magda, la chienne, avaient souvent de la répartie...Louis PETRIAC revient dans son ouvrage (ci-contre) sur le détail de cette liaison qui aura précipité la future Magda GOEBBELS dans les bras d'un nouvel amant. Désespérée en 1924 par le départ pour la Palestine de son amour d'enfance Victor Haïm ARLOSOROFF qu'elle venait de retrouver, Magda semblait avoir été touchée par cet adolescent et par l'affection qu'Helmut lui témoignait. Pour le biographe Hans-Otto MEISSNER, Günther QUANDT n'était en revanche pas d'une tendresse infinie, tant pour son épouse que pour ses propres enfants. « En dehors des petites vexations matérielles relativement faciles à aplanir, écrit-il, elle se plaignait d'un refroidissement de plus en plus marqué des sentiments de son mari ». Tout poussait donc les deux êtres à une liaison qui n'a cependant pas été complètement démontrée, même si... Grand, svelte, d'apparence presque féminine, travaillant sans peine, Helmut ne pouvait que retenir l'attention d'une femme délaissée de vingt-cinq ans qui s'ennuyait dans une maison hostile. Alors qu'il avait tendrement aimé plus jeune sa jeune et jolie belle-mère, on peut dire qu'une fois devenu son chevalier servant et la sachant malheureuse, il l'aura adorée avec toute l'ardeur de son âge.

    L'ouvrage de Louis PETRIAC est désormais en vente dans notre boutique en ligne.

    (1) S'identifiant à Putiphar, QUANDT se serait-il considéré comme un eunuque justifiant l'intérêt de son épouse pour son fils ?  

     MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

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  •  Le S.T.O et la survie des "pris au piège"

    A un moment où notre pays redécouvre les punaises de lit, ce serait passer sous silence ce qu'avaient dû affronter ceux qui, embrigadés durant le STO (Service du Travail Obligatoire) avaient dû subir en Allemagne dans des baraquements de fortune où ces punaises de lit faisaient passer aux jeunes occupants des nuits épouvantables ! Dans son Journal d'un adolescent face à la guerre, Jean RODON en témoigne !

    (EJean Rodon a bien failli côtoyer le pire au STO !xtraits) : L'alternance du travail de jour et de nuit avait déclenché chez moi des crises d'insomnie épouvantables, qu'il m'était devenu impossible de maîtriser. Après de longues et nombreuses démarches menées auprès de la hiérarchie de l'usine, je réussis enfin à obtenir l'autorisation de travailler uniquement la nuit, mon équipier y trouvant des avantages. Indépendam-ment d'avoir retrouvé un meilleur équilibre, j'évitais de la sorte, écrit-il dans son ouvrageles horribles agressions de punaises, qui ne se produisaient que lorsque la chambre était plongée dans le noir. Sitôt arrivés et dès la première nuit, nous avions dû faire connaissance avec ces horribles bestioles. Il y en avait des milliers qui logeaient entre les rainures des lambris en bois des murs de la chambre, et qui n'en sortaient que lorsque la lumière était éteinte. Dès qu'on rallumait, on les voyait immédiatement circuler les unes derrière les autres pour se réfugier derrière et à l'intérieur des murs, quand elles ne vous tombaient pas dessus. Je passerais sur l'odeur épouvantable de la punaise écrasée ! Cela dura donc quelque temps durant ce séjour forcé en Allemagne. Les différentes opérations de désinfection n'ayant jamais réussi à les détruire totalement, elles étaient à nouveau présentes dans nos chambres une semaine après ! Certaines personnes, plus allergiques que d'autres à leurs piqûres, se retrouvaient le lendemain avec des boursouflures sur la peau et particulièrement sur le visage. Ce qui n'était pas mon cas, bien que je les sentais courir sur moi, mais sans craindre leurs piqûres. Malgré la grande fatigue que nous éprouvions les premiers jours, ces maudites bestioles arrivèrent tout de même à perturber nos précieuses heures de sommeil.

    Vous pouvez vous procurer cet ouvrage de Jean RODON dans notre boutique en ligne.

    JOURNAL D'UN ADOLESCENT FACE A LA GUERRE, Jean RODON, 978-2-918296-46-1

     

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  • Une aventure formidable !En Juillet 2012, alors que s'éloignait chaque jour un peu plus une passe difficile, m'est venue l'idée, à l'aide d'un bouquin d'humeur, de rendre hommage à toute une équipe. Celle avec laquelle j'avais travaillé et construit un ouvrage, le premier à pouvoir être proposé à un public assez large, amateur de belle Chanson française. Car, ce témoignage rendant grâce aux COMPAGNONS DE LA CHANSON, s'il m'a valu de devoir résister aux assauts d'une banque que je préfère aujourd'hui oublier, m'a aussi permis d'élargir sensiblement mes nouvelles fonctions d'éditeur débutant. Mon regret, celui que certains de ceux qui avaient contribué à la sortie de cet ouvrage nous aient quittés depuis. Je pense en premier lieu à l'ancien Compagnon Gérard SABBAT et à l'ancienne star de la Chanson Yvette GIRAUD et à son époux Marc HERRAND décédés depuis. Ils nous avaient fait l'amitié de parrainer une première séance dédicace à Lyon que nous avions pu proposer malgré une grève des cheminots qui aura beaucoup coûté au label que je venais de créer DECAL'AGE PRODUCTIONS.

    Ce bouquin d'humeur raconte comment ce projet d'édition un peu audacieux est né et comment chacun de ceux, rencontrés depuis, a contribué à apporter ses connaissances. De Marc HERRAND, l'ancien chef d'orchestre auteur de deux gros succès dont un créé avec Charles TRENET au fils de l'un des complices de Louis LIEBARD, Gérard MEYER rencontré durant l'été 2014 ! C'est indéniable, tous ces ouvrages auraient pu connaître un succès encore plus considérable si les médias avaient contribué davantage à les faire connaître ! Et si ils avaient été plus correctement diffusés ! Mais, ne boudons pas notre plaisir, avec tous ces passionnés, un site a pu voir le jour que j'ai longtemps animé. Et c'est bien là l'essentiel ! Au moment où je vais pouvoir faire valoir mes droits à la retraite et cesser mon activité, cet ouvrage d'humeur est toujours en vente et je me battrai pour qu'il le reste encore longtemps !

    Cet ouvrage vient d'être versé dans la boutique en ligne de ma maison d'édition.

    Louis PETRIAC

    PUBLIER DU COMPAGNONS DE LA CHANSON... Louis PETRIAC, 978-2-918296-16-4

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  • C'était, paraît-il, une mére idéale !...

    Qui était-elle cette femme pulpeuse qui, à seize ans déjà , avec un regard implorant et sans être d'une incroyable beauté, rendait tous les hommes fous de désir en exerçant sur eux une fascination irrésistible ?... Sûrement une mante religieuse qui, dans un pays gagné par la folie, aura renié son père, trahi son beau-père, et dévoré on ne sait combien de mâles, avant et pendant le mariage, animée par la seule envie de briller en société et de devenir une déesse de la nation allemande. Un être vénéneux qui n'hésitait pas, non plus, à dénoncer ses meilleures amies pour satisfaire sa perversité. On dira d'elle un peu plus tard, qu’elle avait voulu se convertir au judaïsme et apprendre l’hébreu en vue de s’installer en Palestine avec ce Victor qu’elle semble avoir aimé plus que tous les autres pourtant nombreux autour d’elle et qu’elle avait signé un pacte avec le diable… Ce qui n’est peut-être pas tout à fait faux.

    C'était, paraît-il, une mére idéale !...

    Son nom : Magda GOEBBELS ! Quelqu'un dont on a dit qu'elle était la mère idéale du Troisième Reich. Souvent entourée par des enfants qu'elle tuera pour six d'entre eux dans un bunker à Berlin en mai 1945, elle était aussi l'épouse dévouée d'un certain Joseph GOEBBELS, connu pour son antisémitisme et son mépris de l'être humain ! Les Juifs, surtout parce qu'ils n'avaient pas voulu publier certains de ses travaux de philosophie au début des années vingt ni en faire le chroniqueur régional qu'il aspirait devenir au début des années vingt !

    Un film d'Antoine VITKINE sur Magda GOEBBELS a été diffusé en soirée par FRANCE 2 le 21 novembre dernier (dans la série INFRAROUGE) dont a été tiré l'extrait accessible grâce au lien suivant ! Si vous avez envie d'être un peu plus dans l'ambiance et de découvrir quelles sont les raisons qui nous ont incité à produire cet ouvrage qui se situe à mille lieues de la propagande nazie et des autres documents consacrés à ce personnage énigmatique, il est à voir !

    Vous avez désormais pa possibilité de vous procurer cet ouvrage en vous rendant dans notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, 978-2-918296-43-0

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  • Notre ouvrage sur l'affaire Ranucci est disponible

    Affaire Ranucci... Les autres questions que s'est posé l'auteur

    Le lundi matin 3 juin 1974, comme il l'a reconnu, Christian RANUCCI (ci-contre) n'était pas clair quand il est parti de Marseille, après avoir tenté de joindre son copain de régiment Maurice BENVENUTTI et avoir enlevé la fillette, pas clair du tout. Un qualificatif qu’il aurait dû remplacer par l’emploi d’un terme comme « ivre » ce qui aurait évité bien des suppositions et il a dû y en avoir quelques-unes. Lorsqu’il s’est arrêté quelque temps avant d’atteindre le carrefour du lieu-dit de La Pomme pour fumer une cigarette, est-ce qu’il n’a pas voulu impressionner la gamine enlevée cité Sainte-Agnès en buvant devant elle une nouvelle rasade d’alcool à l’aide d’une bouteille qu’il laissera sur le bord de la route et qu’on ne retrouvera pas dans son coupé. Juste histoire d’avoir voulu jouer les « kékés » devant la gamine. Encore que l’on ait bien saisi dans celui-ci un autre flacon intitulé My drink qui avait subi lui aussi une assez large ponction ! C’est une hypothèse qui laisserait entendre que Christian RANUCCI savait s’entourer de « munitions » avant de partir en goguette. Il est par ailleurs tout à fait possible que ce soit au cours de cette « pause cigarette » que le jeune homme ait acheté ces biscuits retrouvés dans son coupé. Ne serait-ce que pour calmer la faim de la petite alors qu’il était quasiment midi et l’heure de passer à table. Une petite qu’il avait semble-t-il projeté de ramener chez elle sans histoire après s’être promené avec elle. Avec au plan psychanalytique – cela a été évoqué – un acte de restitution destiné à réhabiliter l’image du père qui avait longtemps menacé sa mère de le soustraire, lui, à son affection ! Une image à laquelle il s’était juré de ne jamais ressembler. 

    Affaire Ranucci... Les autres questions que s'est posé l'auteur

    En tout cas, ce qui apparaît possible à l'auteur de ce nouvel ouvrage sur l'affaire, c’est le fait que le jeune niçois ait effectivement pu enlever la petite Marie-Dolorès et tout le démontre si on place bout à bout les éléments dont on dispose. D’autant qu’il n’a aucun alibi entre 9h30 l’heure où a été vu à Allauch et 12h15 l’heure où il a eu cet accident à La Pomme. Et cela malgré le fait qu’il n’ait pas fait figurer sur le plan proposé aux enquêteurs le camion de pizzas de Guy ROSANO (dessin ci-dessus). D’autant qu’il était tout à fait capable de déformer les faits et de nier avoir enlevé la fillette, tout comme il avait nié avoir grillé le stop au carrefour de La Pomme en prétendant qu’il avait voulu démarrer en seconde. Le comportement qu’il a observé démontre également cet enlèvement. En effet, cette précipitation avec laquelle il a voulu quitter les lieux de la collision tranche avec le peu d’urgence qu’il avait manifesté après avoir renversé le chien à 20h30 à Marseille ou là il avait même pris le temps d’échanger son identité avec ce témoin qu’était un certain MOUSSY. Et ce qui pourrait expliquer sa présence dans ce quartier marseillais des Chartreux n’était-ce pas plutôt cette volonté de s’être lancé à la recherche du domicile de son copain de régiment Maurice BENVENUTTI qui avait demeuré quelque temps au 51 de l’avenue Alphonse Daudet à deux pas de la rue Albe et donc de l’endroit où avaient joué les deux enfants Rambla. Ce BENVENUTTI qu’il avait connu en Allemagne à Wittlich et auquel il souhaitait surtout montrer son beau coupé Peugeot et avec lequel il avait également sympathisé comme cela avait été le cas avec ce Alain RABINEAU auquel il avait du reste proposé de l’accompagner durant ce périple des 2 et 3 juin sans cependant que ce dernier accepte. Mais, ce matin-là, et cela aura joué dans la suite des événements, il avait déjà essuyé un autre échec à Allauch, à neuf kilomètres de là, Allauch où demeurait son père Jean dont il avait été séparé à l’âge de quatre/cinq ans. 

    Je suis convaincu, dira l'auteur Louis PETRIAC, qu’il aurait disposé d’assez de temps pour revenir d’Allauch après son rendez-vous manqué chez son père où on dit l’avoir aperçu vers 9h30 – 9h45, pour rechercher le domicile de son copain de régiment avenue Alphonse Daudet, et enlever la gamine après s’être d’abord garé à proximité de la résidence Sainte-Agnès où il avait finalement aperçu les deux enfants jouer. Car et c’est démontré par un enquêteur, il ne lui aurait pas fallu plus de vingt minutes pour faire les neuf kilomètres qui séparaient Allauch du quartier des Chartreux !

    Si l'affaire vous intéresse, vous pourrez vous procurer cet ouvrage en vous rendant dans notre boutique en ligne en le sélectionnant parmi la quarantaine de livres proposés. Il vous sera aussitôt adressé.

    CHRISTIAN RANUCCI... CE SALE GOSSE ETAIT-IL INNOCENT OU COUPABLE ? Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-59-1

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  • Jean Rodon et sa vision de jeune adulte

    Il avait longtemps conservé jalousement tous les souvenirs liés à ses différentes luttes et ces luttes, il y en a eu quelques-unes entreprises même dès son plus jeune âge. D'abord confronté à un monde qu'il réprouvait au sein d'un atelier pétainiste de mécanique générale qui avait choisi de collaborer avec l'Allemagne nazie, il devra après-guerre, chez d'autres employeurs, découvrir la rouerie. Avant qu'un jour lui vienne l'envie de partager ses souvenirs avec d'autres, en les évoquant dans des mémoires, au terme d'un travail qui l'aura occupé... huit ans.

    Jean Rodon et sa vision de jeune adulte

    Huit années passés à se souvenir de ce qu'avait pu être l'existence d'un gamin né à Verdun un jour de février 1923. Il le confie en préambule d'un journal d'adolescent que nous avons publié durant l'hiver 2018, Jean voulait devenir artiste et peindre. Sans imaginer encore en 1938 et des temps déjà troublés par les bruits de botte qu'il allait devoir renoncer à tous ses projets et qu'il allait devoir gagner son pain plus concrètement au sein d'un atelier parisien de la rue du Temple. C'est au cours de cette période qu'il découvrira l'amour et aussi le drame des premières séparations. Agé d'à peine vingt ans, il devra en effet quitter son emploi et accepter contraint et forcé d'aller travailler en Allemagne pour la machine de guerre nazie. Il ne reverra plus jamais Sophie, la petite ouvrière dont il était tombé éperdument amoureux et, révolté par ce qu'il vivra à Hennigsdorf durant un peu plus de trois ans, il entreprendra ensuite de militer pour défendre les plus faibles.

    Comme quelques autres jeunes gens et celui qui parle ci-dessous, il n'aura finalement eu qu'un seul tort, celui d'avoir eu vingt ans en 1943 et d'avoir été contraint de subir le STO, une ignominie qui ne sera jamais reconnue. Parce qu'on les soupçonnera de collabos et qu'on les accueillera à leur retour en France comme des chiens ! Il faudra néanmoins réapprendre à vivre et reconstruire ce qui avait été démoli, et, parallèlement à ses multiples emplois, il deviendra militant syndical. Un militant qui aura participé à pas mal de défilés, surtout au cours des défilés revendicatifs du Premier Mai. Ce journal d'adolescence qui le voit revenir dans le détail sur son embrigadement pour le STO a été tiré de mémoires destinées aux siens, que nous lui proposerons de publier à l'automne 2018.

    Cet ouvrage, vous pouvez vous le procurer en vous rendant dans notre boutique en ligne

    JOURNAL D'UN ADOLESCENT FACE A LA GUERRE, Jean RODON, 978-6-918296-46-1

     

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  • Magda Goebbels... Mais qui était-elle vraiment ?Magda GOEBBELS aimait donner une bonne image d'elle et mettre en avant des valeurs morales auxquelles elle prétendait être sensible. Souvent déçue par les autres, elle donnait pourtant le sentiment de ne pas éprouver le moindre intérêt pour eux, ni la moindre empathie, tout en souhaitant que l'on s'intéresse cependant à elle. Parfois séduisante à défaut d'être vraiment d'une beauté renversante, surtout au début des années trente (photo) et de son ascension nazie, indéniablement brillante, on la disait souvent froide voire glaçante par des propos blessants, affichant un air moralisateur, supérieur et distant. Celui d'un être qui n'admettait aucun reproche, jugeant inutile d'observer une quelconque remise en cause. Cherchait-elle à travers son entourage l'image de quelqu'un auquel elle aurait voulu ressembler et s'identifier ? Sans doute ! Parce qu'elle se sentait niée et qu'elle était née sans père à sa naissance et sans avoir été désirée par une mère qui collectionnait les aventures et qui, en véritable "cocotte" n'ambitionnait qu'à se mettre à l'abri sur l'instant ! Sans personnalité propre, l'énorme besoin de reconnaissance de Magda GOEBBELS l'amenait à passer d'une brillante phase de séduction à une phase qui la voyait devenir une créature faible et innocente, gardant son véritable visage de démon pour celui ou celle qu'elle avait choisi de mettre à terre.

    19 déc.1931... Le mariage de Magda Goebbels, une messe noire ?

    Inutile de dire que nos recherches se sont révélées être intéressantes et même enthousiasmantes. Certes, ce portrait a mis du temps à se dessiner et il ne s'est imposé à nous qu'après une lecture des ouvrages ou biographies et de plusieurs autres documents qui ont été consacrés à ce personnage sulfureux qu'était l'épouse de Joseph GOEBBELS. Soucieuses de la dépeindre sous des traits assez favorables, surtout après cet assassinat dans le bunker survenu en mai 1945, précisons que sa mère Auguste BEHREND et que sa belle-soeur Ello QUANDT étaient intervenues auprès des tout premiers biographes, dont un certain Hans-Otto MEISSNER, aidant la plupart de ceux qui avaient choisi de dire qui était cette femme. Sans se rendre compte qu'elles avaient toutes les deux contribué à déformer la réalité. Un mythe avait été créé et de l'avis de nombre de chercheurs il convenait que l'on retienne que c'était par seul intérêt pour ce Führer qu'elle avait longtemps poursuivi de ses assiduités, que cette "mère idéale" avait choisi de sacrifier six de ses sept enfants. En oubliant de préciser que cette Magda GOEBBELS était une... perverse narcissique dont les traits seront quelques décades plus tard dépeints dans un ouvrage consacré aux pervers et au harcèlement moral. Mais, dans les années qui ont suivi cette affreuse guerre et la barbarie nazie, savait-on en dehors d'un FREUD vilipendé par les nazis ce qu'était réellement un pervers narcissique ?

    L'ouvrage est désormais commercialisé dans notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC ISBN 978-2-918296-43-0

      

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  • Yvette Giraud... L'une des plus grandes !

    Yvette Giraud... L'une des plus grandes !Ce n'est pas Marc HERRAND, l'ancien COMPAGNON DE LA CHANSON devenu son époux après avoir magnifiquement réussi à faire tinter les cloches de ces derniers qui nous aurait contredit, Yvette GIRAUD restera éternellement comme l'une des voix les plus chaleureuses d'une France qui se relevait au terme d'un cauchemar de cinq longues années ! Avec ce joli timbre si particulier qui lui avait permis de gravir tous les échelons et de se hisser au sommet. Jusqu'à ce que Marc et Yvette, les "Amoureux de la Chanson française" prennent la décision, un beau jour de 1955, d'aller enchanter régulièrement le Japon. Un périple sur lequel ils sont revenus en 2005, consacrant un ouvrage à cette "route enchantée" qui les avait menés au Pays du Soleil Levant. 

    Nous aurons en ce dimanche 24 une pensée particulière pour cette Mademoiselle Hortensia" restée dans nos cœurs qui avait vu le jour un 24 septembre de l'année 1916 et qui aura dû attendre d'avoir quasiment trente ans pour découvrir des potentialités qui en feront ce qu'elle deviendra ensuite rapidement. Cette grande interprète de music-hall qui aura honoré notre France d'après-guerre aux côtés d'une pléiade d'artistes exceptionnels ! Nous l'avions rencontré à plusieurs reprises avant sa disparition voici trois ans, notamment à l'occasion de la publication de nos ouvrages sur les COMPAGNONS DE LA CHANSON à Lyon puis Cran-Gevrier. Yvette nous a quittés à l'été 2014, elle allait avoir 98 ans, mais depuis juillet dernier elle a retrouvé son Marc là-haut et les deux amoureux sont à nouveau réunis !

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  •  Ils ont longtemps honoré la Chanson française...

    Il nous reste encore un certain nombre d'exemplaires du tout premier ouvrage sur les Compagnons de la Chanson qui avait été publié par Louis PETRIAC à la fin de l'année 2007 :

    Les COMPAGNONS DE LA CHANSON : des marchands de bonheur, allez savoir pourquoi

    Nous vous proposons ces exemplaires au prix exceptionnel de 5 € (prix coûtant) majoré des frais de port, soit par ouvrage la somme de 10 € ou 17 € pour deux exemplaires.

    Si vous étiez intéressé(s) par cette offre valable jusqu'en fin d'année, merci de nous contacter à notre adresse mail : decal-age.productions@laposte.net

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  • Le chercheur Jean-Loup d'Hondt et son opinion sur la médecine

    (Extraits) Certains gestes, même peu répétitifs, m'ont fait souffrir de rhumatismes, parfois très douloureux, et ceci depuis ma prime enfance ; dès mon jeune âge, cela m'a dissuadé d'effectuer tout exercice physique, parfois au prix d'un blocage intellectuel. Par ailleurs, depuis 1954, je suis victime de problèmes articulaires récurrents ; 1954 c'était l'année où je m'étais cassé la jambe, lors d'une simple chute dans la cour du lycée qui aurait dû être bénigne, une semaine avant la date de mon examen d'entrée en sixième que je n'ai donc passé qu'à la deuxième session, en septembre. J'avais en conséquence eu la jambe plâtrée pendant cinq semaines dans une clinique des allées de Morlaàs successivement dirigée par les sœurs Irène et Sabine, par les soins d'un chirurgien, le Dr. GAUCHER. Mais ma cheville ayant légèrement bougé pendant la période de convalescence, mon articulation s'est de ce fait mal consolidée, la pointe du pied ayant dévié vers l'extérieur par rapport à son axe. Avec le temps, ma démarche est devenue progressivement irrégulière et difficile, et il m'arrive comme Alfred GIARD d'avoir tendance à marcher "en crabe". Mes articulations (chevilles, genoux, et par la suite colonne vertébrale) ont été de plus en plus douloureuses, et j'ai en conséquence été victime à plusieurs reprises de chutes, surtout en 2001 avec une destruction suivie d'arthrose du genou gauche, et depuis la fin 2017 avec un déplacement de l'articulation du genou droit, et également de l'arthrose. Certains jours, j'avoue que, outre la sensation mécanique d'avoir des difficultés à me déplacer, la douleur me fait vivre depuis lors un véritable supplice...

    Selon les cas, il peut s'ensuivre l'instauration de contraintes, des acceptations consentantes parce que forcées, l'introduction d'une subordination parfois malsaine, l'utilisation par une personne d'une autre à son profit, sinon un comportement de prédateur, l'introduction non voulue d'autrui à son domicile ou même dans sa vie. Un cas particulier sur lequel il importe d'insister sur la défiance qu'il convient, contre toute attente, d'exercer vis-à-vis des médecins, auxquels leurs patients sont conditionnés, pour leur faire a priori confiance. En effet, autant mon épouse Marie-José que moi-même, avons été les victimes de praticiens malhonnêtes, n'hésitant pas à tester officieusement des médicaments dans la commercialisation desquels ils sont peut-être financièrement intéressés, sans étiquette de firme pharmaceutique ni d'autorisation, ni d'information sur leur composition, à titre expérimental, au mépris des effets secondaires qu'ils pourraient engendrer, et dont nous avons tous deux été les victimes.

    A méditer en période de vaccination outrancière pratiquée sans discernement.

    ZOOLOGISTE PAR VOCATION, Jean-Loup d'HONDT, ISBN 978-2-954453-4-53

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  •  Mai 1945 : La petite Helga Goebbels ne voulait pas mourir...

    Magda, la chienne du Troisième Reich... découvrez un extrait des textes !

    Il est démontré aujourd’hui que la fille aînée des GOEBBELS, Helga, âgée de quasiment treize ans en avril 1945, s'était rendue compte sur la fin du sort qu’on lui avait réservé. Les nombreuses ecchymoses retrouvées autour de la bouche de l'adolescente le démontrent, elle aurait même lutté contre la main assassine de sa mère, se débattant pour ne pas absorber le cyanure contenu dans la capsule que l’on s’était efforcé de briser dans sa bouche. Longtemps, Helga avait été présentée comme la petite préférée d’Adolf HITLER, une idée cependant rejetée par Kathe HUBNER, la gouvernante des enfants GOEBBELS. La nounou évoque plutôt une éventualité qui plaisait bien à des médias parfois insistants et qui sait, sans doute aussi à la propagande de son père. Sur les quelques images qui ont succédé à celles de l’enfant batailleur qu’elle était jusqu’à l’âge de quatre ou cinq ans et dont Emma CRAIGIE s'est servie pour illustrer un ouvrage bouleversant (photo ci-contre), on aperçoit une Helga devenue timide et plus sensible, plus intériorisée. Celle aussi d’une gamine qui avait compris beaucoup de choses et qui commençait à en mesurer la gravité. Une gamine qui se détachait d'une mère dont elle percevait mieux les attentes. 

    Je suis horrifiée, dira Kathe, à la seule idée que cette petite Helga, une jeune fille de presque treize ans, sentant le danger de la situation et la malhonnêteté de ceux qu’elle croisait dans le bunker, ainsi que la déloyauté de ses père et mère et des autres adultes, n’ait pu partager ses craintes sans méfiance avec son jeune frère et ses sœurs, parce qu’ils étaient trop petits pour comprendre. La réaction de la plus jeune, la petite Heide, quand elle croisera pour la dernière fois l'employé aux liaisons téléphoniques du bunker, Rochus MISCH le démontre. Il était évident qu’il a dû y avoir des signes de désespoir chez cette gamine, à l’intellect déjà affirmé. D’autant qu’à côté de la maison qu’elle occupait, elle devait avoir vu un grand nombre de femmes et d’enfants qui avaient fui devant l’armée russe raconter des horreurs inimaginables. Horreurs qui contredisaient totalement les fables contées par ses parents. Au point, dira-t-on, que l’adolescente se demandait sur la fin si les Russes n’allaient pas venir les assassiner.

    Dans son ouvrage consacré à Joseph Goebbels, le biographe Toby THACKER précise qu’au début de l’année 1945, son père avait eu une conversation avec sa fille aînée. A près de treize ans, elle était devenue paresseuse à l’école et observait une sorte de laisser-aller. Sans doute le fait d’avoir perdu sa voisine la plus directe à Schwanenwerder, la petite GOLDSCHMIDT, avait-il déclenché chez elle un début d’interrogation quelques mois auparavant. « Guerre totale » ou « Solution finale », tous ces termes qu’elle entendait régulièrement prononcés par son père, n’avaient plus rien à présent de termes insignifiants. Pour que sa petite copine ait ainsi disparu, c’est qu’il s’était passé quelque chose. Quelque chose qu’elle n’était pas arrivée à saisir et qu’on lui cachait, sa mère la première. Et continuer à vaquer à ses occupations et ses études sans se soucier de ce qui arrivait n’était plus possible pour l’adolescente.

    L'ouvrage de Louis PETRIAC que vous pourrez vous procurer est à découvrir en ligne dans notre boutique en ligne !

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, 978-2-918296-43-0

     

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  • Claude Fischer vous entraîne dans le monde vibratoire...

    Claude Fischer vous entraîne dans le monde vibratoire...

    Claude FISCHER vous l'avait indiqué dans un ouvrage publié en 2014, et nous l'avons répété encore et encore, tout autour de nous vibre, chaque composante de notre univers vibrant en émettant des ondes de forme parce que rien n'est immobile et que tous les corps remuent ! Mais que dit-il au juste notre magnétiseur ? Voyons !

    Sans que nous en ayons conscience car il est impossible de les détecter à l'oeil nu, dites-vous que chacun des éléments de l'univers, êtres ou objets, vous comme moi ou comme tout ce qui nous entoure émet des vibrations ou ondes de forme. La chaise sur laquelle vous êtes assis pour me lire vibre, votre table et votre mobilier aussi, vos animaux de compagnie ou ceux qui vivent autour de vous vibrent également. Il est cependant normal que vous ne vous soyez aperçu de rien parce que ces vibrations ou nano vibrations ne représentent que le milliardième de ce qui pourrait être perceptible. Et je vais sans doute vous sidérer en vous disant que la COVID-19 comme n'importe quelle composante de notre univers vibre aussi ! Intéressant, non ? Ainsi, chaque être, chaque animal, végétal ou même chaque cristal et donc tout ce qui vit, dispose d'une fréquence vibratoire de nature quantique propre à l'énergie qui l'habite. Un taux de fréquence vibratoire qui peut varier d'un individu ou d'une espèce à l'autre, en fonction de son environnement, de son humeur, de son stress, de ses maladies, et, pour les individus, de ses pensées ou fréquentations... Cette énergie vibratoire qui se dégage de chaque espèce ou chaque végétal, se dégage également d'entités comme les virus ou comme la COVID-19, et elle est mesurable en unités Bovis. Bovis parce que ces unités portent le nom d'un des premiers radiesthésistes connus, un dénommé Alfred BOVIS qui, voulant parvenir à déceler le sexe des oeufs qu'il mettait en couveuse en 1936 découvrira ce que pouvait être la radiesthésie.

    Vous voulez en savoir davantage encore ? Alors, lisez Surprenante énergie, il serait étonnant que vous ne vous passionniez pas pour tout cela ! Vous le trouverez dans notre boutique en ligne.

    SURPRENANTE ENERGIE, Claude FISCHER, ISBN 978-2-918296-5-15  

     

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