• Un article sur l'atelier de Decal'Age Productions...

    Une visite avait été organisée le 6 février dernier par la ville de Périgueux qui expliquait dans quelles conditions avait été créée la maison que nous occupons depuis maintenant plus de vingt ans et qui abritait auparavant nos premières activités d'écrivain public avant d'abriter celles d'une société d'éditeur. Incontestablement de quoi garnir un article, celui de la DL, l'un de nos supporters, qui était paru le même 6 février. Cette visite nous aura donné l'occasion de présenter brièvement aux quelques trente personnes présentes quelles étaient les activités que nous exercions dans ce lieu historique.

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    Les amants de la chienne avaient souvent de la répartie...

    Les deux époux de Magda... Rira bien qui rira le dernier !

    Les amants de Magda, la chienne, avaient souvent de la répartie...

    S'ils avaient des facultés orales et de la répartie, ils avaient toutes les chances de plaire à la "Première Dame du Troisième Reich" car c'est surtout vers les tribuns qu'allaient les préférences de l'allumeuse que savait être Magda GOEBBELS ! Les autres n'étant que des partenaires occasionnels de jeux destinés à tromper l'ennui d'une bourgeoise désoeuvrée ! Ce qui sera le cas d'hommes comme le jeune étudiant Ernst qui avait en plus le tort d'être juif, ou comme l'aventurier Kurt LUDECKE, sans oublier l'ami de l'opportuniste SPEER, un certain Karl HANKE voire en fin de course Werner NAUMANN ou ce fameux neveu du Président HOOVER qui, bien que n'ayant jamais existé selon le responsable de sa bibliothèque, revient dans la plupart des témoignages ! Comme le dira son futur époux et bras droit du "Fiancé de l'Allemagne", elle était dans sa vie d'avant très légère et irréfléchie. Une cadence qui ne ralentira cependant pas dans "la vie d'après" devenant "le pendant" des infidélités du nabot nazi ! Le seul avec lequel elle aurait bien voulu partager sa couche était ce Führer au regard hypnotique mais puisqu'il prétendait avoir été appelé par le destin à d'autres responsabilités, elle devra baisser pavillon !... 

    Les amants de la chienne avaient souvent de la répartie...Séduite par les facultés d'orateur de Victor Haïm ARLOSOROFF (en photo ci-contre),  elle s'est longtemps vue suivre ce dernier en Palestine alors qu'elle sortait tout juste de ses premiers émois sexuels et qu'elle venait de découvrir son corps. Mais Victor la laissera à deux reprises désemparée sur le quai d'une gare à Berlin. La première fois alors qu'elle aurait été prête à suivre au bout du monde celui qui avait cueilli ses seize ans sans se faire prier et la seconde alors qu'elle venait d'épouser l'industriel QUANDT avec lequel elle n'était pas heureuse. Parce qu'il n'avait jamais su en faire l'escort-girl qu'elle rêvait de devenir dans la haute société berlinoise où elle n'était pas destinée à jouer les potiches !

    Le futur Gauleiter de Berlin, Joseph GOEBBELS, sans être un bel homme, savait, lui, haranguer les foules l'index pointé vers ceux qu'il estimait coupables de tous les maux possibles et inimaginables de la terre. Qu'ils soient juifs, handicapés ou simplement des opposants à la terreur qu'il servait. Et cette puissance-là avait su capter l'attention d'une femme déjà passablement remuée qui était surtout sensible à ses capacités de tribun au service d'une idéologie condamnable. Seulement GOEBBELS n'était que le second de la hiérarchie nazie derrière un autre tribun et non des moindres : Adolf HITLER qui avait pour lui d'illustrer le sommet de la puissance que convoitait l'égérie nazie.

    Le portrait sans concession de Louis PETRIAC est désormais commercialisé sur notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

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  • Depuis la sortie de notre dernier ouvrage, la question est souvent revenue. Il est vrai qu'après avoir consacré certaines de nos publications à un domaine totalement différent, celui de la Chanson française, ce choix pouvait interpeller. Encore que, s'agissant du conflit 1939-45, nous avions déjà consacré un témoignage à un ancien maquisard périgourdin, le quatrième de notre catalogue (en photo ci-contre).Les raisons d'un ouvrage de plus sur Magda Goebbels...

    Nicolas ROCHE pour son média PAROLES D'ACTU nous a donnés l'occasion dernièrement de nous expliquer par le truchement de l'auteur sur les raisons qui avaient été le déclencheur de cette soudaine envie d'aller plus au fond d'un dossier. Ce dernier, ne donnait-il pas le sentiment de s'être englué dans une propagande nazie, celle de Joseph GOEBBELS, toujours aussi efficace longtemps après ? Et puisque FRANCE 2 allait consacrer une soirée à cette "Première Dame du Troisième Reich", l'occasion était toute trouvée.

    "Au départ, il n’était pas question de rechercher des informations sur cette nazie. Comme beaucoup, a précisé Louis PETRIAC à Nicolas ROCHE, j’avais su ce qui était arrivé dans ce bunker, mais je n’avais jamais approfondi la chose. L’ouvrage sur cette Magda commandé chez Price Minister n’avait été commandé que pour m’aider à cerner l’atmosphère en Allemagne et donner une suite à la biographie silésienne sur laquelle j’avais commencé à travailler. J’étais encore loin de me douter que ce livre écrit en 2005 par Anja KLABUNDE allait déclencher ce qu’il a déclenché en moi, un sentiment où se mêlaient révolte et répulsion, et aussi le besoin de comprendre. À tel point que, différant les travaux entrepris sans obligation de production imminente, j’ai commencé à surfer sur le net, tombant sur un tout autre discours, celui d’un Argentin, MENDOZA, qui avait de son côté enquêté sur le personnage. Il livrait une toute autre vérité. Qui avait donc raison ? KLABUNDE la biographe allemande ou MENDOZA cet Argentin ?"

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    Vouloir utiliser autrui à ses propres fins en « pompant » l’énergie et l’estime de soi du conjoint ou du subordonné, telle serait la définition la plus simple qui collerait le mieux au pervers narcissique. Marquée par l’absence de repères chez un jeune enfant, cette psycho névrose affecterait selon les spécialistes de plus en plus de sujets (75% d’hommes et… 25% de femmes). S’inspirant de faits réels, la fiction qui va être publiée et décrivant l’attitude glaciale d’une perverse narcissique se définissant ici comme un être de lumière avide de reconnaissance, prêterait presque à sourire. Pourtant, et, plus inquiétant encore, notre société fabriquerait aujourd’hui de plus en plus de ces pervers narcissiques difficiles à repérer au premier abord...

    Attention, soyez vigilants, le cauchemar a peut-être déjà commencé. Insidieusement, sans que vous en soyez conscients. Entre amour et admiration et sur fond de manipulation mentale ou parce que vous êtes fasciné(e) par quelqu'un. Parce qu’ils (ou elles) plaisent par leur côté charmeur et flatteur et que vous allez pouvoir leur donner un temps un reflet valorisant de ce qu‘ils croient être ! Avant qu'ils ou qu'elles ne vous le fassent regretter amèrement !

    Un dossier de presse avec quelques extraits a été conçu lors du lancement de cet ouvrage qui est accessible.  Il y aura seulement à changer nos coordonnées téléphoniques !

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  • Parfum de diable d'Edouard Duf, le dossier de presse...Nous avions évoqué sa sortie à la fin de l'année dernière et mis en ligne quelques extraits de ses chroniques, le dossier de presse de PARFUM DE DIABLE d'Edouard DUF publié avant Noël est désormais accessible, tant ici que sur sa page Twitter !

    Opéré miraculeusement à l'âge de dix-huit mois (!!!) après avoir ingéré un verre de soude caustique, cet ouvrage c'est aussi pour Edouard une façon de conjurer le mauvais sort et de donner une preuve d'un talent qui ne demandait qu'à s'affirmer et à être encouragé.

    http://ekladata.com/m5jL6LdnI4uZKMs7m0g_fSt3ipg/Medias-Dossier-presse-Duf.pdf

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  • Une nouvelle télé réalité très contestée et contestable...

    Une nouvelle télé réalité très contestée et contestable...Après les réactions épidermiques de jeunes paumés en vase clos, la résistance d’aventuriers affamés sous les tropiques et l’apprentissage d’artistes promis à des lendemains qui chantent, ce challenge que s'apprêtent à proposer DEMO FRANCE et un jeune chef d'entreprise de Bressoire est difficilement acceptable au plan de l’éthique. Mais s'il l'est, c'est parce que, parmi les six entreprises candidates promises à une reconnaissance médiatique, une seule survivra et que les autres seront montrées du doigt ! Ce qui risque de hérisser le MEDEF ! Or, un seul homme sait qu’il s’agit d’une gigantesque escroquerie. Il a prévu d’en révéler les détails pour se venger d’avoir été dépossédé par ce jeune chef d'entreprise de la maison d’édition qu’il avait créée. Seulement, tué par un mystérieux prédateur, il n'en n'aura pas l'occasion.

    (EXTRAITS)... Qu’en pleine crise économique, on puisse ainsi proposer à de jeunes créateurs d’entreprise un tel jeu s’inspirant de concepts comme la Star’Ac, axé sur l’élimination de concurrents décidés à en découdre sous les yeux de millions de témoins, cela avait pour lui de quoi stupéfier ! La bêtise et la rapacité n’auraient-elles donc aujourd'hui plus de limites ! Car ce challenge que ce chef d'entreprise présentait comme un outil novateur était, qu’on le veuille ou non, une véritable médiatisation de l’échec ! S’il y avait un gagnant, en admettant qu’il y en ait un, il y aurait aussi inévitablement des perdants ! Et chacun pouvait d’ores et déjà deviner quel serait ensuite leur avenir !… Déformer l’image des autres tout en valorisant au passage la sienne, en dénonçant ce que tous les candidats étaient prêts à faire pour l’emporter, en jouant sur les travers humains et le manque de droiture de certains d’entre eux, ce créateur était ignoble ! Qui voudrait confier des marchés à des entreprises dont les traits et les défauts des dirigeants auraient été outrageusement grossis dans une émission de télé-poubelle ? 

    Etre le spectateur privilégié d’un scénario où il avait prévu de jeter à des molosses affamés quelques prédateurs néophytes en mal de sensation et avides de reconnaissance… Sous couvert d’une promotion de la vacherie puisque tout le monde pourrait être témoin des décisions prises d’ordinaire en conseil d’administration, il y avait là de quoi attirer beaucoup de monde… Dans l'esprit du créateur de cette télé réalité, cela pouvait être bougrement jubilatoire !… Assister en live à la mise à mort d’une entreprise par une autre, cela en ferait saliver quelques-uns. Dans les salons bien-pensants comme ailleurs. Et, jouer sur l’état d’esprit actuel, cela pouvait rapporter énormément d’argent. Au moins la bagatelle, chaque semaine, de quatre à cinq millions d’euros avec quinze millions d’appels attendus à 0,34 € la minute dont un certain nombre de SMS, sans compter les connections sur le site Internet créé pour l’occasion et sur la vente de tous les produits dérivés. Si ce n'était pas ça, valoriser une entreprise et croire en l’imbécillité des autres, alors, qu’est-ce que c’était ?…

    Jusqu'où serait-on prêt à aller aujourd'hui pour gagner énormément d'argent ? Avec cette nouvelle télé réalité prête à voir le jour, on pourrait se poser la question.

    NEGATIONS, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-37-9

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  • Paroles d'actu (extraits de tribune)...

    Paroles d'actu (extraits de tribune)...

    Les amants de Magda, la chienne, avaient souvent de la répartie...Parmi les multiples questions qui ont été posées à l'auteur de Magda, la chienne du Troisième Reich par Nicolas Roche pour Paroles d'Actu, celle qui suit et qui a le mérite d'aborder l'une des divergences qui opposent certains historiens émérites quant à la naissance de l'égérie nazie.

    Q : Vous, Louis Pétriac, avez la conviction que le père biologique de Magda était en fait l’amant et futur second mari de sa mère, le commerçant juif Richard Friedländer. Qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Parlez-nous un peu de ses premières années, et de sa mère, dont on sent à travers votre récit qu’elle a eu sur elle, sur la manière dont elle s’est forgée, un poids décisif ?

    R : La biographe Anja Klabunde parle très bien de Magda Goebbels, trop bien même, avec des expressions très contenues. «  Son corps connaissait une véritable révolution, écrit-elle, elle était fort en avance sur ses camarades de classe…» J’avais déjà pu me procurer un extrait du film de Vitkine diffusé en Belgique et en Suisse en étant attentif aux propos de Tobie Nathan sur les fondements d’une personnalité. « C’est une orpheline qui avait des problèmes de filiation, elle avait été mise en pension en Belgique. On sait ce que ça donne : changement de langue, de milieu, changement de perception du monde ! Ça donne des gens qui ne sont plus certains de la consistance du monde, se disant qu’il a changé une fois et qu’il pourrait très bien changer encore, encore et encore. Ils cherchent quelque chose auquel se raccrocher…». Y a-t-il eu, ce faisant, des violences psychologiques que la fillette aurait pu subir chez les Ursulines de Vilvoorde ? Ce n’est pas impossible non plus puisqu’on évoque en début de journée des toilettes où l’on devait se débarbouiller à l’eau froide sans ôter sa chemise de nuit. Sans doute pour que les gamines aux portes de l’adolescence ne soient pas amenées à faire des comparaisons hasardeuses entre elles. À la décharge de Magda, il fallait faire appel à des capacités d’adaptation énormes. Sa mère ne l’aimait pas et n’avait pas désiré sa naissance, lui cachant certaines choses importantes, dissimulant par exemple qui était son véritable père. Je me suis d’ailleurs demandé si ce Richard Friedländer, âgé d’à peine vingt ans en 1900, avait été informé de la grossesse d’Auguste Behrend, cette petite bonne que la Famille Quandt prenait pour une cocotte, sorte de Dame aux camélias, s’il faut en croire Anja Klabunde.

    Un ouvrage, peut-être bien le vingtième que je découvrais évoquait cette piste Friedländer, celui d’un dénommé Léonid Guirchovitch qui, lui aussi, avait étudié la piste Arlosoroff. Mais avec un chapitre qui ne pouvait que m’inciter à réfléchir et issu d’un journal intime de Magda qui, selon lui, n’a jamais été publié, alors que d’autres nient l’existence d’un tel document. Je le cite.

    « 9 sept. 1914… L’autre, est la fille qu’une jolie femme de chambre conçut avec un client de l’hôtel où elle travaillait.»

    Certes, on pourrait regretter que ces données aient été romancées et qu’elles pourraient donc être sujettes à caution. Mais, les auteurs de tous ces romans se sont forcément appuyés sur des données concrètes comme celles recueillies par Emma Craigie qui a entendu la gouvernante des Goebbels évoquer ce que pouvait être le quotidien des enfants martyrs. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour Nerin Gun qui a travaillé avec les parents d’Eva Braun et pour Léonid Guirchovitch. Sans oublier Sébastien Spitzer qui a évoqué devant le micro d’une radio belge des recherches menées à Buchenwald même. L’ouvrage de Guirchovitch publié chez Verdier en 2014 n’a curieusement pas fait l’objet d’un très gros battage. Pourtant, l’écrivain russe ne m’apparaît pas être un affabulateur, même s’il avance des données qui n’ont pas été exploitées par d’autres historiens comme cette admiration de Magda pour le grand poète juif Heinrich Heine qui lui aurait valu de choisir de baptiser ses futurs enfants avec des prénoms commençant par la lettre H. Vous avouerez qu’on est assez loin du H de Hitler, non ? Un chapitre sur lequel revient François Delpla dans Hitler et les femmes. Et dans mon ouvrage, j’évoque bien autre chose encore et notamment les relations de l’égérie nazie avec les Hoover aux États-Unis. C’est également oublier que Richard Friedländer, sur une carte de résident, un document retrouvé sans doute à Buchenwald et publié en 2016 par le média allemand Bild, reconnaissait qu’il était le père de Magda.

    Confronté au monde du mensonge, ceux de sa propre mère, Magda Goebbels n’arrêtait pas de se poser des questions. Notamment sur le fait qu’elle était une enfant non désirée et pour cause puisque celui qui avait épousé sa mère (Oskar Ritschel) ne l’avait pas reconnue. On peut attendre beaucoup de choses d’un cocu mais tout de même ! Même s’il avait après coup choisi en bouddhiste émérite de prendre la gamine en affection. A priori c’est en 1934 qu’Auguste Behrend a lâché le morceau et que les époux Goebbels auraient appris cette filiation que le propagandiste commente dans son journal de bord. Il fallait donc faire disparaître Richard Friedländer. Définitivement. Définitivement, ce sera Buchenwald au motif qu’il était soupçonné d’être réfractaire au travail, une déportation à laquelle ne s’opposera pas sa fille devenue une égérie nazie. Ne fallait-il pas préserver les nouveaux liens qu’elle venait de nouer avec les dignitaires nazis et éviter le courroux d’Oncle Adi ?

    L'ouvrage est désormais proposé dans notre boutique en ligne.

    MAGDA, LA CHIENNE DU TROISIEME REICH, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-918296-43-0

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    L'une des plus belles réussites de notre atelier d'édition !

    Avec le témoignage du maquisard trélissacois Ma guerre à moi... Résistant et maquisard en Dordogne, sans doute l'une des plus belles réussites de notre petit label que les six ouvrages consacrés aux COMPAGNONS DE LA CHANSON dont le premier pas mal vendu et sans diffusion ! Avec, et cela nous a conduit à servir d'autres demandes, un résultat nettement moins positif sur le dernier et ce duo magique malgré une préface de Fred MELLA. Dix années qui auront été marquées jusqu'en 2016 également par la création d'un site Compagnons dont nous avions repris l'animation en 2014 et où les admirateurs de l'ensemble ont toujours la possibilité de retrouver critiques, extraits vidéo et documents marquants ce qu'auront été plus de quarante années de vedettariat au plus haut niveau. Depuis, le label créé a apporté son catalogue à une société du même nom qui aura d'autres objectifs, ce qui est bien le moins pour que l'aventure se poursuive, même avec d'autres centres d'intérêt !

    En cliquant sur le lien qui suit, vous découvrirez un portrait synthétisé destiné aux plus jeunes de leurs admirateurs. Il vient d'être mis en ligne et revient sur ce groupe lancé par la grande PIAF qui avait vu clair lorsqu'elle avait décidé en mars 1946 de soutenir les neuf premiers éléments de la formation ! Un portrait que vous pourrez retrouver ensuite dans notre galerie des aînés émérites, dans le bas du menu situé sur la gauche de cette page ! On les entend ici chanter en 1974 Julia, une très belle chanson très peu connue pourtant.

    L'ouvrage, vous aurez désormais la possibilité de vous le procurer en vous rendant dans notre boutique en ligne.

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  • 1ère couv Publier du CompagnonsPublier un ouvrage c'est forcément y mettre un peu de soi. C'est aussi, parfois, une grande aventure, quelque chose qui ne trouve pas forcément l'aboutissement que vous souhaitiez. Parce que l'on a pas su trouver un public pour le partager. Ou que l'auteur n'a pas souhaité s'investir suffisamment pour défendre ce qui a été produit, attendant quelquefois qu'on le porte à bout de bras comme s'il était déjà une star ! Ce qui est aujourd'hui de plus en plus fréquent et un éditeur en fait souvent l'expérience ! Mais, lorsque l'ouvrage publié trouve son public, petit à petit, que l'auteur s'y investit pleinement et que des liens gratifiants et amicaux se nouent progressivement autour avec des lecteurs conquis, quel bonheur !

    De la quantité appréciable d'ouvrages publiés sous le premier label DECAL'AGE PRODUCTIONS que j'ai pu conduire à leur terme avec des fortunes diverses avant de participer à l'animation de notre nouvelle société d'édition, certains d'entre eux m'ont procuré au départ un plaisir particulier avec aussi, au passage, je l'avoue, quelques tourments. Parce que j'étais au tout début de mon aventure d'éditeur et que je n'avais pas réussi à convaincre suffisamment ceux qui avaient été approchés pour financer ces productions ! Ou parce que ceux-ci n'avaient rien voulu entendre en des temps où la force de conviction d'un demandeur réside aussi dans l'importance de son solde moyen bancaire. Alors que ceux dont le métier est de financer des créations ne devraient pas les rendre de plus en plus difficiles, voire impossibles à réaliser après parfois des jours et des jours de bagarre !  Pourtant, que de souvenirs, que de bonheur autour de ces toutes premières publications. Que d'espoir aussi, que de don de soi ! De véritables montagnes ! Surtout dans un secteur de l'édition, qui se bat ces dernières années comme jamais il n'a eu à le faire, tout simplement pour que demain soit un autre jour et que la passion ne s'éteigne pas ! Malgré l'ingérence des fonds de pension américains et d'ogres comme AMAZON.FR et malgré le peu d'intérêt que montre le pouvoir pour le domaine !

    Publier du Compagnons de la Chanson... une idée fantastique, n'est d'ailleurs pas un ouvrage comme les autres ! C'est un coup de coeur qui revient sur les premiers choix d'un éditeur ! Et il devait sortir pour que ceux qui m'ont accompagné et qui sont restés à mes côtés après la publication de ces premiers ouvrages Chanson française sachent que jamais je n'avais regretté d'avoir produit des ouvrages consacrés à ceux qu'ils avaient aimés. Parce qu'il est des instants dans l'existence où, au-delà du simple petit confort personnel d'un créateur, il y a autre chose, et où seul compte le fait de s'être réalisé et d'avoir servi à quelque chose ! Même si je regrette parfois le changement d'état d'esprit qui pèse de plus en plus sur une telle fonction et aussi, hélas, un nombre d'illettrés qui a aujourd'hui dépassé les 20% à une heure où l'on préfère souvent le portable à la seule lecture ! 

    Louis PETRIAC

    PUBLIER DU COMPAGNONS DE LA CHANSON... UNE IDEE FANTASTIQUE ! - ISBN n° 978-2-918296-16-4 - 19,80 €

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  • Sudey-aujourd-hui.jpg
    Sudey, le maquisard, d'abord un livre pour les siens puis une réédition à compte d'éditeur !

    Un maquisard à l'aide avec les paysans et le monde rural...Parallèlement aux ouvrages qui nous ont valu de commercialiser une réalisation due à un auteur, il nous est arrivé, sous le label DECAL 'AGE PRODUCTIONS éditions, de participer à un certain nombre d'ouvrages produits à compte d'auteur. En suggérant par exemple à leur auteur une quatrième de couverture, voire une maquette complète, à partir des données qui nous avaient été fournies. Voire aussi de créer l'ensemble des textes que leur auteur avait commencé à rédiger avec d'énormes difficultés. Sans pour autant lui proposer de produire "son livre" parce que nous avions jugé que le thème abordé n'était pas suffisamment exploitable et que nous aurions sans doute un peu de mal à l'écouler. Car si une idée est toujours exploitable, parfois, elle peut l'être beaucoup moins. Tout simplement parce que le thème n'est pas vendeur et que, malgré les qualités d'une excellente rédaction, les ventes auront tendance à très vite s'essouffler au-delà des toutes premières séances de signature. N'être pas considéré comme un ouvrage abordant un thème vendeur peut également avoir une autre conséquence, gravissime celle-là, celle de ne pas être parvenue à avoir séduit un média et donc d'obtenir un article parlant du livre et de l'auteur ou, du moins, de l'apporteur de l'idée. Parce que le média en question préférera à un nouvel auteur méconnu les turpitudes de nos politiques et les derniers scandales à la mode. Dans le style DSK ou celui des répudiations de favorites en titre. Et, hélas, qu'on le veuille ou non, sans un bon papier sur un ouvrage, le fait qu'il soit commercialisé ou non sur Amazon.fr ou à la FNAC, ne changera rien à l'affaire !  

    C'est vrai qu'en s'attelant à la rédaction d'un livre, on méconnaît souvent les milieux de l'édition. Ce que cachent aussi les propositions enflammées de maintes et maintes officines qui, avec un budget inférieur à un millier d'euros, proposent à de jeunes auteurs de faire de leurs créations des succès. Allons, allons, soyons sérieux et ne nous leurrons pas ! Les compétences, et donc les chances, ont un coût. A plus forte raison quand on ne parvient pas à s'acquitter soi-même, et sans aucune aide, de la conception d'une bonne couverture, ni de la mise en page de données. Parce que tout cela s'apprend et qu'au-delà de la seule création des textes, éprouver une difficulté à trouver un titre, voire à trouver "la bonne couverture" ne sont pas réellement des choses surprenantes. Certes, comme jadis la grenouille, on peut avoir un orgueil au-delà du raisonnable, vouloir se faire aussi grosse que le boeuf avant d'admettre, même difficilement, que tout puisse être affaire de savoir-faire.

    Pour les ouvrages autoédités, tout est différent. L'auteur des textes reste maître de la date de sortie de celui-ci, voire du choix de la texture du papier, même s'il peut nous arriver d'intervenir, lorsque l'auteur le souhaite, dans une réécriture des données. Dans le cadre d'un véritable travail mené en liaison avec eux. Tout simplement parce que la lisibilité du texte laisse à désirer et que, si écrire un texte sans y laisser de fautes est une chose parce qu'autour de l'auteur gravite une amie qui est "professeure des écoles", chapitrer un récit et le rendre attractif en est une autre. Rendre un ouvrage commercialisable passe également par la conception d'une couverture dont le graphisme retiendra l'attention et l'agencement intérieur des données. Encore que sur ce plan, on puisse détester une couverture et s'apercevoir après coup qu'elle a retenu l'attention. Un graphisme emprunté et d'une simplicité presque condamnable a quelquefois de meilleures chances d'attirer l'attention qu'un graphisme irréprochable où trop d'éléments pêchent en faveur d'un document. Dernier point et non des moindres, celui de l'après-publication. Aider un auteur à mettre en place une structure de vente en ligne et donc un blog ou lui proposer la nôtre pour que l'ouvrage autoédité puisse s'écouler n'est pas moins important que sa propre conception !   

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  • Duf... Entre incompréhension et évidences !

    Duf... Entre incompréhension et évidences !

    Saul regarda autour de lui. Hormis la flasque renversée, il ne vit aucun désordre dans le salon structuré de Quentin. Le design moderne du salon aux murs laqués bleus détonnait avec une décoration s'inspirant d'un esprit médiéval. Des toiles de peintures plutôt jolies décoraient les murs ponctués d'armes blanches médiévales, le tout dans une parfaite symétrie. Pour un peu Saul imagina une armure reconstituée en voyant une arbalète semblable à celles du XIIIème siècle fixée au mur... Sur la table basse, un plateau avec deux tasses et les accessoires pour un café semblaient les attendre. Dans toute cette logique ossature structurée, il se dit que le père Quentin avait abusé de la flasque...

    Deux hommes donnant le sentiment de ne pas s'être vus depuis des lustres... C'est sans aucun doute cette chronique évoquant une complicité retrouvée, celle de deux hommes longtemps restés sans se voir qui m'a captivé au plus haut point. Peut-être aussi parce que, plus j'avançais dans ma lecture, plus les questions émergeaient en moi à propos de deux hommes que le destin semblait s'être échiné à séparer. Mais que s'était-il donc passé pour que Saul et Quentin s'éloignent ainsi l'un de l'autre et quel rôle avait pu jouer dans l'affaire cette Chantal, la compagne de Quentin, en admettant qu'elle ait pu en jouer un ?... Je dois avouer qu'au départ, rien de suspect n'aurait pu laisser supposer ce que j'allais ensuite découvrir, en dehors d'une description de retrouvailles, celles de deux anciens fêtards habitués à quelques excès et l'absence d'un chien comme il s'en trouve parfois dans les propriétés campagnardes, avec aboiements et une niche à l'extérieur ! Rien, du moins jusqu'à l'apparition de la dénommée Chantal surgie de nulle part, une créature qui semblait avoir élu domicile chez Quentin, le copain de Saul ! Rien jusqu'à ce que, les événements s'accélérant, on apprenne qu'un petit était né et que la compagne du maître de maison donnait le sentiment d'être une femme battue... Quentin, ce passionné d'armes médiévales et d'arbalètes, était-il donc un homme violent ou bien s'agissait-il d'autre chose...?

    De supposition en supposition, c'est vrai que les dernières pages de cette chronique d'Edouard DUF ne manquent pas de surprendre. Plus je poursuivais ma lecture, plus j'avais le sentiment d'y découvrir une sorte d'ambiance oppressante. Filmé, il n'y aurait manqué que le lancinant solo de l'ensemble de Dave BRUBECK jouant son "blue rondo à la turk" et rappelant l'un des succès de Claude NOUGARO et ce "A bout de souffle" ! Sauf qu'ici, dans la chronique de DUF, les rôles avaient été redistribués. La dénommée Chantal remplaçait Suzy, et il n'y avait pas de valise pleine de billets ni de balle perdue, ni enfin d'homme en cavale et ni de... Mais chut ! Procurez-vous Parfum de diable pour connaître le dénouement surprenant de cette chronique prometteuse qui a le mérite de tenir le lecteur en haleine jusqu'à la fin et de réserver bien des surprises !...

    Louis PETRIAC

    PARFUM DE DIABLE, Edouard DUF, ISBN n° 978-2-918296-4-23 - 18.50 €

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  • Allard J-Cl - 1ère couv

    Le Trélissacois Jean-Claude ALLARD qui préside à Périgueux aux destinées de la Société des Beaux Arts du Périgord et que l'on pourrait présenter, trop sommairement sans doute, comme un militant de la transmission du savoir, avait publié en décembre 2010 un premier ouvrage à compte d'auteur : NATURES SENSIBLESUne réalisation qui fait la part belle, sur près de 220 pages, autant à ses propres réalisations picturales, qu'à des réalisations empreintes de poésie. Ainsi que quelques hommages à ceux qui lui sont chers qui complètent un travail abouti imprimé chez Artigrafiche en Italie. Un très beau livre imprimé sur papier glacé qui ravira les amateurs d'art et tous ceux qui sont soucieux de passer un très bon moment et dont il nous reste quelques exemplaires que vous pourrez toujours vous procurer chez nous !

    L'ancien prothésiste dentaire, à la retraite depuis sept ans, auquel on avait décerné la Légion d'honneur en décembre 2008, appartient également au Club des Hydropathes de Périgueux animé par Maurice MEILLET,

    NATURES SENSIBLES, Jean-Claude ALLARD, ISBN 978-2-918296-01-0   

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  • Mai 1945... Y a-t-il eu, oui ou non, mise en scène dans le bunker assiégé ?

    La plupart des historiens en sont persuadés, il y a eu une mise en scène dans le bunker au lendemain du suicide du "Fiancé de l'Allemagne" Adolf HITLER et d'Eva BRAUN qu'il venait d'épouser, pour que l'on croie à une sorte de sacrifice et, pour reprendre une expression souvent prononcée, pour que l'on croie à un suicide altruiste ! "En approche psychiatrique, explique le Professeur DEBOUT, un suicide altruiste est réalisé de façon paradoxale pour le bien de l'autre. La personne tue pour protéger ses proches d'un avenir sombre auquel il pense qu’ils sont voués et se suicide ensuite". Comme ce sera le cas dans plusieurs des bourgades menacées à l'est de l'Allemagne par l'avancée de l'Armée rouge où des familles entières se suicideront.

    Magda, la chienne du Troisième Reich... découvrez un extrait des textes !Dans son ouvrage ci-contre : Magda, la chienne du Troisième Reich, Louis PETRIAC revient sur les derniers jours de ce Reich qui devait durer mille ans et qui, fort heureusement, n'aura sévi que douze ans avant que son créateur ne choisisse de mettre fin, lui aussi, à ses jours en compagnie de sa maîtresse ! Plusieurs biographies et autres documents ont vu le jour depuis qui évoquent ce qu'aura été l'agonie des quelques dignitaires nazis qui avaient rejoint leur Führer dans ce qui avait été conçu sous la Chancellerie pour résister, en cas de besoin, aux bombardements des Alliés et aux tirs d'obus de l'Armée rouge ! Mais plus que cette résistance, c'est aussi de Magda GOEBBELS et de son horrible assassinat (une tuerie programmée depuis quelques semaines) dont il est question au terme d'un portrait glaçant où sont détaillés les témoignages de ceux qui avaient croisé l'égérie nazie durant ces années où, à force de manipulation, elle était parvenue à se hisser au sommet de la pyramide nazie, sacrifiant au passage nombre de ceux pour lesquels elle avait dit éprouver un sentiment d'amitié voire d'amour.

    L'auteur a la conviction que Joseph GOEBBELS avait déjà prévu un scénario à l'avance et que, profitant de la détermination d'une épouse sensible à l'importance de l'image qu'elle laisserait derrière elle, une mise en scène a été réalisée dans ce bunker. Par opposition à ce suicide altruiste évoqué en préambule. Comme l'a dit un historien : "Le besoin de revêtir les enfants d'un blanc immaculé en attachant aux cheveux des cinq fillettes de jolis rubans blancs, comme si on avait voulu en faire les symboles d'une innocence puérile montre un véritable souci de construction". Un scénario digne de l'une des plus grandes manipulations. Car, c'était surtout pour les empêcher de témoigner plus tard, de peur que ces gamins en viennent à comprendre qui étaient réellement leurs parents et ce qu'était le National-Socialisme, ce qui pour Magda GOEBBELS n'était pas acceptable. Alors qu'avec son époux elle avait voulu faire de cet acte le symbole d'une fidélité de deux nazis envers leur Führer. Imaginait-elle dans son délire de perverse que la postérité en ferait à jamais une victime de son idéalisme nazi ? C'est plus que probable. A malin, malin et demi...

     

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