• Voici un an sortait un portrait consacré à Marc Herrand...L'idée était venue en décembre 2007. Juste après la première dédicace organisée à Lyon par DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions, à l'occasion de la sortie de l'ouvrage hommage de Christian FOUINAT. Elle nous avait donné l'occasion d'y rencontrer et Marc HERRAND et Gérard SABBAT qui avaient accepté d'y participer avec leur gentillesse coutumière. Pour la plus grande joie de la centaine de Lyonnais qui nous avaient fait l'amitié d'assister à cette séance de signature suivie d'un lunch. Un moment de convivialité que LE PROGRES avait évoqué dans ses tribunes

    Un portrait de Guy BOURGUIGNON, le Compagnon de la Chanson périgourdin sorti à la fin 2013, quelques mois plus tôt, et préfacé par le comédien Roland GIRAUD nous y avait encouragés.

    Abondamment illustré comme l'avait été le précédent portrait, cet ouvrage de quelques 215 pages a, depuis, fait l'objet de plusieurs annonces et articles, mais sans que nous puissions, hélas, le proposer au cours d'une séance de dédicace comparable à celles que nous avions organisées aussi bien à Lyon, qu'à Annecy ou même à Tulle, à l'automne 2013, lors de la sortie de l'ouvrage consacré à Guy BOURGUIGNON. Nous conservons malgré tout l'espoir de pouvoir proposer une nouvelle dédicace publique dès que possible. Reste à trouver l'endroit qui se situera de toute façon hors de nos bases et du Périgord où nous avions déjà organisé en avril 2011 une manifestation.

    Rappelons en attendant que cet ouvrage proposé à 22 € continue de s'écouler et qu'il reste actuellement disponible.

     

    MARC HERRAND, un inoubliable grand Monsieur de la Chanson française, Louis PETRIAC

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  • Le miroir brisé... La découverte de l'horreur !EXTRAITS

    Elle avait, à coup sûr, pris un certain plaisir à le pousser à la faute, puis à le punir en lui demandant, par exemple, de lui restituer les cadeaux qu’elle lui avait faits. Jamais cela ne lui était arrivé et lorsqu’elle était venue à son atelier récupérer ceux-ci, il en était resté muet de saisissement. Soucieux de nuancer les griefs de la belle, ou d’apparaître plus conciliant et passif, rien n’avait atténué le processus de destruction, bien au contraire, cela n’avait fait qu’aggraver la situation ! Tu es un vilain et tu seras châtié aurait pu dire la petite voix.  

    Tout à présent devenait plus clair. Le seul objectif qu’elle poursuivait quand elle s’était imposée à lui, c’était qu’il soit comme elle souhaitait qu’il soit, conforme à l’idée qu’elle se faisait de celui qu’elle aimerait et avec lequel elle pourrait vivre dans son monde de valeurs à elle. Il aurait dû devenir son miroir et lui proposer une image réhabilitante de ce qu’elle pensait être, mais en aucun cas l’image de quelqu’un d’étranger qu’elle ne pouvait reconnaître. Pourtant, en le punissant, n’était-ce pas elle qu’elle sanctionnait ?  

    Fallait-il qu’elle ait été abusée dans l’enfance pour avoir une si mauvaise image d’elle-même et vouloir se venger des autres sans être consciente du mal qu’elle leur faisait ? Seulement, le peu d’estime qu’elle avait pour elle n’affleurait pas à sa conscience. Comme si un canal avait été bouché, obstrué !  

    Qui pouvait bien être à l’origine d’un tel abus, d’une telle castration ? Un proche dans son environnement familial, ou un ami ? Sûrement quelqu’un qui devait avoir un certain ascendant sur elle...

     

    LE MIROIR BRISE, Histoire d'une violence perverse, Louis PETRIAC, 17 € - ISBN n° 978-2-918296-35-5

     

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  • David LAPLAUD, le Président d'ACE 15 nous prie de vous informer que :

    L'association ACE 15 chère à la mémoire de Georges BRASSENS organise du 30 juin au 31 août prochain la 5ème édition de LIRE A BRASSENS.

    Le chalet, tenu par Martine, Georges et Yvonne, sera ouvert du lundi au vendredi, de 15h à 19h. Ils auront à cœur de vous offrir leurs disponibilités pour vous conseiller, vous aider, et vous proposer des activités pour les petits comme pour les grands.

    Entre le bassin et le kiosque à musique du Parc Georges Brassens, à l’ombre des platanes, le chalet de l’association et une trentaine de transats attendront adultes et enfants autour d’un large choix de livres. Au milieu des  coups de cœur sélectionnés par la Librairie Le Divan, se trouveront aussi des ouvrages déposés par des lecteurs anonymes, mettant à profit le système "un livre apporté, un livre emporté". Sera proposé chaque semaine et tout au long de l'été un programme riche et varié d'activités.
    Il sera disponible au chalet et sur les réseaux sociaux d’ACE 15, le vendredi pour la semaine suivante.

     

    Le pot d'ouverture de "Lire à Brassens" est programmé mercredi 1er juillet à 18h avec une animation musicale de Sébastien CHAPERON.

    Cette manifestation gratuite est organisée en accord et avec le soutien de la Mairie de Paris et de la Mairie du 15e arrondissement. Vous pourrez y accéder par la place Jacques Marette, 75015 Paris.

     

    Vous pouvez nous retrouver :
    Facebook : http://www.facebook.com/groups/ACE15 Internet : http://ace15.hautetfort.com  
    Twitter : http://twitter.com/ACE15_asso Instagram : ace15eme

     

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  • Le miroir brisé... Si vous voulez vous le procurer

    S'il fallait dire quelques mots de cet ouvrage, nous dirions qu'au début de cette histoire sidérante, le personnage central de cet imbroglio judiciaire, ne sait pas qu'il s'est épris d'une perverse narcissique. Ni ce qu'est ce travers. Encore moins ce qui a pu conduire celle-ci à témoigner de façon ambiguë devant la Cour, alors qu'il attendait d'elle qu'elle témoigne en sa faveur. Jeté en prison après avoir été condamné pour un meurtre qu'il n'a pas commis, c'est par l'intermédiaire d'un premier livre qu'il va découvrir quel est l'univers de cet être toxique auquel il avait cru et comprendre ce qui lui est arrivé ! Une rétrospective d'un comportement singulier et destructeur qui fait parfois froid dans le dos, surtout quand on a rien vu venir ! Une psycho névrose qui nous a valu ces derniers temps de consacrer un certain nombre d'articles à ce qui est aujourd'hui devenu un thème de société et que l'extrait vidéo ci-dessous présente en quelques raccourcis comportementaux saisissants !

    LE MIROIR BRISE, Louis PETRIAC, 186 pages - ISBN n° 978-2-918296-35-5

     

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  • Notre société aurait-elle besoin de pervers narcissiques ?...Vous avez sûrement dû en rencontrer autour de vous ! Que ce soit au travail ou même parmi vos proches ! Difficilement identifiables quand on méconnaît leur façon de procéder, les pervers narcissiques finissent toujours par attirer très vite l'attention de ceux qui ont déjà eu à croiser le fer avec eux. Lorsque j'étais prestataire en communication, il m'est souvent arrivé de subir leurs assauts. Du pauvre hère qui était venu se faire plaindre d'avoir subi les foudres d'un office de hlm qui l'avait mal logé à celui qui, chargé d'encadrement dans un CAT, avait entrepris de dénoncer une saisie de mémoire qui n'avait pas été, avait-il déploré, à la hauteur du professionnel que j'étais, je conserve un souvenir particulier de ces deux saligauds-là. Ils m'ont même contraint à devoir faire appel aux tribunaux pour m'en sortir et ils m'ont coûté beaucoup d'énergie.

    Cela étant, dites-vous bien que les pervers narcissiques ne se sentent jamais coupables de vous avoir fichu par terre ou ennuyé. D'avoir exigé de vous un service ou une aide ! Les êtres humains comme vous ou moi, ils ne les considèrent que comme des objets parfois à même de satisfaire leurs désirs ! Encore que ces olibrius soient rarement comblés puisqu'ils ont tendance à toujours se montrer insatisfaits de ce que vous leur abandonnez ou proposez !

    Il vous est déjà arrivé d'éprouver un curieux sentiment à propos de quelqu'un que vous aviez du mal à satisfaire ? Ne cherchez plus, il est vraisemblable que votre interlocuteur ou que votre interlocutrice soit tout simplement un pervers narcissique. Pourtant, au départ, tout avait bien commencé ! Vous aviez même été complimenté(e) voire incité(e) à vous confier à lui ou à elle. Généralement, les pervers narcissiques sont des êtres brillants, égocentriques et menteurs qui réussissent souvent à obtenir de très hautes responsabilités, mais hélas en marchant sur les autres, et sans jamais douter de leurs capacités. Parfois aussi en vous débitant des histoires plus grosses qu'eux ! On leur prête souvent une élocution aisée en public. Mais si certains se montrent ainsi, d'autres seront tout à fait capables de vous susurrer des paroles inaudibles que vous aurez du mal à percevoir. Ce qu'ils finiront par vous reprocher immanquablement. Et c'est normal, parce que vous êtes en dessous de tout ! Un autre de ces pervers narcissiques prenait un malin plaisir à me recevoir chez lui et lorsqu'il m'invitait à m'asseoir, c'était toujours devant un poste de radio qu'il prenait un malin plaisir à laisser brailler derrière moi. Pour que je ne puisse pas entendre ce qu'il avait à me dire et qu'il puisse me reprocher d'être sourd ! 

    Dans la fiction que je me suis plu à imaginer en puisant des souvenirs de vécus douloureux, le personnage central de l'histoire, un comédien, va être accusé d'un homicide qu'il n'a pas commis. Alors qu'il éprouvait un sentiment pour une femme qui, non seulement était le symbole même du charme, et qui lui était apparue comme quelqu'un de doux et de prévenant, le doute va s'installer chez lui. Au point de lui faire perdre toute confiance en lui et de saper son envie de se défendre. LE MIROIR BRISE raconte quelle a été sa descente aux enfers et comment il a pris conscience du piège dans lequel il était tombé ! Et aussi de ce que pouvait être la perversion narcissique ! Mais dites-vous aussi que toute glissade finit un jour ! Il suffit seulement de s'écarter de ces êtres toxiques !

    Louis PETRIAC  

     

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  • Le miroir brisé... C'est imminent !

    Les premiers ouvrages de notre dernière production : LE MIROIR BRISE devraient arriver la semaine prochaine et, normalement, avant le 5 Juin. Si vous avez réservé, attendez-vous donc à recevoir votre livre dans les premiers jours de juin. Si en revanche, vous avez prévu de faire appel à votre libraire, il vous faudra attendre quelques jours de plus.

    Nous avons déjà assez longuement évoqué ce qui nous avait incité à consacrer un ouvrage au thème de la perversion narcissique. Sachez que cette histoire de violence perverse (c'est le second titre qui a été retenu par l'auteur) a trouvé sa source dans des faits réels et un vécu de l'intérieur. Présentée ici sous la forme d'une fiction, l'auteur a néanmoins voulu travailler avec des personnes victimes elles aussi de pervers narcissiques afin de parvenir à mieux dépasser ce qu'il avait lui-même vécu et afin d'élargir sa réflexion. Pour aussi encore mieux retranscrire l'atmosphère pesante qui est à l'origine de la plupart des drames vécus par ceux qui traversent de tels cauchemars. Dans le dossier de presse qui vient d'être conçu, des extraits permettent d'avoir une idée du ton du livre et de ce que ce thème de société représente aujourd'hui au sein de notre société. Alors que l'on admet que 10% d'entre nous souffrent de ce mal sans pathologie particulière qui les amène à vouloir utiliser les autres à leurs propres fins en « pompant » leur énergie et l’estime de soi du conjoint ou du subordonné.

    LE MIROIR BRISE, Louis PETRIAC, 17 euros - ISBN n° 978-2-918296-35-5 

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  • Perversion narcissique : le dossier de presse...

    Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi la communication était aussi difficile avec certains de ceux que vous côtoyiez ou, pire encore, avec celui ou celle que vous aimiez ? Et pour quelle raison cet être de charme, brillant, sachant se montrer parfois enjôleur(se), pouvait aussi vous blesser par des commentaires désobligeants répétitifs jusqu’à provoquer en vous lassitude et renoncement ? Prenez garde, il se peut que le cauchemar ait déjà commencé et que le pervers narcissique dont il s’agit vous fasse regretter un jour de l’avoir déçu(e) ! Car on finit hélas toujours par décevoir ceux que l'on qualifie aujourd'hui plus facilement de pervers narcissiques !

    Comment les reconnaît-on ces êtres toxiques qui cherchent à capter ce qu'il y a de meilleur en nous ? Au premier abord, hélas, difficilement car leur stratégie d'approche est étudiée. Ne s'agit-il pas dans un premier temps de donner confiance à l'autre, voire de le complimenter. Avant d'en arriver, très vite, aux réflexions blessantes, après l'avoir isolé et privé du moindre repère ! Dans cette violence insidieuse dont on ne souffre que progressivement, il n'y a pas ou rarement des brutalités physiques. On détruit seulement avec des mots, jusqu'à rendre la vie de la victime insupportable ou jusqu'à provoquer des réactions teintées d'agressivité ! Le film tourné en Belgique dont a été tiré un extrait de quelques minutes est à ce titre éloquent ! Il aura fallu à cette pauvre Marie bien de la patience avant d'oser réagir !

    S’inspirant de faits réels, cette fiction que nous allons publier dans les prochains jours, décrit l’attitude glaciale d’une perverse narcissique se définissant ici comme un être de lumière avide de reconnaissance. Une histoire qui prêterait presque à sourire si notre société n'en fabriquait pas aujourd’hui de plus en plus de ces pervers narcissiques... Un premier dossier de presse présentant notre ouvrage vient d'être conçu que vous pourrez télécharger en cliquant sur le lien suivant.

    LE MIROIR BRISE, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-35-5 

     

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  • La CIPAV... une caisse de retraite bien singulière !  "Il suffit parfois de très peu de choses pour qu'un désarroi soit mobilisateur et qu'il pousse des êtres spoliés de leurs droits à agir... A plus forte raison en des temps où, jamais autant ce qui concerne le système de répartition des retraites, n'aura été évoqué".

    C'est ce que nous indiquions dans un article consacré à la CIPAV en janvier 2014. Voici déjà une quinzaine de mois. Or, il ne semble pas que l'on ait trouvé depuis une solution à ce désarroi puisqu'un des adhérents de cette Caisse vient de tenter de mettre fin à ses jours la semaine passée. Il était harcelé ces dernières années par la CIPAV pour paiement de cotisations qu'il ne devait pas !

    Dans ce précédent article, nous indiquions aussi que des carences importantes avaient effectivement été constatées dans la gestion de cet organisme de retraite obligatoire lié aux professions libérales et travailleurs indépendants, qui est un des satellites du Groupe BERRI. Et que la Cour des Comptes avait rendu l'an passé un rapport défavorable sur cette Caisse. Certaines pratiques délictueuses y auraient été relevées : tentatives de se faire remettre des cotisations indues en usant de pratiques et de pressions à la limite de l'entendement, calcul de retraites fantaisistes, absence de communication avec les adhérents de la Caisse venant s'ajouter à des services téléphoniques complètement défaillants... Imposer ses propres règles en dépit du bon sens, et parfois au mépris de la loi, serait-elle une des caractéristiques de la CIPAV ? Longtemps confrontée à des difficultés, cet organisme de gestion de retraite est-il encore en mesure d'assurer sa mission, alors qu'on demande parallèlement de plus en plus d'efforts aux cotisants ? On ne peut que se poser la question ! A en croire le nombre sans cesse croissant de travailleurs libéraux et indépendants dont les plaintes (1) affluent sur le net, cela ferait même déjà quelques années que les agissements de la CIPAV laisseraient à désirer. 

    Après que des adhérents de cette Caisse soient intervenus au plus haut niveau en saisissant ces derniers mois les services de Madame TOURAINE et du Chef de l'Etat, sans obtenir une quelconque réponse à leurs doléances, le mutisme de l'Etat interpelle. Faudra-t-il qu'il y ait d'autres tentatives de suicide et des morts avant que l'on se décide enfin à réagir en haut lieu ?

    Louis PETRIAC

    (1) Pour avoir une idée encore plus précise du dilemme qui est posé. 

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  • MF Hirigoyen : "Le problème des pervers... par franceinter

     

    Notre société aurait-elle besoin de pervers narcissiques ?...

    Notre société aurait-elle besoin de pervers narcissiques... pour que la déshumanisation entreprise depuis déjà quelques décades puisse se poursuivre ? Plus qu'un avis, c'est bien plus un constat voire une interrogation émanant de certains de ceux qui travaillent et étudient depuis quelques années ce travers. Comme si celui-ci faisait finalement partie d'une stratégie de pouvoir et que la manipulation des autres était aujourd'hui devenue obligatoire dans le management de nos grandes entreprises ! Afin que l'on puisse répondre aux enjeux d'une société qui semble souvent balbutier. Pourtant ce phénomène aurait de quoi faire réfléchir avec un nombre de victimes croissant d'année en année. Il suffit pour ce faire d'examiner le nombre de suicides relevés dans des entreprises où voici encore une vingtaine d'années il ne se passait strictement rien. Que ce soit chez EDF ou chez Orange !

    Récemment, France Inter consacrait un entretien à ce phénomène de société avec la participation de Marie-France HIRIGOYEN, psychiatre et psychothérapeute, qui a été l'une des premières à évoquer la perversion narcissique. C'était en 1998. Et également avec la participation de Mélanie LAURENT, actrice et réalisatrice qui, avec son dernier film : Respire, parle de ce travers psycho affectif. A travers le portrait d'une amitié entre deux jeunes adolescentes Charlie et Sarah et de la manipulation de l'une par l'autre.

    Notre prochain ouvrage : Le miroir brisé qui doit sortir dans les tout prochains jours évoquera, lui aussi, ce travers, s'inspirant de faits réels rapportés par des témoins qui auront incité Louis PETRIAC à concevoir cette fiction.

    LE MIROIR BRISE, Histoire d'une violence perverse, ISBN n° 978-2-918296-35-5 

     

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  • Un seul tort : celui d'être un marginal !

    Un seul tort : celui d'être un marginal !Il se peut que certains d'entre vous se souviennent, s'ils l'ont vu, de SUSPECT DANGEREUX, un film de Peter YATES tourné en 1987 par l'actrice CHER, Liam NEESON et Dennis QUAID (photo ci-dessus), qui voyait un marginal être suspecté de meurtre et être arrêté. S'il s'agit également dans Le miroir brisé de Louis PETRIAC d'une justice qui aura trop vite voulu condamner un coupable, on est ici confronté avec cette fiction à tout autre chose puisque l'auteur aborde les ravages causés par la perversion narcissique.

    C'est en prison, une fois enfermé, que celui qu'on a accusé trop vite d'un homicide qu'il n'a pas commis, et qui a trop souvent été considéré comme un marginal, va comprendre ce à quoi est due son apathie. Et pourquoi, il a perdu confiance en lui et aux autres, cessant du même coup de se défendre lors de son procès. 

    Cette "violence propre" utilisée par certains manipulateurs pervers narcissiques pour supporter leur existence et qui ont besoin d'être admirés, peut avoir de graves conséquences sur les autres. Parfois acculés au suicide, ceux qui vivent de telles relations, que ce soit chez eux en privé ou au travail, s'en sortent souvent après avoir perdu l'estime de soi et toutes leurs valeurs. S'il est admis qu'un individu sur dix puisse développer aujourd'hui un tel travers, à cause de l'évolution discutable de notre société, il devient vital d'en parler autour de soi et de se faire aider quand on se sent victime d'attitudes comme celles qui personnifient les pervers narcissiques. Autour d'un couple, celui de Fred et Marie, une fiction a été tournée en Belgique qui décrit les symptômes de cette perversion narcissique (ci-dessous).

    Amateurs de perversion narcissique, on peut se procurer cet ouvrage proposé à 17 € sur notre boutique en ligne. 

    LE MIROIR BRISE, Histoire d'une violence perverse, L. PETRIAC, 978-2-918296-35-5

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    Les ravages de la perversion narcissique...

    Nous publions un ouvrage évoquant ce que l'on pourrait considérer comme une psychopathologie particulière. Un travers dont on parle de plus en plus, parce qu'il gangrène aussi bien les relations affectives, que celles nouées au travail. Ce qu'avait mis en lumière le docteur Marie-France HIRIGOYEN dans un ouvrage publié voici déjà une quinzaine d'années et évoquant ce qu'était la perversion narcissique, une sorte de violence froide. Ce qui est plus préoccupant, c'est qu'on va jusqu'à dire qu'un individu sur dix serait aujourd'hui un pervers narcissique.

    Le film ci-dessus est révélateur de ce que peut être l'enfer vécu par certaines victimes sur fond de manipulation, d'humiliation et de violence insidieuse. Marie n'a, dans ce film, pas la force de s'opposer à son conjoint Fred, et ce document renversant, qui faisait partie d'une campagne sur la violence psychologique lancée en Belgique, a longtemps circulé sur les réseaux sociaux. Il en fera sûrement réfléchir quelques-uns.  

    Ces manipulateurs qui font subir l'enfer à ceux qu'ils prétendent aimer, s'attaquent à leur intégrité narcissique en vivant à travers eux. N'éprouvant aucune empathie à l'égard de ceux qu'ils ne considèrent finalement que comme des objets, on sait aujourd'hui que ces manipulateurs égocentriques, ne ressentent aucun affect. Un point qui rassurera cependant ceux qui ont été les victimes de tels agissements, on ne perd jamais les qualités qu'on avait avant d'entrer dans une relation perverse, on finit toujours par les retrouver dès lors que l'on retrouve l'estime de soi. 

    Cet ouvrage, s'il s'inspire de faits réels, a été conçu sous la forme originale d'une fiction : Le miroir brisé qu'a signé Louis PETRIAC.

    LE MIROIR BRISE, histoire d'une violence p..., Louis PETRIAC 978-2-918296-35-5   

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  • La psychiatrie : un thème de société grave...

    La psychiatrie et l'enfermement restent, qu'on le veuille ou non, sujets à maintes réflexions et ce thème de société ne laisse jamais indifférent. D'autant qu'un Français sur cinq, soit trois millions d'entre nous, ont été ou seront, un jour, confrontés à la dépression et donc à l'enfermement. En vivant même parfois une longue descente aux enfers avant de pouvoir trouver la force de se ressaisir. Une statistique inférieure à celle citée par le magazine Psychologies pour lequel 5 millions et demi de Français auraient été confrontés en 2008 à un épisode dépressif majeur.  

    Voici déjà quelques années, avait été publié Voyage au pays de la déraison dont nous avons repris la diffusion. Un témoignage qui se voulait être une sorte d'introspection d'un univers souvent considéré comme dérangeant et qui aurait, pour certains, changé en une vingtaine d'années. Un constat qui devrait être rassurant mais qu'une reportage visionné sur une grande chaîne de télévision, ne confirme pas. Du moins si l'on s'en tient aux propos de la dirigeante de la Fédération Nationale des Patients en Psychiatrie, madame Claude FINKELSTEIN.

    A priori, le manque de moyens de l'hôpital, en serait la cause. Et cela quels que soient les services. Un reportage qui donne donc à réfléchir à un moment où jamais autant les gens ne se sont sentis aussi mal dans leur peau. Entre harcèlement au travail et une précarité qui touche de plus en plus de personnes (jeunes et vieux) compte tenu de la dégradation des conditions de vie.

     VOYAGE AU PAYS DE LA DERAISON, Louis PETRIAC, ISBN 978-2-9524117-0-0 - 14 €

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  • Négations, un tome 2 en préparation...Le polar Négations publié à la fin de l'année 2011 va connaître un prolongement puisqu'un tome 2 est en préparation. Toujours aussi noir.

    Il faut dire que la vue de cette province dérangée par un climat malfaisant et une cascade d'homicides n'est pas banale. Comme si l'auteur s'était plu à observer à la loupe les défauts de la plupart des résidents de l'endroit. D'autant qu'on n'y ménage pas ses efforts à la veille du lancement de la STARGEST, une télé-réalité pour le moins originale. Sur fond de règlements de comptes, cheminent des hommes et des femmes prêts à tout par parvenir à leurs fins, l'éditeur Paul LONDAUD le premier. Surtout depuis que Laurent, son ami d'enfance lui a volé celle qui comptait le plus pour lui. 

    EXTRAITS :

    Il en convenait cependant avec beaucoup de regrets, Irène était une femme difficile à oublier. Comment, du reste, aurait-il pu oublier ce qui leur permettait à l’un comme à l’autre de relativiser toutes les difficultés vécues alors ? Elle était tellement ardente. Tellement ardente et tellement tout. Secrète aussi, difficile à déchiffrer et à comprendre. Combien de fois s’était-il demandé si elle ne portait pas en elle le poids de quelque difficulté à exorciser expliquant ces sautes d’humeur et parfois les nombreux cauchemars qui la laissaient pantelante et en sueur au beau milieu de la nuit ? Combien de fois y en avait-il eu dont il avait été le témoin. Surtout les derniers temps avant qu’elle lui révèle ce qui la tourmentait… et qu’il réagisse. Mal. Car, il l’admettait à présent, il avait mal réagi en la laissant partir.

    Eprouvant l’envie de revenir sur leur rencontre, il se versa une deuxième rasade de whisky. Un soudain sursaut l’amena à attribuer des mérites à son breuvage. Aurait-il possédé des vertus trop souvent ignorées ?
    Malgré tout ce qu’il venait de subir, il revit la ligne de son ancienne maîtresse, l’élancement de la silhouette, ainsi que sa chute de reins, regrettant leur querelle et son départ. Un départ que cette autre femme à l’origine de leur brouille et vue épisodiquement depuis ne parvenait pas à remplacer. Il sentit soudain une érection rien qu’en repensant aux tenues suggestives qui mettaient en valeur Irène. Dès qu’il l’avait vue ce matin-là, la toute première fois dans ce putain de bus, il avait aussitôt eu envie d’elle. Mais quel type n’en n’aurait pas eu envie, elle aurait allumé des incendies dans une piscine ! Et à l’évidence, il la désirait toujours autant. Avant de sortir de son existence, il aimait encore se souvenir de quelle façon surprenante cette fille obsédante y était entrée. Un beau jour, à l’arrêt, alors qu’il vaquait à d’autres occupations sans y trouver le piment recherché…

    Surpris par un mouvement de foule, il l’avait heurtée en pivotant sur lui-même sans l’avoir vue arriver à sa hauteur, lui imposant en se retournant trop brusquement un attaché-case dont les armatures avaient dû la blesser…
    Tout en se confondant en excuses, il fut d’abord saisi par les traits tirés de la jeune femme et son regard fiévreux d’un brun intense. D’une profondeur infinie, il donnait l’envie de s’y perdre. Puis son parfum, un parfum chaud, ambré, enivrant. En se retournant vers elle il en avait senti toute la violence, toute la force. Cela l’avait troublé bien plus qu’il ne voulut l’admettre lorsqu’il lui fut ensuite donné de repenser au contact involontaire qui les avait jetés l’un contre l’autre au terme d’une bousculade comme il s’en produit chaque jour dans l’effervescence matinale des grandes villes. La vision de cuisses provocantes prolongement de jambes gainées de bas noirs aux attaches délicates, aussi. Entrevues en se hissant à ses côtés dans le bus, elle n’avait rien arrangé, éveillant un peu plus encore un intérêt déjà manifeste. Mais il suffisait d’imaginer l’amorce de paysages auxquels il avait toujours succombé chez les femmes pour qu’il en soit ainsi. A plus forte raison lorsqu’elles ressemblaient à cette troublante créature.
    Etait-elle de passage ou se rendait-elle ce matin-là à un endroit exigeant d’emprunter exceptionnellement le même bus que lui ? Venait-elle d’emménager à proximité ou de changer d’affectation ?… La mémoire a parfois beau dérailler, les envies incomplètement satisfaites demeuraient présentes en lui aujourd’hui, et avec cette fille terriblement appétissante, elles le restèrent longtemps…
    Avant qu’il la revoie car il la revit. De plus en plus excité au fil des jours à l’idée de la retrouver chaque matin. Toujours au même arrêt de bus, à une heure généralement identique. Puis très souvent le soir au retour. Quel que soit le jour de la semaine. Comme s’ils s’étaient donnés rendez-vous, semblant prendre immanquablement le ciel à témoin depuis leur toute première rencontre et son indéfinissable maladresse… Et plus le temps passait, plus elle lui donnait le sentiment de gagner en beauté, sans pour autant qu’il sache si son intérêt manifeste pour elle n’était pas, tout simplement, l’éminent responsable de son inclination. Partageait-elle son existence avec quelqu’un d’autre ?… Si l’absence d’alliance aurait dû l’éclairer, les questions semblaient fuser en lui. Toutes plus folles les unes que les autres, appelant des réponses qu’il se révélait incapable d’apporter. Vivait-elle quelque situation délicate pour donner l’impression de manquer de sérénité et de paraître à cran comme elle semblait l’être ?… Il le supposa, s’interdisant de tenter quoi que ce soit, tant il craignait d’être importun et de paraître mal élevé. Comment aurait-il alors pu croire qu’elle était tout simplement dévorée par l’anxiété et le poids de quelque épreuve insondable ?
    Ce qui était sûr, c’est qu’à partir de ce moment-là il brûla de tout connaître d’elle. Ne lui était-elle pas déjà devenue indispensable en mettant le feu à sa mémoire ? Plus encore après qu’elle se fut assise, un matin, face à lui dans le bus, répondant poliment, l’air détaché, à son timide bonjour décliné du bout des lèvres. Car cela se confirmait. Partant de jambes admirablement galbées et de chevilles parfaitement dessinées, rehaussées par un mariage avec des escarpins à haut talon du meilleur goût, elle avait des cuisses magnifiques. Révélées par un jupe trop courte, elles avaient, ce matin-là, fait naître en lui des sentiments déraisonnables, comme en font naître chez les hommes les femmes possédant un magnétisme extraordinaire. Et c’était le cas de cette ravissante ensorceleuse qu’il n’arrivait plus à oublier, obsédé par tant et tant de charme. D’autant que tout, chez elle, était élégant et en phase avec sa beauté ; rien n’était outrancier ni de mauvais goût, rien. Ni son attitude n’altérant aucunement une ligne superbe, ni ce qu’elle laissait entrevoir sous des atours remarquablement seyants. Qu’elle soit vêtue ou non de robes amples suggérant des formes sculpturales ou d’une tenue plus ajustée, dont les mouvements d’un corps fait pour les caresses soulignaient les impatiences…

    NEGATIONS Tome 1, Louis PETRIAC, ISBN n° 978-2-918296-09-6

     

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